Ghis emprisonnée pour refus d’endosser la corporation fictive LANCTÔT, GHISLAINE !
Aujourd’hui 7 avril 2008, Ghis a été ramenée devant le juge Pierre Bachand de la Cour du Québec division criminelle de Granby, pieds et mains menottés, pour une seconde fois. Il est important de noter qu’on l’empecha d’utiliser ses documents pour se défendre.
Le Juge Bachand l’informa que, suite à l’évaluation psychiatrique ordonnée le 3 avril dernier, la psychiatre du CHUS la trouva apte à comparaître. Il a ensuite lu l’acte d’accusation et Ghis a demandé au juge à qui ’adressait-t-il : à la corporation LANCTÔT, GHISLAINE ou à la personne avec un corps, une âme et un esprit qu’elle était. Elle n’a toujours pas obtenu de réponse à cette question. Suite à l’objection de Ghis d’enregistrer un plaidoyer, le juge de son propre chef ordonna à la greffière d’inscrire au procès-verbal un plaidoyer de non-culpabilité.
Le juge Bachand, avec l’accord du procureur Me Champoux, fixe alors la date du procès au 28 mai prochain. Enfin, le juge Bachand a remis l’accusée en liberté moyennant la signature d’un engagement d’habiter son adresse, d’aviser la cour de tout changement d’adresse, de garder la paix et de se présenter le 28 mai 2008 pour le procès. Suite à son intention avouée de ne jamais signer un engagement qui concerne la corporation LANCTÔT, GHISLAINE créée par le gouvernement à laquelle elle ne s’identifie plus, le juge l’avisa qu’elle devra à défaut demeurée détenue jusqu’à la date du procès. Ghis, la femme souveraine a donc été amenée à la prison Tanguay de Montréal.
Source : courriel reçue, donc pas encore confirmé dans les médias. À suivre !
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