Salim Aissel enseigne la spiritualité. Il est influencé par les enseignements de Gurdjieff. Toutes les capsules sont ici. Voici une de celles-ci :
Tu deviens ce dont tu te nourris :
jeudi 9 août 2007
AMÉRIQUE DE MARCO POLO
L'Amérique aurait été découverte par Marco Polo, quelque 200 ans avant Christophe Colomb, montre une carte de la Bibliothèque du Congrès à Washington. Ce document, apporté à la Bibliothèque en 1933 par Marcian Rossi et entre les mains du FBI depuis 1943, montre une partie de l'Inde, la Chine, le Japon et l'Amérique du Nord. À côté de la carte figure un bateau, en dessous duquel apparaît le blason de Marco Polo. Une analyse aux rayons ultraviolets a permis d'établir la présence de trois encrages sur cette carte, qui a donc été modernisée dans le temps. L'explorateur aurait notamment dessiné le détroit séparant l'Asie de l'Amérique quatre siècles avant qu'il n'apparaisse sur les cartes européennes. Marco Polo n'a jamais parlé dans le récit de ses voyages d'une quelconque découverte de terre dans la zone de l'Alaska. Toutefois, sur son lit de mort, il aurait dit à ses amis: « Je n'ai pas écrit la moitié de ce que j'ai vu ». Actuellement, la découverte de l'Amérique est attribuée à Christophe Colomb, en 1492. La nouvelle hypothèse est relevée dans un article signé par Thierry Secretan dans la dernière parution de la revue VSD. D'autres travaux soutiennent les hypothèses selon lesquelles l'Amérique fut découverte par l'explorateur chinois Zheng He en 1418 ou lors d'une expédition de Vikings vers l'an 1000.
@Radio-Canada
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NEXUS no 51
Vous devez vous procurer ce numéro de Nexus en vente présentement. Il y a un article de plus de 25 pages sur la "Neurochimie et énergétique sexuelle". L'article est sublime et vous met sur la piste d'une sexualité qui vous amènera à un autre niveau de conscience, plus élevé.
DOSSIER
AU-DELA DE L’ORGASME… DES CLES POUR SAUVER L’AMOUR
L’amour. Un sentiment, une émotion, un instinct, un acte, mais aussi une débauche de phéromones, une orgie d’amphétamines, une chimie complexe, délicieuse et fatale… mais pas irréversible, c’est là le problème. Oxytocine et sérotonine ont beau prendre le relais, la « descente » est souvent douloureuse, mal vécue. C’est pourtant le même scénario depuis la nuit des temps, mais nous voilà toujours aussi surpris, dégrisés, amers. Notre cerveau n’oubliera jamais les sensations extrêmes ressenties dans la phase passionnelle de l’amour, et nous sommes parfois prêts à tout pour les renouveler, les prolonger, quitte à tout gâcher et à multiplier les nouveaux partenaires. Que l’on soit pris dans cette dynamique addictive ou que l’on s’accomode d’une sexualité routinière, le bonheur n’est pas au rendez-vous. Le progrès est-il impossible en amour ? Entre une liberté sexuelle qui nie l’autre, et la tyrannie de l’orgasme réciproque et synchrone, existe-t-il une troisième voie ? Cette extase dont nous parlent les traditions orientales est-elle accessible à nos corps-esprits imprégnés de culpabilité et de rationalité ? C’est ce que croient les adeptes d’un certain tantrisme ou du taoïsme dont les pratiques ont inspiré, au début du siècle, les initiateurs de la méthode Karezza qui nous invite à passer du plaisir à la félicité en déjouant les pièges de la chimie amoureuse et en intégrant la dimension énergétique du sexe, infiniment plus riche que son seul aspect organique. En France, le docteur Gérard Leleu dénonce depuis vingt-cinq ans les effets d’une sexualité vide de sens lancée à corps malmené dans une escalade du hard, cause du désarroi et de l’éclatement des couples. Pour lui, le « salut » passe par l’appropriation par « l’homme occidental rationnel du troisième millénaire » d’une sexualité sacralisée qui manifeste sa part divine… Une nouvelle révolution sexuelle en perspective ?
