Pour s'amuser un peu:
Les autres épisodes :
Kaamelot Episode 3 La table de Breccan
Kaamelot Episode 4 Le chevalier mystère
Kaamelot Episode 5 Le fléau de Dieu
Kaamelot Episode 6 Le garde du corps
Kaamelot Episode 7 Des nouvelles du monde
Kaamelot Episode 8 Codes et strategies
Kaamelot Episode 9 Le maitre d'armes
Kaamelot Episode 10 Le negociateur
Kaamelot Episode 11 Diner dansant
Kaamelot Episode 12 La sixieme sens
Kaamelot Episode 13
Kaamelot Episode 14
Kaamelot Episode 15
Kaamelot Episode 16
Kaamelot Episode 17
Kaamelot Episode 18
Kaamelot Episode 19 Le repos du guerrier
Kaamelot Episode 20 La dent de requin
Kaamelot Episode 21
Kaamelot Episode 22
jeudi 3 janvier 2008
CARPE À VISAGE HUMAIN
TAZER MEURTRIER
Le cas du polonais à l'aéroport de Vancouver mais à la télé française cette fois-ci.
envoyé par Michel_G
envoyé par Michel_G
LES PLUS FAIBLES D'ABORD
On aurait pu croire que, dans la nature, le mâle dominant était toujours celui qui avait droit à la première ration de nourriture. À Rome, l’observation de chats de gouttière vient de révéler un comportement inattendu.
Bien que ces animaux aient effectivement une hiérarchie avec, à son sommet, les mâles les plus agressifs, lorsqu’on s’approche d’un plat de nourriture, ce sont les femelles qui deviennent dominantes. Et de plus, ceci expliquant peut-être cela, ce sont les petits qui sont autorisés à manger en premier.
Sur le plan de l’évolution, cela a du sens : le mâle, en laissant les petits manger en premier, augmente ses chances de voir ses gènes se propager. Mais c’est tout de même la première fois qu’on observe ce comportement chez des mammifères.
La femelle peut même donner un coup de patte sur la tête du mâle qui s’avise de venir fureter dans l’assiette avant les autres!
@cyberpresse
Pour ma part, chez mes parents, nous avions fait une boîte que nous avions déposé sur la galerie arrière dans laquelle une chatte sauvage gardait ses petits. Mon chat, un matou, s'empiffrait à tous les jours et allait régurgiter la nourriture pour les petits de la chatte. On a tendance à sous-estimer les animaux, dans certains cas ils sont plus "humains" que certains d'entre-nous.
Bien que ces animaux aient effectivement une hiérarchie avec, à son sommet, les mâles les plus agressifs, lorsqu’on s’approche d’un plat de nourriture, ce sont les femelles qui deviennent dominantes. Et de plus, ceci expliquant peut-être cela, ce sont les petits qui sont autorisés à manger en premier.
Sur le plan de l’évolution, cela a du sens : le mâle, en laissant les petits manger en premier, augmente ses chances de voir ses gènes se propager. Mais c’est tout de même la première fois qu’on observe ce comportement chez des mammifères.
La femelle peut même donner un coup de patte sur la tête du mâle qui s’avise de venir fureter dans l’assiette avant les autres!
@cyberpresse
Pour ma part, chez mes parents, nous avions fait une boîte que nous avions déposé sur la galerie arrière dans laquelle une chatte sauvage gardait ses petits. Mon chat, un matou, s'empiffrait à tous les jours et allait régurgiter la nourriture pour les petits de la chatte. On a tendance à sous-estimer les animaux, dans certains cas ils sont plus "humains" que certains d'entre-nous.
mercredi 2 janvier 2008
ROBES TECHNOS
Défilé de Hussein Chalayan, collection printemps 2007, dans lequel il a créé des robes qui se transforment toutes seules. C'est assez spectaculaire !
PARIS 2011 : LA GRANDE INONDATION
Paris 2011 - La grande inondation : Film documentaire d'anticipation qui raconte avec précision ce qui se passera lors de la prochaine grande crue de la Seine à Paris. En effet, ce scénario catastrophe qui a eu lieu en 1910 devrait se reproduire dans les années à venir sans que personne ne puisse prédire la date exacte. A travers les histoires croisées de six personnages, le réalisateur, retrace les événements de cette "grande inondation".
L'ÉVOLUTION S'ACCÉLÈRE
L'évolution de la race humaine s'accélère
Le rythme de l'évolution de la race humaine s'accélère grâce à une diversité génétique grandissante résultant de la forte augmentation de la population et de son brassage, selon une étude publiée cette semaine par l'Académie nationale américaine des sciences.
L'énorme explosion du nombre d'êtres humains depuis 40 000 ans, qui a marqué le début de la migration de l'Homo Sapiens hors d'Afrique vers les autres continents, a entraîné une évolution beaucoup plus rapide de notre espèce comparativement aux six millions d'années précédentes, expliquent ces chercheurs dont les travaux paraissent dans la dernière livraison hebdomadaire des Annales de l'Académie nationale des Sciences (PNAS) datée du 10 décembre.
