lundi 9 avril 2007

RÉCHAUFFEMENT PLANÉTAIRE (2)

LA CONDAMNATION

Les experts mondiaux du Giec, qui se sont réunis à Paris, viennent de rendre leur rapport. Verdict : la réalité du réchauffement global et la responsabilité des activités humaines ne font plus guère de doute. Pour les décennies à venir, les prédictions se précisent et apparaissent plutôt pessimistes.

Les conclusions peuvent se résumer en quelques points :
- le réchauffement global est une réalité mesurable et significative, et s’est fortement accentué depuis les dernières décennies ;
- l’origine de ce phénomène est plus que probablement (on parle de quasi-certitude) à chercher dans les activités humaines, en particulier l’usage de combustibles fossiles, la déforestation et les activités agricoles ;
- l’effet sera durable : si l’on arrêtait toute activité humaine demain, il faudrait plusieurs siècles pour que l’atmosphère retrouve sa composition de 1750.


LA RECONNAISSANCE

Rapport Giec : enfin la reconnaissance mondiale du réchauffement climatique
Cette fois, c’est fait. Les experts mondiaux du climat ont validé le quatrième rapport sur l’environnement proposé par le Giec. La Commission européenne a salué le travail mais il a fallu de subtiles tractations pour éviter des mots qui fâchent dans certains pays. (...)


LA NAISSANCE D'UNE NOUVELLE RELIGION

Depuis des années, l'ONU et l'UNESCO ont implanté un programme d'éducation des masses et des enfants dans les écoles pour que tous souscrivent à l'idée que l'humain est responsable du réchauffement de la planète. On sait que la réalité est tout autre, c'est le soleil qui est responsable du réchauffement. Mais maintenant, après des milliers de répétition dans les médias, plus personne ne remet en question le fait que les humains sont responsable du réchauffement de la planète, on l'entend à tous les jours à la télé. C'est notre nouveau péché créé de toute pièce pour remplacer la religion catholique, qu'on ne ménage pas ces temps-ci d'ailleurs. Alors on va commencer à nous faire payer pour nos péchés. On va augmenter le prix de l'essence en prétextant qu'il faut faire payer les coupables qui sont les méchants automobilistes qui polluent et qui réchauffent la planète. On va imposer des taxes pour l'environnement aux compagnies qui vont nous refiler la facture. C'est le nouveau truc pour nous soutirer nos biens en nous disant que c'est pour notre bien.

INVASION DE CRAPAUDS MUTANTS

Avant de lire l'article, j'aimerais vous faire part d'une réflexion :
Cause de la mutation :
- le code génétique a changé par adaptation à une vitesse spectaculaire ou bien
- dû à la pression de l'environnement, des sections non utilisées du code génétique se sont activées pour pourvoir à l'adaptation dans le milieu.

Je préconise la deuxième raison. Et si c'était ce qu'il nous attend à compter de 2012, où l'afflut de nouvelles énergies cosmiques, venant du centre de la galaxie, éveilleraient en nous des parties de code génétique endormies.

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En 1935, une variété de crapauds buffles (Bufo marinus) a été introduite en Australie afin de lutter contre les invasions de hannetons. Problème : il faut maintenant lutter contre l'invasion des crapauds buffles. Problème annexe : les crapauds buffles sont en train de muter… et de devenir aussi gros que des petits chiens !

Il ne faut pas intervenir dans le cours naturel des choses, nous dit-on. D'autant qu'en Australie, la leçon nous avait déjà été donnée lorsque les premiers colons y avaient introduit le lapin, qui s'était mis à proliférer en l'absence de tout prédateur naturel. Mais la nature humaine est ainsi faite que dès qu'un intérêt financier apparaît, les décideurs n'hésitent pas longtemps…

Ainsi donc, le crapaud buffle, endémique en Amérique du Sud mais se sentant particulièrement bien sur les terres australiennes, s'est mis à proliférer de manière incontrôlée. Rapidement, il a envahi un territoire équivalent à l'Espagne et la France réunies. Et l'absence de maladies et de parasites susceptibles d'en limiter la propagation devrait bientôt les amener, estiment les biologistes à doubler leur territoire d'ici peu.

