dimanche 15 juillet 2007
BOULE DE FEU
Une autre boule de feu tombant sur la Terre ! Celle-ci fut photographiée le 1er février 2007 et fut envoyée à la NASA. La NASA affirme n'avoir trouvé aucun débris.
FUMER ALTÈRE L'ADN
Fumer altère l'ADN des spermatozoïdes
Selon des chercheurs de l'université de McMaster, fumer peut causer des changements dans la séquence d'ADN des cellules spermatiques, et ces graves altérations peuvent être génétiquement transmises aux enfants. L'étude, publiée dans l'American Association for Cancer Research, a porté sur les cellules spermatiques de deux groupes de souris exposés à la fumée de cigarette pendant respectivement 6 et 12 semaines.
Les chercheurs ont ensuite comparé la séquence ADN appelée Ms6-hm, qui ne contient aucun gène connu. Les chercheurs ont exposé les rongeurs à la fumée de deux cigarettes par jour, ce qui représente chez ces animaux l'équivalent de l'exposition d'un fumeur moyen.
Les résultats de cette expérience ont montré un taux de mutations élevé de la séquence Ms6-hm chez les souris exposées à la fumée par rapport à celles non exposées. La fréquence des mutations était de 1,4 chez le groupe exposé pendant six semaines et de 1,7 chez le deuxième groupe exposé pendant 12 semaines. Ceci suggère que le niveau d'altération est lié à la durée d'exposition. Ainsi, plus longtemps une personne fumera, plus grand sera le nombre de mutations cumulées et plus grands seront les risques que ces dommages génétiques soient transmis, indique l'étude.
Selon des chercheurs de l'université de McMaster, fumer peut causer des changements dans la séquence d'ADN des cellules spermatiques, et ces graves altérations peuvent être génétiquement transmises aux enfants. L'étude, publiée dans l'American Association for Cancer Research, a porté sur les cellules spermatiques de deux groupes de souris exposés à la fumée de cigarette pendant respectivement 6 et 12 semaines.
Les chercheurs ont ensuite comparé la séquence ADN appelée Ms6-hm, qui ne contient aucun gène connu. Les chercheurs ont exposé les rongeurs à la fumée de deux cigarettes par jour, ce qui représente chez ces animaux l'équivalent de l'exposition d'un fumeur moyen.
Les résultats de cette expérience ont montré un taux de mutations élevé de la séquence Ms6-hm chez les souris exposées à la fumée par rapport à celles non exposées. La fréquence des mutations était de 1,4 chez le groupe exposé pendant six semaines et de 1,7 chez le deuxième groupe exposé pendant 12 semaines. Ceci suggère que le niveau d'altération est lié à la durée d'exposition. Ainsi, plus longtemps une personne fumera, plus grand sera le nombre de mutations cumulées et plus grands seront les risques que ces dommages génétiques soient transmis, indique l'étude.
samedi 14 juillet 2007
GOOGLE VEUT VOTRE ADN
Toujours avide de mieux connaître ses utilisateurs, le géant de Mountain View investit dans une startup qui aide ses clients à décrypter leur profil génétique.
Vous hésitez sur la couleur du pantalon que vous allez mettre, sur ce que vous allez faire demain ou sur l’orientation de votre carrière professionnelle ? Pas de problème : Google vous connaîtra bientôt suffisamment bien pour répondre à votre place. C’est en tout cas l’ambition affichée du leader des moteurs de recherches qui annonce vouloir constituer la base de données personnelles la plus riche au monde.
Google, qui conserve déjà soigneusement toutes les traces de clics et les recherches effectuées par ses utilisateurs, veut mener jusqu’au bout la logique du «dis-moi quels sites tu visites, je te dirais qui tu es». Comment ? En perfectionnant ses algorithmes pour avoir une vision plus précise et une meilleure analyse des navigations de chaque internaute. Or, plus un moteur de recherche connaît son utilisateur, plus il est à même de lui proposer une publicité qui correspond à ses centres d’intérêt.
Cousins d'ADN
Mais, presqu’au même moment, Google réalisait une «petite» opération financière remarquée : une prise de participation minoritaire à hauteur de 3.9 millions de dollars dans 23andMe, une startup détenue par …. la nouvelle épouse d’un des cofondateurs du géant de Mountain View, Sergey Brin. Cette entreprise de biotechnologie encourage les gens à décrypter leur patrimoine génétique pour améliorer les traitements et tendre vers une médecine personnalisée.
Car, aux Etats-Unis et dans plusieurs autres pays, comme la Suisse ou l’Espagne, de nombreuses officines de recherche ADN comme Family Tree DNA font florès et pour quelques centaines de dollars, on peut obtenir sa «carte d’identité» génétique et trouver ses «cousins d’ADN» à travers le monde entier.
Est-il possible alors d’imaginer que Google projette de connaître jusqu’au profil génétique de ses utilisateurs, pour encore mieux les cibler ?
