La vidéosurveillance au placard? La question se pose outre-Rhin. La police allemande a enquêté sur l'identification biométrique et sa conclusion est simple: elle n'est pas fiable. Pas assez efficace en tous cas pour pouvoir, comme elle l'espérait, identifier automatiquement un suspect au milieu d'une foule grâce à des caméras de surveillance reliées à un ordinateur.
Efficacité trop moyenne
Pour arriver à cette conclusion, les autorités allemandes ont réalisé un test grandeur nature. Pendant quatre mois dans une gare de Mayence (Rhénanie-Palatinat) 200 volontaires, dont les données biométriques avaient été fichées au préalable, sont passés devant les objectifs des caméras.
En moyenne, les systèmes informatiques testés n'ont «reconnu» que dans 30% des cas les «cobayes» qui passaient dans le champ de vision des caméras. Pendant la journée, avec des conditions de luminosité satisfaisantes, ce taux tournait autour de 60%, mais le soir ou la nuit, dans l'obscurité, il ne dépassait pas 20%.
Or, pour que les forces de l'ordre recommandent aux autorités politiques l'adoption généralisée d'un tel système, il aurait fallu que le taux de réussite soit «proche de 100%», a expliqué le patron de la police allemande. La police allemande avait investi 210.000 euros dans ce test organisé d'octobre 2006 à janvier 2007, et qu'elle avait présenté comme une «première en Europe».
20 Minutes
jeudi 12 juillet 2007
PROCÈS CONTRE DIEU
Un Roumain qui avait porté plainte contre Dieu pour "escroquerie" et "abus de confiance", Lui reprochant notamment de ne pas avoir répondu à ses prières, a été débouté de son action par le Parquet de Timisoara (ouest), a rapporté mercredi le quotidien Evenimentul Zilei.
Mircea Pavel, 40 ans, qui purge une peine de 20 ans de prison pour meurtre, avait porté plainte contre "le nommé Dieu, domicilié aux cieux et représenté en Roumanie par l'Eglise orthodoxe", l'accusant d'"escroquerie, abus de confiance, corruption et trafic d'influence".
"Lors de mon baptême, j'ai conclu un contrat avec l'accusé visant à me délivrer du mal. Or, jusqu'ici, ce dernier n'a pas honoré ce contrat, bien qu'il ait reçu de ma part différents biens et nombreuses prières", a écrit M. Pavel.
Le Parquet de Timisoara l'a toutefois débouté de sa plainte, estimant que "Dieu n'est pas un sujet de droit et n'a pas d'adresse".
@20minutes
Mircea Pavel, 40 ans, qui purge une peine de 20 ans de prison pour meurtre, avait porté plainte contre "le nommé Dieu, domicilié aux cieux et représenté en Roumanie par l'Eglise orthodoxe", l'accusant d'"escroquerie, abus de confiance, corruption et trafic d'influence".
"Lors de mon baptême, j'ai conclu un contrat avec l'accusé visant à me délivrer du mal. Or, jusqu'ici, ce dernier n'a pas honoré ce contrat, bien qu'il ait reçu de ma part différents biens et nombreuses prières", a écrit M. Pavel.
Le Parquet de Timisoara l'a toutefois débouté de sa plainte, estimant que "Dieu n'est pas un sujet de droit et n'a pas d'adresse".
@20minutes
TÉLÉPORTATION EN GALICIA ?
Le 7 mai 2007, Juan M.L. et Bernardo D.G. sont devenus les protagonistes d’un accident bizarre à la périphérie de Lugo. Les évènements se sont déroulés vers 15:00 heures, alors qu’ils allaient en voiture vers une scierie située près de la ville. Apparemment ils étaient à peu près un un kilomètre de leur destination à un endroit connu sous le nom de Piugos da Pena, et avaient juste quitté un concessionnaire d’automobiles connu, lorsqu’ils remarquèrent un brouillard dense qui est semblait apparaitre de leur véhicule.
Ils sont allés voir ce qu’il se passait. La fumée s’est évanouie. Seulement quelques secondes après avoir continué leur escapade, ils réalisèrent qu’ils étaient à un endroit complètement différent de là où ils se trouvaient avant.
"Nous n’avions aucune idée de là où nous nous trouvions," a dit Juan. "Nous étions seulement à quelques mètres de la scierie et nous nous retrouvâmes soudainement près d’une route avec un panneau indiquant : "Santa Eulalia de Bóveda". Donc, complètement étonnés, nous avons décidé de continuer à conduire jusqu’à Santa Eulalia pour voir si nous pouvions aller à la scierie depuis là-bas."
