
«Nos fillettes ne sont pas des cobayes», titrait en une le magazine Maclean's à la fin août. «Mettre en jeu la santé de millions de femmes canadiennes en suscitant des peurs injustifiées (...) est à mon avis irresponsable», répliquait du tac au tac la pharmaceutique Merck Frosst par voie de communiqué.
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