Pour le Génopole d’Evry, «on est à des années lumière de pouvoir faire coïncider un profil Internet avec un profil génétique dans la mesure où regarder Internet suppose d’avoir un profil multigénique et multiculturel». «Cela suppose d’une part que les gens acceptent d’envoyer spontanément des informations sur leur génome et d’autre part, qu’on parvienne à les faire coïncider, ce qui est technologiquement impossible. C’est impensable d’un point de vue éthique», estime Nicole Chemani, directrice de la communication du Génopole. Et d’ajouter : «Il semble juste que quelqu’un ait voulu faire plaisir à sa femme…»
Pas de réglementation
Moins affirmatif, Jean-Marie Chauvet, directeur de LC Capital, spécialiste des entreprises innovantes dans les secteurs des technologies de l'information, estime que ce rapprochement pose des questions. «Il n’est pas sûr que les gens se prêterait à ce jeu-là (…), mais on peut imaginer que Google fasse comme font ces officines de recherche ADN et mettre en ligne des informations relatives à des dossiers médicaux, pour faire des recherches de dissemblance ou de similarité», explique-t-il.
Outre l’énorme problème de confidentialité et de protections des données soulevé par cette hypothèse, «Google détiendrait alors des données personnelles utiles pour les grandes entreprises pharmaceutiques toujours à la recherche d’informations sur des populations spécifiques». Et d’ajouter : «ce qui est alarmant, c’est que Google est la chose la moins réglementée sur terre».
«Mais peut-être qu’on ne se fait que du cinéma…»
@Figaro
Vous hésitez sur la couleur du pantalon que vous allez mettre, sur ce que vous allez faire demain ou sur l’orientation de votre carrière professionnelle ? Pas de problème : Google vous connaîtra bientôt suffisamment bien pour répondre à votre place. C’est en tout cas l’ambition affichée du leader des moteurs de recherches qui annonce vouloir constituer la base de données personnelles la plus riche au monde.
Google, qui conserve déjà soigneusement toutes les traces de clics et les recherches effectuées par ses utilisateurs, veut mener jusqu’au bout la logique du «dis-moi quels sites tu visites, je te dirais qui tu es». Comment ? En perfectionnant ses algorithmes pour avoir une vision plus précise et une meilleure analyse des navigations de chaque internaute. Or, plus un moteur de recherche connaît son utilisateur, plus il est à même de lui proposer une publicité qui correspond à ses centres d’intérêt.
Cousins d'ADN
Mais, presqu’au même moment, Google réalisait une «petite» opération financière remarquée : une prise de participation minoritaire à hauteur de 3.9 millions de dollars dans 23andMe, une startup détenue par …. la nouvelle épouse d’un des cofondateurs du géant de Mountain View, Sergey Brin. Cette entreprise de biotechnologie encourage les gens à décrypter leur patrimoine génétique pour améliorer les traitements et tendre vers une médecine personnalisée.
Car, aux Etats-Unis et dans plusieurs autres pays, comme la Suisse ou l’Espagne, de nombreuses officines de recherche ADN comme Family Tree DNA font florès et pour quelques centaines de dollars, on peut obtenir sa «carte d’identité» génétique et trouver ses «cousins d’ADN» à travers le monde entier.
Est-il possible alors d’imaginer que Google projette de connaître jusqu’au profil génétique de ses utilisateurs, pour encore mieux les cibler ?
Pour le Génopole d’Evry, «on est à des années lumière de pouvoir faire coïncider un profil Internet avec un profil génétique dans la mesure où regarder Internet suppose d’avoir un profil multigénique et multiculturel». «Cela suppose d’une part que les gens acceptent d’envoyer spontanément des informations sur leur génome et d’autre part, qu’on parvienne à les faire coïncider, ce qui est technologiquement impossible. C’est impensable d’un point de vue éthique», estime Nicole Chemani, directrice de la communication du Génopole. Et d’ajouter : «Il semble juste que quelqu’un ait voulu faire plaisir à sa femme…»
Pas de réglementation
Moins affirmatif, Jean-Marie Chauvet, directeur de LC Capital, spécialiste des entreprises innovantes dans les secteurs des technologies de l'information, estime que ce rapprochement pose des questions. «Il n’est pas sûr que les gens se prêterait à ce jeu-là (…), mais on peut imaginer que Google fasse comme font ces officines de recherche ADN et mettre en ligne des informations relatives à des dossiers médicaux, pour faire des recherches de dissemblance ou de similarité», explique-t-il.
Outre l’énorme problème de confidentialité et de protections des données soulevé par cette hypothèse, «Google détiendrait alors des données personnelles utiles pour les grandes entreprises pharmaceutiques toujours à la recherche d’informations sur des populations spécifiques». Et d’ajouter : «ce qui est alarmant, c’est que Google est la chose la moins réglementée sur terre».