«Nous sommes des personnes beaucoup plus différentes génétiquement que celles vivant il y a 5 000 ans comme ces dernières étaient très différentes des Néanderthaliens», a expliqué John Hawks, un anthropologue de l'Université Wisconsin-Madison, un des co-auteurs de cette étude.
(...)
«La croissance rapide de la population a été couplée à de vastes changements dans les cultures et l'écologie, créant de nouvelles possibilités d'adaptation».
«C'est ainsi qu'au cours des 10 000 ans passés, le squelette et la dentition des humains ont connu une évolution rapide ainsi que de nombreuses nouvelles réponses génétiques au régime alimentaire et aux maladies», ajoutent-ils.
Les migrations humaines dans des environnements nouveaux en Europe et en Asie ont créé des pressions sélectives favorisant par exemple des peaux moins pigmentées de manière à absorber plus de lumière du soleil pour fabriquer de la vitamine D.
@cyberpresse
Le rythme de l'évolution de la race humaine s'accélère grâce à une diversité génétique grandissante résultant de la forte augmentation de la population et de son brassage, selon une étude publiée cette semaine par l'Académie nationale américaine des sciences.
L'énorme explosion du nombre d'êtres humains depuis 40 000 ans, qui a marqué le début de la migration de l'Homo Sapiens hors d'Afrique vers les autres continents, a entraîné une évolution beaucoup plus rapide de notre espèce comparativement aux six millions d'années précédentes, expliquent ces chercheurs dont les travaux paraissent dans la dernière livraison hebdomadaire des Annales de l'Académie nationale des Sciences (PNAS) datée du 10 décembre.
«Nous sommes des personnes beaucoup plus différentes génétiquement que celles vivant il y a 5 000 ans comme ces dernières étaient très différentes des Néanderthaliens», a expliqué John Hawks, un anthropologue de l'Université Wisconsin-Madison, un des co-auteurs de cette étude.
(...)
«La croissance rapide de la population a été couplée à de vastes changements dans les cultures et l'écologie, créant de nouvelles possibilités d'adaptation».
«C'est ainsi qu'au cours des 10 000 ans passés, le squelette et la dentition des humains ont connu une évolution rapide ainsi que de nombreuses nouvelles réponses génétiques au régime alimentaire et aux maladies», ajoutent-ils.
Les migrations humaines dans des environnements nouveaux en Europe et en Asie ont créé des pressions sélectives favorisant par exemple des peaux moins pigmentées de manière à absorber plus de lumière du soleil pour fabriquer de la vitamine D.
@cyberpresse
MOUCHES BISEXUELLES
Des chercheurs suisses ont créé une mouche drosophile mâle génétiquement modifiée attirée indifféremment par des mâles ou des femelles, dans le cadre d'une expérience qui pourrait expliquer les comportements homosexuels.
À l'état sauvage, les mouches drosophiles mâles courtisent très peu leurs homologues masculins mais les chercheurs ont introduit un gène modifié qui «potentialise le comportement homosexuel en réduisant le taux de glutamate à l'extérieur des neurones qui déterminent le comportement homosexuel».
Comme les chercheurs n'ont pas agi sur un autre groupe de neurones déterminant le comportement hétérosexuel, les mouches objets de l'expérience «courtisaient mâles et femelles sans distinction». «La recherche a ainsi montré des mutants masculins rassemblés en ronde amoureuse les uns derrière les autres», a indiqué le Dr Grosjean.
«Cet effet est obtenu aussi bien par modification génétique que pharmacologiquement», selon le scientifique. «Le phénomène est réversible, ce qui suggère que l'homosexualité n'est pas fixée une fois pour toutes», a indiqué le scientifique pour qui l'expérience ouvre «une nouvelle façon de considérer les mécanismes moléculaires et cellulaires orientant le choix du partenaire sexuel».
«La présence de ce groupe de neurones déterminant un comportement homosexuel explique que le comportement homosexuel est détecté dans toutes les espèces», pour le Dr Grosjean.
(...)
@cyberpresse
À l'état sauvage, les mouches drosophiles mâles courtisent très peu leurs homologues masculins mais les chercheurs ont introduit un gène modifié qui «potentialise le comportement homosexuel en réduisant le taux de glutamate à l'extérieur des neurones qui déterminent le comportement homosexuel».
Comme les chercheurs n'ont pas agi sur un autre groupe de neurones déterminant le comportement hétérosexuel, les mouches objets de l'expérience «courtisaient mâles et femelles sans distinction». «La recherche a ainsi montré des mutants masculins rassemblés en ronde amoureuse les uns derrière les autres», a indiqué le Dr Grosjean.
«Cet effet est obtenu aussi bien par modification génétique que pharmacologiquement», selon le scientifique. «Le phénomène est réversible, ce qui suggère que l'homosexualité n'est pas fixée une fois pour toutes», a indiqué le scientifique pour qui l'expérience ouvre «une nouvelle façon de considérer les mécanismes moléculaires et cellulaires orientant le choix du partenaire sexuel».
«La présence de ce groupe de neurones déterminant un comportement homosexuel explique que le comportement homosexuel est détecté dans toutes les espèces», pour le Dr Grosjean.
(...)
@cyberpresse
S'abonner à :
Messages (Atom)