vendredi 18 mai 2007
mardi 15 mai 2007
SOLDAT JEDI
A la recherche du soldat Jedi
Le Pentagone, la CIA et certaines unités spéciales se sont-ils intéressés au paranormal ? Jusqu’où ont été ces institutions pour comprendre le fonctionnement de la conscience ? A première vue, l’armée américaine ou l’agence de Langley n’ont pas hésité à repousser quelques limites rationnelles ou éthiques pour mener à bien certaines recherches alors que la guerre froide rendait Américains et Soviétiques frénétiques. D’une certaine façon, la CIA et le Pentagone pensaient pouvoir faire de certains soldats d’élite, des Dark Vador capables de tuer à distance par la seule force de l’esprit, de convaincre l’ennemi de désarmer par l’usage de techniques de manipulation psychologique ou encore de se projeter mentalement dans des bases secrètes hostiles situées aux confins de la Sibérie.
La possibilité de créer un super soldat et ou un super agent était, à une certaine époque, la quête du Graal Sacré pour la CIA et l’histoire de l’agence de Langley est riche en expériences portant sur le contrôle du comportement. Les tristement célèbres 149 sous programmes qui ont fait partie de MK-Ultra et qui ont généré un grand nombre de victimes en sont un exemple. Depuis la deuxième guerre mondiale, l’OSS puis la CIA se sont livrés avec un succès mitigé à un nombre impressionnant de recherches souvent totalement dénuées d’éthique pour comprendre le fonctionnement du cerveau et essayer de découvrir si certains pouvoirs surhumains, une sorte de supra intelligence, ne se cachaient pas au tréfonds de notre boîte crânienne. La CIA ne s’est donc pas uniquement contentée de chercher à faire de l’homme un vulgaire robot à la mémoire effaçable, un manchurian candidate qui pouvait tuer un homme suite à l’induction d’un état hypnotique actionné grâce à un mot code. D’où le nom d’opération Spellbinder.
Pour des raisons dont le sens profond nous échappe encore, l’agence s’est adonnée à des expériences et des simulacres d’expériences sur le paranormal, l’ésotérisme, les pratiques rituelles, religieuses et la magie noire. Quelques informations ont transpiré de documents déclassifiés ou de témoignages d’anciens membres de l’agence ou de militaires à la retraite.
Nous allons tenter de vous raconter quelques aspects de cette histoire apparemment incongrue où le Pentagone, la CIA ainsi que des corps d’élite de l’armée américaine ont flirté avec le paranormal....
...Lire le dossier sur Karmapolis
Le Pentagone, la CIA et certaines unités spéciales se sont-ils intéressés au paranormal ? Jusqu’où ont été ces institutions pour comprendre le fonctionnement de la conscience ? A première vue, l’armée américaine ou l’agence de Langley n’ont pas hésité à repousser quelques limites rationnelles ou éthiques pour mener à bien certaines recherches alors que la guerre froide rendait Américains et Soviétiques frénétiques. D’une certaine façon, la CIA et le Pentagone pensaient pouvoir faire de certains soldats d’élite, des Dark Vador capables de tuer à distance par la seule force de l’esprit, de convaincre l’ennemi de désarmer par l’usage de techniques de manipulation psychologique ou encore de se projeter mentalement dans des bases secrètes hostiles situées aux confins de la Sibérie.
La possibilité de créer un super soldat et ou un super agent était, à une certaine époque, la quête du Graal Sacré pour la CIA et l’histoire de l’agence de Langley est riche en expériences portant sur le contrôle du comportement. Les tristement célèbres 149 sous programmes qui ont fait partie de MK-Ultra et qui ont généré un grand nombre de victimes en sont un exemple. Depuis la deuxième guerre mondiale, l’OSS puis la CIA se sont livrés avec un succès mitigé à un nombre impressionnant de recherches souvent totalement dénuées d’éthique pour comprendre le fonctionnement du cerveau et essayer de découvrir si certains pouvoirs surhumains, une sorte de supra intelligence, ne se cachaient pas au tréfonds de notre boîte crânienne. La CIA ne s’est donc pas uniquement contentée de chercher à faire de l’homme un vulgaire robot à la mémoire effaçable, un manchurian candidate qui pouvait tuer un homme suite à l’induction d’un état hypnotique actionné grâce à un mot code. D’où le nom d’opération Spellbinder.