Et ce n'est pas tout. En 70 ans de présence sur le sol australien, les crapauds se sont tellement bien adaptés que leur physique s'est modifiée. Leurs pattes se sont allongées pour mieux parcourir les immenses territoires qu'ils colonisent maintenant. Ils ont aussi pris du poids. Alors que l'espèce d'origine mesure de 10 à 14 centimètres, ils atteignent quelquefois aujourd'hui la taille d'un petit chien et un poids de 1 kg. Un exemplaire de 37 centimètres du volume d'un ballon de football pour 2 kg vient d'être capturé, et le cas n'est certainement pas isolé.

Graeme Sawyer, coordinateur de Frogwatch, un groupe environnemental australien, n'en revient pas. Il signale que dans cette espèce, les plus gros spécimens sont habituellement les femelles, en poids cela peut aller du simple au double. Mais celui-ci est un mâle. "Je n'aimerais pas rencontrer sa grande sœur", déclare-t-il.

Mais l'histoire ne s'arrête pas là. Le crapaud buffle est aussi une merveille d'adaptation, à tel point que non seulement il occupe maintenant toute une niche écologique, mais qu'il a entrepris de l'agrandir au détriment d'autres espèces. Et pas n'importe lesquelles car il est en train de tuer serpents et crocodiles qu'il rencontre sur son chemin. Comment ? Eh bien simplement parce qu'il est éminemment toxique, et que ces animaux, qui ne l'ont pas répertorié dans leurs archives de l'instinct, ne se gênent pas pour en avaler une bouchée… et en mourir. Sa peau sécrète en effet de la bufoténine (5-hydroxy-N, N-diméthytryptamine), une substance hallucinogène.

Les scientifiques estiment qu'il y aurait actuellement plus de 200 millions de crapauds buffles en Australie. Ceux-ci s'accommodant très bien de la vie citadine, ils prévoient de les retrouver bientôt en grand nombre dans des villes comme Perth, Adélaïde ou Melbourne. Ce qui ne devrait pas trop tarder, leur territoire s'étendant en moyenne de 60 kilomètres par an…

OVNI À OSHAWA

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samedi 7 avril 2007

APOPHIS : MENACE POUR 2036

(QM) - Selon les scientifiques et les astronomes, l'astéroïde Apophis, nommé ainsi en l'honneur du dieu égyptien du mal, pourrait entrer en collision ou s'approcher dangereusement de la Terre en 2036.

Lors de sa découverte en juin 2004 par Roy Tucker, David Tholen et Fabrizio Bernardi de l'UHAS (University of Hawaii Asteroid Survey), les chercheurs de la Nasa se sont intéressés à cet astéroïde et estimaient alors que ce caillou spatial de plus de 250 m de diamètre et dont le poids est évalué à 20 millions de tonnes, avait 1 chance sur 50 de frapper notre planète en 2029. L'énergie développée par cette collision serait, selon leur évaluation, l'équivalent de 20 000 bombes d'Hiroshima.

Les calculs et les estimations se sont raffinés depuis et les probabilités de collision avec la Terre sont maintenant évaluées à 1 chance (ou malchance) sur 45 000. Quoique peu probable, cette collision éventuelle inquiète suffisamment la communauté scientifique pour que les Nations Unies s'y intéressent sérieusement. Ainsi, lors de la conférence annuelle de l'American Association for the Advancement of Science (AAAS) qui a eu lieu ces derniers jours à San Francisco, un groupe de chercheurs de la « Nasa Johnson Space » a présenté à l'assistance une procédure pour tenter de dévier cet astéroïde menaçant.

Inspirés peut-être du film Armageddon du réalisateur Michael Bay et mettant en vedette Bruce Willis, les scientifiques proposent l'envoi d'un vaisseau spatial à proximité d'Apophis. Ainsi, la gravité exercée par le vaisseau sur l'astéroïde pourrait suffire à le faire dévier de sa course et éviter ainsi les risques de collision avec la Terre. La solution de faire exploser l'astéroïde par l'utilisation d'une arme nucléaire a été rapidement écartée, car il est impossible de prévoir le comportement des millions d'éclats qui en résulteraient

Selon les calculs actuels, si rien n'est fait, cette collision pourrait survenir le 13 avril 2036. Une date à inscrire à votre agenda.

