Selon de nombreux rapports, plusieurs bombes nucléaires ont été « perdues » pendant 36 heures après qu’elles aient décollé le 29-30 août 2007 pour un voyage d’un bout à l’autre des États-Unis, de la base militaire de l’US Air Force de Minot dans le Dakota du Nord à la base militaire de l’US Air Force de Barksdale en Louisiane. [1] Selon certaines informations, six ogives nucléaires W80-1 armées sur des missiles de croisière AGM-129, auraient été « perdues. » [2] L’histoire a été signalée pour la première fois par le Military Times, après que des militaires aient laissé filtrer l’histoire.
(...)
Autrement dit, déménager sans autorisation des armes nucléaires serait pratiquement impossible à accomplir à moins que la chaîne de commandement soit contournée, ce qui impliquerait dans ce cas la falsification délibérée des formulaires et des procédures de suivi.
Les bombardiers stratégiques qui transportent des armes nucléaires ne peuvent pas non plus voler chargés avec leurs armes nucléaires sans l’autorisation des hauts responsables militaires et du commandant de la base. Le feu vert des hauts responsables militaires doit être transmis aux militaires qui chargent les armes nucléaires. Sans cette autorisation, aucun vol ne peut avoir lieu.
Dans le cas des missiles nucléaires « perdus », les ordres ont été donnés et l’autorisation de vol a été accordée. Une fois de plus, tout membre compétent et qualifié de l’US Air Force peut certifier que c’est la procédure régulière.
Concernant l’incident des missiles nucléaires « perdus », deux importantes questions exigent des réponses :
1. Qui a donné l’ordre d’armer les ogives thermonucléaires W80-1 sur des missiles de croisière AGM-129 ? A quel niveau de la hiérarchie militaire cette décision a-t-elle été prise ? Quel a été le cheminement de l’ordre dans la chaîne de commandement ?
2. Si ce n’était pas une erreur de procédure, qu’elle était l’objectif militaire ou politique sous-jacent poursuivi par ceux qui ont donné les ordres ?
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Article complet à Mondialisation.ca
samedi 17 novembre 2007
L'IRAN ET BUSH
En 2003, l'Iran ont proposé un arrangement aux États-Unis, ils voulaient négocier. Les États-Unis ont rejeté cette possibilité. Flynt Leverett, a voulu écrire cela récemment dans le New York Time, mais l'administration Bush l'a menacé de poursuite au criminel. Il est un employé de la CIA et la CIA a revisé son texte et n'a rien changé.
On affirme que le président de l'Iran a dit qu'il voulait supprimer Israël de la carte, mais en fait, il a dit qu'il souhaite qu'un tel régime cesse et que seule la démocratie et la paix pouvaient venir à bout d'une telle situation. Dans les médias étatsuniens, on a transformé ses propos pour faire de la propagande d'une guerre avec l'Iran.
On affirme que le président de l'Iran a dit qu'il voulait supprimer Israël de la carte, mais en fait, il a dit qu'il souhaite qu'un tel régime cesse et que seule la démocratie et la paix pouvaient venir à bout d'une telle situation. Dans les médias étatsuniens, on a transformé ses propos pour faire de la propagande d'une guerre avec l'Iran.
vendredi 16 novembre 2007
NE PAS FAIRE VOTER LE PEUPLE
SARKOZY : “LES PEUPLES NE VOTENT PAS COMME NOUS LE VOULONS, ALORS NE LEUR POSONS PAS LA QUESTIONS”
L’AVEU DE SARKOZY : LE NON L’EMPORTERA LORS D’UN RÉFÉRENDUM SUR LE TRAITÉ «SIMPLIFIÉ»
Le 14 novembre 2007 (Nouvelle Solidarité) - Bruno Waterfield, le correspondant à Bruxelles du quotidien britannique The Telegraph révèle aujourd’hui que Nicolas Sarkozy, devant un groupe de parlementaires européens réunis à huis-clos, a admis que « des référendums sur le nouveau traité européen étaient ‘dangereux’ et perdants en France, en Angleterre et dans d’autres pays. Il y a un gouffre entre les peuples et les gouvernements »
Parlant du référendum du 29 mai 2005, Sarkozy a dit que « La France n’était qu’en avance sur les autres pays dans son vote pour le NON. ». « La même chose arriverait dans tous les Etats membres si un référendum y était organisé », a-t-il ajouté. « Un référendum aujourd’hui mettrait l’Europe en danger. Il n’y aura pas de traité si un référendum a lieu en France, et il en va de même pour un référendum au Royaume-Uni. »
La bonne nouvelle, c’est que le nouveau traité apportera encore plus de démocratie aux peuples européens !
www.telegraph.co.uk
via alterinfo
L’AVEU DE SARKOZY : LE NON L’EMPORTERA LORS D’UN RÉFÉRENDUM SUR LE TRAITÉ «SIMPLIFIÉ»
Le 14 novembre 2007 (Nouvelle Solidarité) - Bruno Waterfield, le correspondant à Bruxelles du quotidien britannique The Telegraph révèle aujourd’hui que Nicolas Sarkozy, devant un groupe de parlementaires européens réunis à huis-clos, a admis que « des référendums sur le nouveau traité européen étaient ‘dangereux’ et perdants en France, en Angleterre et dans d’autres pays. Il y a un gouffre entre les peuples et les gouvernements »
Parlant du référendum du 29 mai 2005, Sarkozy a dit que « La France n’était qu’en avance sur les autres pays dans son vote pour le NON. ». « La même chose arriverait dans tous les Etats membres si un référendum y était organisé », a-t-il ajouté. « Un référendum aujourd’hui mettrait l’Europe en danger. Il n’y aura pas de traité si un référendum a lieu en France, et il en va de même pour un référendum au Royaume-Uni. »
La bonne nouvelle, c’est que le nouveau traité apportera encore plus de démocratie aux peuples européens !
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via alterinfo
LIRE LES PENSÉES
On a implanté des électrodes dans le cerveau d'Eric Ramsay, un paralysé qui a perdu l'usage de la parole, pour pouvoir décoder ses pensées et les traduire en sons (en mots). La machine réussit à décoder 80% des mots jusqu'à présent.
@BBC news
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jeudi 15 novembre 2007
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