Pour des raisons dont le sens profond nous échappe encore, l’agence s’est adonnée à des expériences et des simulacres d’expériences sur le paranormal, l’ésotérisme, les pratiques rituelles, religieuses et la magie noire. Quelques informations ont transpiré de documents déclassifiés ou de témoignages d’anciens membres de l’agence ou de militaires à la retraite.
Nous allons tenter de vous raconter quelques aspects de cette histoire apparemment incongrue où le Pentagone, la CIA ainsi que des corps d’élite de l’armée américaine ont flirté avec le paranormal....
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CRÈMES SOLAIRES = DANGER !?
La fausse sécurité des crèmes solaires
Par Jean Etienne, Futura-Sciences
Selon un groupe d'experts américains en dermatologie, l'utilisation de crème solaire ne réduit absolument pas le risque de développer un jour un mélanome malin (cancer de la peau). L'effet contraire serait même à craindre…
Le lien entre exposition prolongée au soleil et accélération du vieillissement cutané est aujourd'hui bien établi et expliqué scientifiquement. Le mélanome malin, la plus grave des tumeurs cutanées, potentiellement mortelle, en est aussi une conséquence redoutable. Et pourtant, de nombreuses personnes continuent de se faire griller au soleil, rassurées par la protection que devrait leur apporter la crème solaire dont ils se sont généreusement tartinés.
Pourtant, les études, si elles démontrent que les composants de ces produits protègent efficacement la peau des coups de soleil, du vieillissement prématuré ou des lésions de l'ADN, tout en freinant l'apparition des grains de beauté chez les enfants, montrent aussi qu'elles ne réduisent pas le risque d'apparition de mélanomes...
...lire la suite
Par Jean Etienne, Futura-Sciences
Selon un groupe d'experts américains en dermatologie, l'utilisation de crème solaire ne réduit absolument pas le risque de développer un jour un mélanome malin (cancer de la peau). L'effet contraire serait même à craindre…
Le lien entre exposition prolongée au soleil et accélération du vieillissement cutané est aujourd'hui bien établi et expliqué scientifiquement. Le mélanome malin, la plus grave des tumeurs cutanées, potentiellement mortelle, en est aussi une conséquence redoutable. Et pourtant, de nombreuses personnes continuent de se faire griller au soleil, rassurées par la protection que devrait leur apporter la crème solaire dont ils se sont généreusement tartinés.
Pourtant, les études, si elles démontrent que les composants de ces produits protègent efficacement la peau des coups de soleil, du vieillissement prématuré ou des lésions de l'ADN, tout en freinant l'apparition des grains de beauté chez les enfants, montrent aussi qu'elles ne réduisent pas le risque d'apparition de mélanomes...
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BACTÉRIES ÉNERGÉTIQUES
Des bactéries énergétiques et nettoyeuses
Une équipe de scientifiques australiens a élaboré un système qui permet de recycler l’eau avec des bactéries tout en produisant de l’énergie.
L’équipe du professeur Jürg Keller de l’Université de Queensland (Australie) travaille depuis plusieurs années à la construction d’une « pile à combustible microbienne ». De façon générale, une pile à combustible fonctionne grâce à une réaction chimique d’oxydo-réduction qui génère un courant électrique. Dans le dispositif expérimental imaginé par Keller et ses collègues, les bactéries sont capables de transférer des électrons à l’une des électrodes (anode) de la pile après avoir dégradé les déchets organiques des eaux usées -sucres, amidon, alcool. Ces électrons proviennent de la respiration bactérienne anaérobie (sans oxygène) qui fournit habituellement son énergie à l’organisme. Dans un second compartiment de la pile, l’oxygène réagit au contact d’une autre électrode (cathode) avec les électrons précédemment transférés pour donner de l’eau. La réaction générale crée un courant électrique.