SONDAGE - EXTRATERRESTRES

Voici les résultats d'un sondage effectué aux USA en mars 2007 au près de 1100 répondants :

85 % croient que les extraterrestres visitent présentement la Terre;

86% croient que les USA et les autres gouvernements cachent l'information sur les extraterrestes qui nous visitent;

73% seraient très heureux que les gouvernements annoncent l'existence des extraterrestes;

57% comprendraient une politique de désinformation au sujet des extraterrestres pour la sécurité nationale;

48% se disent en colère et voudraient qu'on punisse ceux qui ont fait une entente avec les extraterrestres sans passer par le processus officiel et constitutionnel;

62% ne supportent pas le développement de la "guerre des étoiles", armes qui pourraient être utilisées contre des visiteurs venant de l'espace;

85% voudraient queles extraterrestres se dévoilent une fois pour toutes et montrent leur existence à la planète entière.

RÉCHAUFFEMENT PLANÉTAIRE

Ces temps-ci, il y a un blitz ou un momentum de propagande au sujet de la responsabilité des hommes sur le réchauffement de la planète. Voici deux nouvelles passées sur Radio-Canada il y a quelques jours :







On parle des gaz à effet de serre qu'il faut diminuer pour réduire le réchauffement de la planète, alors que l'on sait très bien que ces gaz ont un effet minime. De plus, une telle augmentation du CO2 est déjà arrivé au moyen-âge et la planète s'était en effet réchauffé. Pour avoir plus de détail, lire les deux articles publiés ici, l'Apocalypse annulée 1 et 2.

Ce que les activistes anti-réchauffement de la planète ne savent pas et ne disent pas, c'est que le réchauffement de la planète n'est pas dû aux gaz à effet de serre mais plutôt à l'augmentation de l'intensité du Soleil. D'ailleurs, les autres planètes aussi sont en train de se réchauffer au même rythme que la Terre. C'est donc une sorte d'été et d'hiver de notre système solaire. Après le réchauffement du moyen-âge, il y a eu une mini ère glaciaire... et c'est un cycle qui se perpétue sur les millénaires.

Un article récent affirme que la planète Mars vit un réchauffement de la planète, et ce, au même rythme que la Terre. À ce que je sache, il n'y a pas de gaz à effet de serre sur Mars, c'est à dire des automobiles et des industries. Voyez ici Mars perdre sa calotte polaire :




Voyez Neptune ici se réchauffant au cours des années, elle est plus lumineuse :



Un dernier point : je vous ai déjà parlé ici d'un cycle d'intensité solaire hors du commun qui va culminé en 2012... lire le court article.

jeudi 5 avril 2007

LES TROUS TERRESTRES

L’étrange phénomène des trous terrestres.
Dans leur livre « Le mystère des crop circles », les auteurs Anderhub et Roth décrivent l’étrange phénomène des trous terrestres, qui fit sensation en Suisse ou des multiples variantes apparurent du jour au lendemain, entre 1972 et 1990. Le trou de loin le plus grand fut creusé dans la nuit du 3 au 4 février 1990, dans une commune proche de la banlieue de Genève. Il se trouvait dans un grand champ ensemencé à l’automne et avait un diamètre de 10 mètres et une profondeur de 12, soit un volume de 942 mètres cubes, dont le poids devait être de plus de 2000 tonnes. Il aurait fallu charger 100 camions de 20 tonnes pour emporter cette terre.

Le mystérieux trou de Begnins dans le canton de Vaud située dans le district de Nyon en Suisse, en une nuit 100 mètres cubes de terre disparurent de ce champ qui ne porte aucune trace de véhicule excavateur (...)

La suite...

OVNIS

mercredi 4 avril 2007

P'TITE VIE, P'TITE MISÈRE

Condition de travail :


Puis les connards :



Et s'envoyer en l'air tant qu'à y être :



Et pourquoi pas l'exploitation équitable :



Dévoilons la stratégie :



Travaillez prudemment :

SERGE CAZELAIS

Serge Cazelais, spécialiste des textes anciens, nous fait part de ses réflexions sur son blogue "Bloguons avec Serge".

SOUCOUPE VOLANTE D'ORIGINE HUMAINE

Voici deux photos, supposément authentiques et appartenant à un russe, Михаила Дубика. Sur la première, on voit des russes examiner une soucoupe volante allemande et sur la deuxième, un pilote observant le curieux engin. Source

MCKINNON A PERDU EN APPEL

Gary McKinnon, le gars qui a hacké les ordinateurs de la NASA et de l'Armée étatsuniennes vient d'être formellement déclaré coupable et peut s'attendre à faire de la prison à vie.