DOSSIER
AU-DELA DE L’ORGASME… DES CLES POUR SAUVER L’AMOUR
L’amour. Un sentiment, une émotion, un instinct, un acte, mais aussi une débauche de phéromones, une orgie d’amphétamines, une chimie complexe, délicieuse et fatale… mais pas irréversible, c’est là le problème. Oxytocine et sérotonine ont beau prendre le relais, la « descente » est souvent douloureuse, mal vécue. C’est pourtant le même scénario depuis la nuit des temps, mais nous voilà toujours aussi surpris, dégrisés, amers. Notre cerveau n’oubliera jamais les sensations extrêmes ressenties dans la phase passionnelle de l’amour, et nous sommes parfois prêts à tout pour les renouveler, les prolonger, quitte à tout gâcher et à multiplier les nouveaux partenaires. Que l’on soit pris dans cette dynamique addictive ou que l’on s’accomode d’une sexualité routinière, le bonheur n’est pas au rendez-vous. Le progrès est-il impossible en amour ? Entre une liberté sexuelle qui nie l’autre, et la tyrannie de l’orgasme réciproque et synchrone, existe-t-il une troisième voie ? Cette extase dont nous parlent les traditions orientales est-elle accessible à nos corps-esprits imprégnés de culpabilité et de rationalité ? C’est ce que croient les adeptes d’un certain tantrisme ou du taoïsme dont les pratiques ont inspiré, au début du siècle, les initiateurs de la méthode Karezza qui nous invite à passer du plaisir à la félicité en déjouant les pièges de la chimie amoureuse et en intégrant la dimension énergétique du sexe, infiniment plus riche que son seul aspect organique. En France, le docteur Gérard Leleu dénonce depuis vingt-cinq ans les effets d’une sexualité vide de sens lancée à corps malmené dans une escalade du hard, cause du désarroi et de l’éclatement des couples. Pour lui, le « salut » passe par l’appropriation par « l’homme occidental rationnel du troisième millénaire » d’une sexualité sacralisée qui manifeste sa part divine… Une nouvelle révolution sexuelle en perspective ?
mercredi 8 août 2007
TERRE CREUSE
Pour ceux qui s'intéressent à la Terre creuse, voici une vidéo que vous devez voir. Passer les 2 ou 3 premières minutes. It is a must to see and it is obviously in english !
Also, Hollow Earth in video HERE
Also, Hollow Earth in video HERE
WILLIAM COOPER
Rare vidéo de William Cooper décrivant la menace extraterrestre. Je vous présente les dernières 25 minutes car ce sont les plus intéressantes. Vous pouvez toutefois écouter la conférence dans sa totalité ICI.
COLONISATION ASIATIQUE
La colonisation asiatique sous-estimée
La colonisation du continent européen ne se serait pas faite à la suite de vagues migratoires successives venues d'Afrique, comme le stipule l'hypothèse largement répandue. En fait, les populations d'Asie auraient joué un plus grand rôle que celles qui sont venues d'Afrique pour peupler le vieux continent il y a plusieurs millions d'années. Des anthropologues espagnols, italiens et géorgiens aboutissent à cette conclusion à la suite de l'analyse génétique de plus de 5000 dents fossilisées de spécimens d'origine africaine, asiatique et d'Homo Genus. Cette analyse montre que les dents européennes ont des caractéristiques plus asiatiques qu'africaines. Ce constat est vérifié dans des échantillons datant de 1,8 million d'années jusqu'à l'apparition de l'homme de Néandertal, il y a 250 000 ans. Selon cette analyse, cela montre que les populations d'Eurasie et du continent africain ont suivi des cours différents pendant une longue période. Les détails de ces travaux sont publiés dans les Annales de l'académie nationale américaine des sciences (PNAS).
@Radio-Canada
La colonisation du continent européen ne se serait pas faite à la suite de vagues migratoires successives venues d'Afrique, comme le stipule l'hypothèse largement répandue. En fait, les populations d'Asie auraient joué un plus grand rôle que celles qui sont venues d'Afrique pour peupler le vieux continent il y a plusieurs millions d'années. Des anthropologues espagnols, italiens et géorgiens aboutissent à cette conclusion à la suite de l'analyse génétique de plus de 5000 dents fossilisées de spécimens d'origine africaine, asiatique et d'Homo Genus. Cette analyse montre que les dents européennes ont des caractéristiques plus asiatiques qu'africaines. Ce constat est vérifié dans des échantillons datant de 1,8 million d'années jusqu'à l'apparition de l'homme de Néandertal, il y a 250 000 ans. Selon cette analyse, cela montre que les populations d'Eurasie et du continent africain ont suivi des cours différents pendant une longue période. Les détails de ces travaux sont publiés dans les Annales de l'académie nationale américaine des sciences (PNAS).
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