«Mais peut-être qu’on ne se fait que du cinéma…»
@Figaro
ARE UFO REAL ?
CNN LARRY KING LIVE
Are UFOs Real?
Aired July 13, 2007 - 21:00 ET
THIS IS A RUSH TRANSCRIPT. THIS COPY MAY NOT BE IN ITS FINAL FORM AND MAY BE UPDATED.
Are UFOs Real?
Aired July 13, 2007 - 21:00 ET
THIS IS A RUSH TRANSCRIPT. THIS COPY MAY NOT BE IN ITS FINAL FORM AND MAY BE UPDATED.
vendredi 13 juillet 2007
TENDANCES
D'autres publicités apocalyptiques de DIESEL, style Mad Max cette fois-ci :
... et le style "téléportation"
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Le site Dailymotion condamné pour contrefaçon
Sale temps pour les sites de partage de contenus. Après Myspace en juin, c’est au tour de Dailymotion d’être condamné par la justice. Le site a été reconnu coupable vendredi de «contrefaçon» par le Tribunal de grande instance (TGI) de Paris pour avoir laissé diffuser gratuitement le film «Joyeux Noël» au détriment des réalisateur, producteur et distributeur.
La justice a estimé qu'«en acceptant la mise en ligne par un utilisateur de son service» de ce film vu en salle par deux millions de personnes, le site «a commis une faute engageant sa responsabilité civile en fournissant» à cet internaute «les moyens de réaliser une contrefaçon».
Suite
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AGIR COMME UN AVATAR
Influence de SecondLife
... et le style "téléportation"
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Le site Dailymotion condamné pour contrefaçon
Sale temps pour les sites de partage de contenus. Après Myspace en juin, c’est au tour de Dailymotion d’être condamné par la justice. Le site a été reconnu coupable vendredi de «contrefaçon» par le Tribunal de grande instance (TGI) de Paris pour avoir laissé diffuser gratuitement le film «Joyeux Noël» au détriment des réalisateur, producteur et distributeur.
La justice a estimé qu'«en acceptant la mise en ligne par un utilisateur de son service» de ce film vu en salle par deux millions de personnes, le site «a commis une faute engageant sa responsabilité civile en fournissant» à cet internaute «les moyens de réaliser une contrefaçon».
Suite
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AGIR COMME UN AVATAR
Influence de SecondLife
jeudi 12 juillet 2007
ID BIOMÉTRIQUE PAS FIABLE
La vidéosurveillance au placard? La question se pose outre-Rhin. La police allemande a enquêté sur l'identification biométrique et sa conclusion est simple: elle n'est pas fiable. Pas assez efficace en tous cas pour pouvoir, comme elle l'espérait, identifier automatiquement un suspect au milieu d'une foule grâce à des caméras de surveillance reliées à un ordinateur.
Efficacité trop moyenne
Pour arriver à cette conclusion, les autorités allemandes ont réalisé un test grandeur nature. Pendant quatre mois dans une gare de Mayence (Rhénanie-Palatinat) 200 volontaires, dont les données biométriques avaient été fichées au préalable, sont passés devant les objectifs des caméras.
En moyenne, les systèmes informatiques testés n'ont «reconnu» que dans 30% des cas les «cobayes» qui passaient dans le champ de vision des caméras. Pendant la journée, avec des conditions de luminosité satisfaisantes, ce taux tournait autour de 60%, mais le soir ou la nuit, dans l'obscurité, il ne dépassait pas 20%.
Or, pour que les forces de l'ordre recommandent aux autorités politiques l'adoption généralisée d'un tel système, il aurait fallu que le taux de réussite soit «proche de 100%», a expliqué le patron de la police allemande. La police allemande avait investi 210.000 euros dans ce test organisé d'octobre 2006 à janvier 2007, et qu'elle avait présenté comme une «première en Europe».
20 Minutes
Efficacité trop moyenne
Pour arriver à cette conclusion, les autorités allemandes ont réalisé un test grandeur nature. Pendant quatre mois dans une gare de Mayence (Rhénanie-Palatinat) 200 volontaires, dont les données biométriques avaient été fichées au préalable, sont passés devant les objectifs des caméras.
En moyenne, les systèmes informatiques testés n'ont «reconnu» que dans 30% des cas les «cobayes» qui passaient dans le champ de vision des caméras. Pendant la journée, avec des conditions de luminosité satisfaisantes, ce taux tournait autour de 60%, mais le soir ou la nuit, dans l'obscurité, il ne dépassait pas 20%.
Or, pour que les forces de l'ordre recommandent aux autorités politiques l'adoption généralisée d'un tel système, il aurait fallu que le taux de réussite soit «proche de 100%», a expliqué le patron de la police allemande. La police allemande avait investi 210.000 euros dans ce test organisé d'octobre 2006 à janvier 2007, et qu'elle avait présenté comme une «première en Europe».
20 Minutes
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