BBC News

lundi 2 avril 2007

ÉPIGÉNÉTISME

Découverte très importante.
L'épigénétisme nous dit que notre génétique personnelle est modifié par l'environnement dans lequel on vit. Ainsi, notre santé et nos émotions sont transmises à nos enfants. Si vous vivez un événement tragique comme le 9/11 et que vous avez un enfant peu de temps après, votre enfant démontrera des signes post-traumatiques de votre expérience sans l'avoir lui-même vécu. Pensez-y, un alcoolique va transmettre son mal de vivre et son état de santé à son enfant naissant. C'est capital comme découverte. On pensait avant que les gênes étaient vérouillés à la naissance alors qu'en fait ils sont modifiés par notre environnement et notre façon de vivre. Qu'avez-vous légués ou que lèguerez-vous à vos enfants ? Que penser de l'effet des micro-ondes, des OGM, des agents de conservation, des pesticides, des insecticides, du bruit, de l'air pollué........
Voici un documentaire en 3 parties sur le sujet :




VOULEZ-VOUS ÊTRE PUCÉS ?

IEEE Spectrum vient de livrer un très intéressant dossier sur l’implantation de puces RFiD sous-cutanées. Passé le témoignage (certes intéressant) d’Amal Graafstra, qui vient de se faire implémenter deux puces VeriChip dans les mains, et qui s’en sert pour démarrer sa voiture ou entrer chez lui - et cela à l’air assez commode, de vivre sans clés dans la poche -, Kenneth R. Foster et Jan Jaeger, explorent, eux, le problème éthique, la face sombre de la technologie : celle qui érode notre vie privée et nos droits à l’intégrité physique.

Imaginons par exemple, comme l’avait suggéré lui-même avec un certain sérieux Scott Silverman, président de VeriChip, dans une interview à Fox News, la chaîne de télévision américaine, que l’on “puce” les immigrants et les travailleurs saisonniers pour aider le gouvernement à les identifier. Est-ce que ces travailleurs consentiraient à être pucés ? “Consentiront-ils vraiment volontairement,, quand le caractère de cet acte volontaire détermine aussi la capacité à gagner de quoi vivre ou sans qu’on puisse comprendre les conséquences d’un refus. […] Quand un employeur donne une carte d’accès à un travailleur par exemple, la société reste propriétaire de la carte. Est-ce que l’employeur va aussi être propriétaire de la puce implantée dans le corps d’un employé ? […] Peut-être que la question importante est de savoir à qui appartient la puce et à qui appartient les données qui sont sur la puce ? L’étiquette électronique peut-elle être lue sans le consentement de la personne chez qui elle est implantée ?”

Consentirons-nous à être pucés ?

puce RFIDEt nous, consentirons-nous à être pucés ? Comme nous le disait récemment l’anthropologue Daniela Cerqui : “L’implant, n’est que le dernier pas de cet accès toujours plus immédiat où l’organisme fusionne avec l’objet”. Aurons-nous vraiment le choix d’ailleurs, quand de cette acceptation dépendra peut-être l’accès à un service, à un travail, à un produit ? Saurons-nous vraiment nous y opposer, si la somme des avantages paraît supérieure à la somme des inconvénients ? On le sait, les services s’imposent souvent par ce biais : on se met à utiliser tous les services en ligne de Google car ils nous font gagner du temps, sans voir les conséquences de cette concentration qui nous rend encore plus captifs d’un fournisseur et de ses services. Ou parce qu’on n’a pas vraiment le choix : on donne notre carte d’identité pour faire vérifier son chèque au moindre commerçant qui la demande, pour ne pas repartir sans nos courses.

Aujourd’hui, des patients acceptent volontairement de se faire implanter une puce dans le bras pour qu’il n’y ait pas d’erreur d’attribution sur leur dossier médical. Demain, on acceptera certainement d’être pucé parce que cela nous donnera des avantages, des droits ou des facilités d’accès…

Le premier inconvénient concernant les puces sous-cutanées, nous répète-t-on, est qu’elles ne sont pas sécurisées. Si l’âge de l’ordinateur nous a appris quelque chose, c’est que les systèmes et les données sont toujours moins sécurisés qu’on le dit. Et la VeriChip, bien qu’elle soit commercialisée pour du contrôle d’accès, manque cruellement de protection. Dans une publication récente du Journal of the American Medical Informatics Association (JAMIA) Ari Juels et ses collègues ont montré que la VeriChip n’avait pas plus de protection qu’un code barre sans fil et qu’il était très simple de construire un objet capable de scanner une VeriChip et de rejouer le signal radio pour déjouer les lecteurs de puce. Pour les cartes d’accès utilisant cette technologie, Chris Paget de IOActive a récemment montré la même chose. Et ne parlons pas du scandale du passeport RFID, il ne cesse d’accumuler des preuves contre lui, de plus en plus accablantes.

