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samedi 3 mai 2008
CONSPIRATION CANADIENNE
Le Canada a préparé l’invasion anglo-saxonne de l’Afghanistan AVANT le 11 septembre
Dans un livre qui devait paraître lundi au Québec, un ancien membre de la « Joint Task Force 2 », une unité d’élite des services secrets militaires canadiens, Denis Morisset, relate huit années d’opérations secrètes. L’ouvrage, intitulé Nous étions invincibles, détaille des actions au Rwanda, en Bosnie et Afghanistan, mais aussi —et c’est une découverte— au Pérou et en Colombie.
Parmi les révélations du livre, l’affirmation que le Canada est intervenu pour préparer l’attaque anglo-saxonne de l’Afghanistan avant que ne surviennent les attentats du 11 septembre 2001.
Cependant, il ne paraîtra pas. L’auteur a été arrêté hier pour avoir sollicité sexuellement des mineures via internet et a été incarcéré. Quand à l’éditeur, JCL, il a reçu une lettre du ministère canadien de la Défense l’informant que cette publication était de nature à mettre en péril la sécurité nationale. Cédant aux pressions, il a immédiatement retiré le livre de son catalogue.
@voltaire
Dans un livre qui devait paraître lundi au Québec, un ancien membre de la « Joint Task Force 2 », une unité d’élite des services secrets militaires canadiens, Denis Morisset, relate huit années d’opérations secrètes. L’ouvrage, intitulé Nous étions invincibles, détaille des actions au Rwanda, en Bosnie et Afghanistan, mais aussi —et c’est une découverte— au Pérou et en Colombie.
Parmi les révélations du livre, l’affirmation que le Canada est intervenu pour préparer l’attaque anglo-saxonne de l’Afghanistan avant que ne surviennent les attentats du 11 septembre 2001.
Cependant, il ne paraîtra pas. L’auteur a été arrêté hier pour avoir sollicité sexuellement des mineures via internet et a été incarcéré. Quand à l’éditeur, JCL, il a reçu une lettre du ministère canadien de la Défense l’informant que cette publication était de nature à mettre en péril la sécurité nationale. Cédant aux pressions, il a immédiatement retiré le livre de son catalogue.
@voltaire
AKHÉNATON ANDROGYNE
Le pharaon Akhénaton avait bien un physique de femme
Akhénaton ressemblait vraiment à l'image sexuellement ambiguë qu'ont laissé de lui les statues parvenues jusqu'à nous: un pharaon aux formes féminines, doté de larges hanches, de seins développés, de longues mains et d'un long visage, estime un chercheur américain, qui suggère des analyses d'ADN pour vérifier sa théorie.
L'apparence de ce roi de l'ancienne Égypte, qui imposa une éphémère religion monothéiste et fut l'époux de Néfertiti au milieu du XIVe siècle avant Jésus-Christ, fait débat depuis de longues années: les représentations sont-elles fidèles ou relèvent-elles d'une interprétation artistique?
Pour le Dr Irwin Braverman, physicien à l'Université de Yale, qui présentait ses conclusions vendredi à la conférence annuelle à l'Université du Maryland sur la mort des personnalités historiques, l'analyse des statues et peintures montre clairement que le pharaon avait «une apparence androgyne». «Il avait un physique féminin, avec des hanches larges et des seins, mais il était masculin, fertile et a eu six filles.»
Il aurait souffert d'une mutation génétique provoquant une production excessive d'hormones féminines, estime le Dr Braverman. La thèse du syndrome de Marfan, qui se signale notamment par l'allongement des mains ou du visage, séduit l'égyptologue et archéologue Donald Redford de l'Université d'État de Penn. Il est d'autant plus convaincu qu'il s'est rendu dans des hôpitaux traitant des personnes atteintes de cette maladie. «Mais c'est très subjectif, je dois le reconnaître», ajoute-t-il.
D'autres chercheurs ont suggéré que le pharaon et sa lignée souffraient du syndrome de Froehlich, dérèglement hormonal qui entraîne le développement de masses graisseuses féminines mais aussi la stérilité -or Akhénaton est censé avoir engendré au moins six filles, souligne le Dr Braverman. L'hypothèse du syndrome de Klinefelter, affection chromosomique à l'origine d'un déficit d'hormones mâles, a aussi été avancée. Le Dr Braverman soupçonne que la famille royale souffrait de gynécomastie, qui entraîne la surproduction d'hormones oestrogènes et le développement excessif des seins chez l'homme...
«J'espère qu'après cette conférence et ce que j'ai montré, cela incitera des égyptologues qui travaillent sur ces choses tout le temps à se pencher sur le sujet», a expliqué le Dr Braverman. Reste à savoir si les spécialistes et le gouvernement égyptien le suivront.
@cyberpresse
Akhénaton ressemblait vraiment à l'image sexuellement ambiguë qu'ont laissé de lui les statues parvenues jusqu'à nous: un pharaon aux formes féminines, doté de larges hanches, de seins développés, de longues mains et d'un long visage, estime un chercheur américain, qui suggère des analyses d'ADN pour vérifier sa théorie.
L'apparence de ce roi de l'ancienne Égypte, qui imposa une éphémère religion monothéiste et fut l'époux de Néfertiti au milieu du XIVe siècle avant Jésus-Christ, fait débat depuis de longues années: les représentations sont-elles fidèles ou relèvent-elles d'une interprétation artistique?
Pour le Dr Irwin Braverman, physicien à l'Université de Yale, qui présentait ses conclusions vendredi à la conférence annuelle à l'Université du Maryland sur la mort des personnalités historiques, l'analyse des statues et peintures montre clairement que le pharaon avait «une apparence androgyne». «Il avait un physique féminin, avec des hanches larges et des seins, mais il était masculin, fertile et a eu six filles.»
Il aurait souffert d'une mutation génétique provoquant une production excessive d'hormones féminines, estime le Dr Braverman. La thèse du syndrome de Marfan, qui se signale notamment par l'allongement des mains ou du visage, séduit l'égyptologue et archéologue Donald Redford de l'Université d'État de Penn. Il est d'autant plus convaincu qu'il s'est rendu dans des hôpitaux traitant des personnes atteintes de cette maladie. «Mais c'est très subjectif, je dois le reconnaître», ajoute-t-il.
D'autres chercheurs ont suggéré que le pharaon et sa lignée souffraient du syndrome de Froehlich, dérèglement hormonal qui entraîne le développement de masses graisseuses féminines mais aussi la stérilité -or Akhénaton est censé avoir engendré au moins six filles, souligne le Dr Braverman. L'hypothèse du syndrome de Klinefelter, affection chromosomique à l'origine d'un déficit d'hormones mâles, a aussi été avancée. Le Dr Braverman soupçonne que la famille royale souffrait de gynécomastie, qui entraîne la surproduction d'hormones oestrogènes et le développement excessif des seins chez l'homme...
«J'espère qu'après cette conférence et ce que j'ai montré, cela incitera des égyptologues qui travaillent sur ces choses tout le temps à se pencher sur le sujet», a expliqué le Dr Braverman. Reste à savoir si les spécialistes et le gouvernement égyptien le suivront.
@cyberpresse
vendredi 2 mai 2008
mercredi 30 avril 2008
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