Si vous croisez dans la rue un chien menaçant, il y a de bonnes chances pour que son maître le soit aussi.
Laurie Ragatz et ses collègues de l'Université de Virginie occidentale se sont intéressés à ces chiens que l'American Kennel Club classe parmi les espèces «à risque» d'attaquer des humains.
Et leur intuition s'est vérifiée: les propriétaires de ces chiens sont plus nombreux à admettre avoir commis du vandalisme, à s'être battu ou à avoir utilisé des drogues illicites.
La chercheure fait toutefois remarquer que tout ne repose pas sur la génétique du chien: la personnalité de son maître façonne aussi la sienne.
► cyberpresse
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