Ce procédé a intéressé une brasserie de bière de la ville de Brisbane, capitale du Queensland, pour traiter une partie des eaux usées qu’elle rejette. Le prototype de la pile qui sera installé courant septembre produira une puissance électrique de 2 kW par jour selon Keller, suffisamment pour alimenter une maison individuelle. Cela peut paraître minime, mais il s’agit avant tout d’un processus de recyclage de l’eau, qui aura l’avantage supplémentaire de produire de l’électricité. Après traitement, l'eau pourra être filtrée et réutilisée par l'usine (mais pas pour le brassage!). A ses débuts, la pile utilisera 2500 litres sur les 2,5 millions rejetés quotidiennement par la brasserie.
Le projet bénéficie du soutien de l’état australien qui a accordé un financement de 85 000 euros pour l’installation de cette pile dans la brasserie. La production d'eau propre est primordial en Australie, le pays subit actuellement une des sécheresses les plus sévères depuis un siècle. La pile fera l’objet d’une présentation au congrès international sur les bio-énergies du futur qui se tiendra fin septembre à Brisbane.
Jeremy Zuber
Sciences et Avenir.com
Une équipe de scientifiques australiens a élaboré un système qui permet de recycler l’eau avec des bactéries tout en produisant de l’énergie.
L’équipe du professeur Jürg Keller de l’Université de Queensland (Australie) travaille depuis plusieurs années à la construction d’une « pile à combustible microbienne ». De façon générale, une pile à combustible fonctionne grâce à une réaction chimique d’oxydo-réduction qui génère un courant électrique. Dans le dispositif expérimental imaginé par Keller et ses collègues, les bactéries sont capables de transférer des électrons à l’une des électrodes (anode) de la pile après avoir dégradé les déchets organiques des eaux usées -sucres, amidon, alcool. Ces électrons proviennent de la respiration bactérienne anaérobie (sans oxygène) qui fournit habituellement son énergie à l’organisme. Dans un second compartiment de la pile, l’oxygène réagit au contact d’une autre électrode (cathode) avec les électrons précédemment transférés pour donner de l’eau. La réaction générale crée un courant électrique.
Ce procédé a intéressé une brasserie de bière de la ville de Brisbane, capitale du Queensland, pour traiter une partie des eaux usées qu’elle rejette. Le prototype de la pile qui sera installé courant septembre produira une puissance électrique de 2 kW par jour selon Keller, suffisamment pour alimenter une maison individuelle. Cela peut paraître minime, mais il s’agit avant tout d’un processus de recyclage de l’eau, qui aura l’avantage supplémentaire de produire de l’électricité. Après traitement, l'eau pourra être filtrée et réutilisée par l'usine (mais pas pour le brassage!). A ses débuts, la pile utilisera 2500 litres sur les 2,5 millions rejetés quotidiennement par la brasserie.
Le projet bénéficie du soutien de l’état australien qui a accordé un financement de 85 000 euros pour l’installation de cette pile dans la brasserie. La production d'eau propre est primordial en Australie, le pays subit actuellement une des sécheresses les plus sévères depuis un siècle. La pile fera l’objet d’une présentation au congrès international sur les bio-énergies du futur qui se tiendra fin septembre à Brisbane.
Jeremy Zuber
Sciences et Avenir.com
OVNI - LASER À PLASMA
Des recherches militaires ont abouti sur un laser à plasma avec lequel il peuvent créer une boule de plasma dans le ciel, semblable à un ovni, qu'il peuvent faire aller dans une direction ou une autre. De plus, ce plasma lumineux crée une sorte de son ou de sifflement. Ainsi, au lieu d'avoir créé une arme destructrice, ils ont créé une arme psychologique qu'ils appellent afffectueusement "La Voix de Dieu". De quoi méduser ou mystifier toute une population !
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jeudi 10 mai 2007
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