En un clin d’oeil, nous avons traversé 6 kilomètres qui nous séparais des environs de la scierie et du détour à Santa Eulalia de Bóveda. Pendant qu’ils cherchèrent la route du retour, les deux hommes furent témoin d’un phénomène étrange : le Soleil semblait apparaître au milieu d’un triangle brumeux, gigantesque.
http://inexplicata.blogspot.com/
via News of tomorrow
Ils sont allés voir ce qu’il se passait. La fumée s’est évanouie. Seulement quelques secondes après avoir continué leur escapade, ils réalisèrent qu’ils étaient à un endroit complètement différent de là où ils se trouvaient avant.
"Nous n’avions aucune idée de là où nous nous trouvions," a dit Juan. "Nous étions seulement à quelques mètres de la scierie et nous nous retrouvâmes soudainement près d’une route avec un panneau indiquant : "Santa Eulalia de Bóveda". Donc, complètement étonnés, nous avons décidé de continuer à conduire jusqu’à Santa Eulalia pour voir si nous pouvions aller à la scierie depuis là-bas."
En un clin d’oeil, nous avons traversé 6 kilomètres qui nous séparais des environs de la scierie et du détour à Santa Eulalia de Bóveda. Pendant qu’ils cherchèrent la route du retour, les deux hommes furent témoin d’un phénomène étrange : le Soleil semblait apparaître au milieu d’un triangle brumeux, gigantesque.
http://inexplicata.blogspot.com/
via News of tomorrow
mercredi 11 juillet 2007
CAMBRIOLAGE AVEC L'AIDE DE GOOGLE
Ils avaient tout: les plans des lieux, les clés, le code pour accéder aux trois coffres-forts. Mais sans Google, les deux cambrioleurs de Bigg City, le plus grand parc d'attraction du Colorado (Etats-Unis), seraient repartis bredouilles. Sans les 12.000 dollars (8.800 euros) qui leur étaient promis. Retour sur un larcin plutôt comique.
Ils nettoyent les caméras
Mardi matin, deux individus, «deux hommes blancs», s’introduisent par effraction dans les locaux du parc d'attractions situé à Colorado Springs. Première cible: les caméras de surveillance. Les deux «demi-professionnels» du vol essayent de les neutraliser à l’aide d’un spray qui s’avère être un nettoyant. Finalement les lentilles des caméras sont encore plus propres. Mieux, ou pire: ils aspergent des alarmes anti-feu croyant à d’autres caméras…
Merci Google
Une fois arrivés devant les trois alléchants coffres-forts, les deux pieds nickelés réalisent, après une heure et quart de tentatives malheureuses, qu’il faut tourner deux ou trois fois le cadran pour les ouvrir. Devant la perspective d’un échec, les deux décident de questionner Google: «Comment ouvrir un coffre- fort ?» Ou «Comment cracker un coffre?» Des requêtes que la police a retrouvées sur l’ordinateur installé dans une pièce voisine. Finalement, à l’aide de Google, les malfrats réussissent à ouvrir les coffres et s’emparent de 12.000 dollars.
Des anciens employés
Le magot et les deux voleurs sont toujours dans la nature, mais la police de Colorado Springs a son idée. Elle soupçonne d’anciens employés de Bigg City. Pour l'enquêteur Chuck Ackerman, un brin ironique: «Ce ne sont pas des professionnels des coffres-forts». Et de conclure: «Vraiment pas.»
Mohamed Najmi
20Minutes.fr, éditions du 11/07/2007 - 16h14
Ils nettoyent les caméras
Mardi matin, deux individus, «deux hommes blancs», s’introduisent par effraction dans les locaux du parc d'attractions situé à Colorado Springs. Première cible: les caméras de surveillance. Les deux «demi-professionnels» du vol essayent de les neutraliser à l’aide d’un spray qui s’avère être un nettoyant. Finalement les lentilles des caméras sont encore plus propres. Mieux, ou pire: ils aspergent des alarmes anti-feu croyant à d’autres caméras…
Merci Google
Une fois arrivés devant les trois alléchants coffres-forts, les deux pieds nickelés réalisent, après une heure et quart de tentatives malheureuses, qu’il faut tourner deux ou trois fois le cadran pour les ouvrir. Devant la perspective d’un échec, les deux décident de questionner Google: «Comment ouvrir un coffre- fort ?» Ou «Comment cracker un coffre?» Des requêtes que la police a retrouvées sur l’ordinateur installé dans une pièce voisine. Finalement, à l’aide de Google, les malfrats réussissent à ouvrir les coffres et s’emparent de 12.000 dollars.
Des anciens employés
Le magot et les deux voleurs sont toujours dans la nature, mais la police de Colorado Springs a son idée. Elle soupçonne d’anciens employés de Bigg City. Pour l'enquêteur Chuck Ackerman, un brin ironique: «Ce ne sont pas des professionnels des coffres-forts». Et de conclure: «Vraiment pas.»