La vulnérabilité des puces RFID nous protège

Finalement, tant mieux. La vulnérabilité des puces RFID nous protège de ceux qui auraient l’idée de les déployer comme des outils sécuritaires. Qu’on se le dise donc une bonne fois pour toutes : les données qui composeront ce type de puces ne seront jamais complètement sécurisées ou confidentielles. Ce qui signifie que, contrairement à ce qu’avance le président de VeriChip, il y a certaines applications que ces technologies ne pourront - et ne devront - jamais porter. Il serait temps qu’on comprenne que l’atout premier des technologies, et notamment de celle-ci, n’est pas de sécuriser le monde, au contraire - et ce alors même qu’on cherche a exploiter de plus en plus massivement leurs fonctions de sécurité. Le but, s’il y en a un, c’est de nous en simplifier l’usage. De rendre le monde plus malléable et non pas plus formalisé. Non pas de sécuriser, contrôler, signer et certifier, mais bien de donner une nouvelle place à l’informel qui compose déjà nos relations avec le monde, les objets, les autres.

Le risque, car il y en a un, serait de faire reposer de plus en plus d’applications autour d’une seule clé d’accès, assez voire trop fragile pour être digne de confiance. Pour gérer du contrôle-commande à la maison ou au bureau, ou régler de petits achats, ce n’est pas très grave. Pour gérer des accès ou ses propriétés, c’est peut-être un peu plus délicat. Quant à gérer de l’authentification… on devine vite que c’est absolument n’importe quoi.

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CERVEAU = ORDINATEUR

(...) Dans un article traitant des modèles biologiques numériques du cerveau paru dans l'édition du 6 octobre de Science, O'Reilly affirme que le cortex préfrontal et le ganglion basal opèrent à la façon d'un ordinateur. Les calculateurs numériques fonctionnent en transformant les signaux électriques en états binaires et en manipulant ces états à l'aide de commutateurs. Le chercheur a trouvé les mêmes principes de fonctionnement dans le cerveau. "Les neurones du cortex préfrontal sont binaires - ils ont deux états, actifs ou inactifs - et le ganglion basal est essentiellement un gros commutateur qui permet de permuter dynamiquement différentes parties de ce cortex", affirme-t-il.

Selon O'Reilly, le cerveau dans son ensemble fonctionne plus comme un réseau social que comme un calculateur numérique ; ses neurones communiquent pour permettre l'apprentissage et la mémorisation. Cependant, les caractéristiques de type binaire du cortex préfrontal élargissent les réseaux sociaux en aidant le cerveau à devenir plus flexible dans le traitement d'informations symboliques nouvelles.

Le cortex préfrontal est le centre exécutif du cerveau et supporte la cognition à son plus haut niveau, comme la résolution de problèmes et la prise de décision. Les chercheurs pensent que le cortex préfrontal est essentiel aux capacités intellectuelles humaines. Si les scientifiques parvenaient à mieux saisir cette synthèse entre le cortex préfrontal et le cerveau dans son ensemble, un grand pas serait fait vers une meilleure compréhension de l'intelligence humaine. (...)

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LA SCIENCE DU RIRE

Le rire est un antécédent évolutionnaire de la joie humaine, qui aurait évolué chez les chimpanzés et chez les êtres humains pour établir une hiérarchie sociale. Le rire serait un outil de survie, pas nécessairement une réponse intellectuelle à l'humour. Telle est l'hypothèse de plusieurs chercheurs - neuroscientifiques, psychologues sociaux - qui étudient le rire de manière scientifique.