Mohamed Najmi
20Minutes.fr, éditions du 11/07/2007 - 16h14
DE L'ARGENT DANS LES TOILETTES
De nouvelles enveloppes contenant des billets de banque accompagnés d'un mot invitant à accomplir de "bonnes actions" ont été découvertes dans tout le Japon, transformant une singulière chasse au trésor en énigme nationale.
L'affaire fait la une des médias japonais, qui évaluent à deux millions de yens (12.000 euros) la fortune éparpillée jusqu'à présent par un mystérieux bienfaiteur dans les toilettes du Japon.
Les nouvelles découvertes d'argent dans le nord et le sud de l'archipel sont identiques à celles faites les jours précédents: il s'agit d'enveloppes contenant un billet de 10.000 yens (60 euros) déposées dans des toilettes pour hommes de bâtiments publics.
Elles sont toutes accompagnées d'une lettre anonyme, apparemment écrite par la même personne, affirmant, en idéogrammes calligraphiés au pinceau et d'inspiration bouddhique: "Sachez faire fructifier l'héritage de 10.000 yens ci-joint pour instruire votre édification personnelle".
"S'il vous plaît, engagez-vous avec un coeur généreux dans toute sorte de bonnes actions. Puissiez-vous être serein", exhorte encore la lettre.
Mercredi, les autorités de la préfecture de Miyazaki (sud) et de Sapporo (nord) ont précisé que les enveloppes découvertes contenaient un montant total de 100.000 yens.
"Nous ignorons qui a laissé l'argent et quels sont ses motifs", a avoué un porte-parole de la municipalité de Sapporo. "Jusqu'à hier nous n'avions pas conscience que cette affaire avait une ampleur nationale. Je suis réellement surpris", a-t-il ajouté.
Selon l'agence Kyodo, ces enveloppes auraient été découvertes dans plus de dix établissements publics à travers le Japon.
Tous les cas rendus publics correspondent à de l'argent rapporté à la police par des citoyens, conformément à la réputation d'honnêteté des Japonais.
On ignore si d'autres ont préféré empocher les 10.000 yens. En l'absence vraisemblable de réclamation du propriétaire, l'argent ira garnir les coffres de la police.
L'affaire fait la une des médias japonais, qui évaluent à deux millions de yens (12.000 euros) la fortune éparpillée jusqu'à présent par un mystérieux bienfaiteur dans les toilettes du Japon.
Les nouvelles découvertes d'argent dans le nord et le sud de l'archipel sont identiques à celles faites les jours précédents: il s'agit d'enveloppes contenant un billet de 10.000 yens (60 euros) déposées dans des toilettes pour hommes de bâtiments publics.
Elles sont toutes accompagnées d'une lettre anonyme, apparemment écrite par la même personne, affirmant, en idéogrammes calligraphiés au pinceau et d'inspiration bouddhique: "Sachez faire fructifier l'héritage de 10.000 yens ci-joint pour instruire votre édification personnelle".
"S'il vous plaît, engagez-vous avec un coeur généreux dans toute sorte de bonnes actions. Puissiez-vous être serein", exhorte encore la lettre.
Mercredi, les autorités de la préfecture de Miyazaki (sud) et de Sapporo (nord) ont précisé que les enveloppes découvertes contenaient un montant total de 100.000 yens.
"Nous ignorons qui a laissé l'argent et quels sont ses motifs", a avoué un porte-parole de la municipalité de Sapporo. "Jusqu'à hier nous n'avions pas conscience que cette affaire avait une ampleur nationale. Je suis réellement surpris", a-t-il ajouté.
Selon l'agence Kyodo, ces enveloppes auraient été découvertes dans plus de dix établissements publics à travers le Japon.
Tous les cas rendus publics correspondent à de l'argent rapporté à la police par des citoyens, conformément à la réputation d'honnêteté des Japonais.
On ignore si d'autres ont préféré empocher les 10.000 yens. En l'absence vraisemblable de réclamation du propriétaire, l'argent ira garnir les coffres de la police.
iPOD DU TONNERRE
Un gars de Vancouver faisait du jogging même s'il pleuvait, de toute façon, il pleut tout le temps à Vancouver. Soudain, un éclair le frappa. Le courant passa par ses écouteurs, ce qui lui défonça les timpans et lui fractura la mâchoire. Il fut projeter sur une distance de deux mètres. Il est toujours vivant.
Le iPod, ça décoiffe !
@new scientist
Le iPod, ça décoiffe !
@new scientist
S'abonner à :
Messages (Atom)