Jaak Panksepp, un neuroscientifique et psychologue à Washington State University, a découvert que les rats émettent un son ultrasonique (inaudible pour les humains sans équipement spécial) quand ils sont chatouillés, son qui pourrait ressembler aux vocalisations émises par les petits enfants qui rient quand ils sont incités à jouer socialement. Le rire provoquerait chez les animaux l'activation de circuits euphoriques, ce qui serait une indication pour l'interaction amicale en exprimant un message rassurant quant à l'intention de jeu et de non agression.

Chez les humains, il semble qu'il y ait des différences dans la fréquence du rire entre hommes et femmes et également que les personnes rient pour "lubrifier la relation sociale". Le Dr Robert Provine, un neuroscientifique de l'Université de Maryland Baltimore County (UMBC) a remarqué, en observant les gens dans la rue, dans les cafés, etc., que les femmes sont plus portées à rire pendant leurs conversations que les hommes, ce qui n'apparaît pas comme dû au fait que la conversation soit plus drôle. Une explication serait que les femmes sont plus sensibles aux interactions sociales.

Par ailleurs une étude norvégienne semble montrer qu'avoir un bon sens de l'humour est directement associé à la longévité.

Selon le Dr Provine et le Dr Panksepp, le rire aide à contribuer au développement d'une hiérarchie sociale et à signaler l'amitié plutôt que l'agression. Le rire est donc un signe social. Le rire serait une réponse automatique, involontaire, et non un stratagème conscient... et chez les humains, celui qui rit n'est pas forcément amusé (l'acte de rire n'est pas toujours un signe d'humour !). De la même façon, la complexité intrinsèque à une personne - comme l'identité culturelle, la personnalité, le milieu sociologique, les expériences vécues - fait qu'une blague peut être drôle pour l'un et pas du tout pour l'autre. Finalement, comme vous le savez sûrement déjà, le rire est aussi une expérience collective ; les humains auraient une tendance à rire plus dans une salle de cinéma pleine qu'en regardant le même film seuls chez eux.

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DÉVELOPPEMENT EN RÉGION !?

Solution :
Raconter votre région.
Ben quoi, faut savoir se vendre et se mettre en valeur !

dimanche 1 avril 2007

ENTREVUES DU MOIS D'AVRIL

Entrevues du mois d'avril à Conscious Media Network :

LE MYSTÉRIEUX LAC DUN

Il y a huit ans, après des pluies torrentielles, une montagne est disparue dans la province de Guangxi en Chine. À la place, on y a trouvé un lac de 60 pieds de profondeur. Les habitants du coin l'on appelé le lac Dun. Depuis peu, les habitants avaient commencé à y pêcher pour gagner leur vie. On y pêchait des poissons de près de 30 livres. Mais voilà que dans la soirée du 9 mars 2007, les habitants entendirent un gigantesque coup de tonnerre. Lorsqu'ils se rendirent au lac le 10 mars au matin, ils découvrirent d'énormes vortexes dans le lac et celui-ci se vidait rapidement. Depuis, le lac s'est vidé. Personne ne sait vraiment ce qui s'est passé mais on suppose qu'il y a une rivière sousterraine et que la croûte terrestre s'est fendu à cette endroit...

LA GUERRE EN IRAN

Après avoir pénétré les eaux territoriales iraniennes, quinze soldats anglais ont été capturés et tenus en captivité en Iran. Le gouvernement anglais nie avoir pénétré les eaux iraniennes. Mais voilà que deux soldat anglais détenus en Iran, viennent témoigner qu'ils étaient dans les eaux iraniennes. Bien sûr, on peut se demander s'ils parlaient sous la menace des iraniens, mais on peut aussi se demander si les anglais mentent. Quoiqu'il en soit, les Etats-Unis ont déjà commencé des manœuvres militaires dans les eaux du Golfe Persique qui sont considérées comme le plus grand déploiement de ses forces navales dans cette région depuis le début de la guerre contre l’Irak en 2003. L’armée dispose de deux porte-avions et d’avions qui simulent un combat aux larges des côtes iraniennes.

On voit le scénario se dérouler. Tout ce qu'il manque, c'est une attaque terroriste au USA, du genre mini-bombe nucléaire dans une grande ville. Ça va prendre un tel acte car plusieurs généraux ont déjà annoncé publiquement qu'ils refuseraient de faire la guerre en Iran. Un acte terroriste les feraient sûrement changer d'idée, le peuple américain aussi.

OVNI EN OREGON

Vidéo filmée le 20 mars 2007 en Oregon :

OVNI ET ÉTRANGE REFLET