AUSTRALIE - Les candidats au poste de «gardien» de l'île tropicale de Hamilton, sur la Grande barrière de corail, peuvent se manifester jusqu'à dimanche...
Les autorités australiennes ont annoncé ce mardi que plus de 18.000 personnes, originaires de 200 pays, ont déposé une candidature pour le «meilleur job du monde» dans l'espoir d'être payées à flâner sur les plages d'une île australienne.
Les candidats au poste de «gardien» de l'île tropicale de Hamilton sur la Grande barrière de corail peuvent se manifester jusqu'à dimanche (en déposant leur candidature sur le site www.islandreefjob.com), date-limite de l'annonce.
«Nous avons été vraiment ébahis par les moyens mis en oeuvre par les postulants pour attirer l'attention sur leurs candidatures», a déclaré Nicole McNaughton, porte-parole de l'Office du Tourisme du Queensland. Le gouvernement de cet Etat du nord-est du pays annonce d'ailleurs que la compétition sera acharnée.
105.000 dollars pour six mois
«Les candidats ont envoyé des communiqués de presse indiquant leur propre couverture médiatique et ils ont monté des sites internet dédiés à leurs candidatures», a-t-elle ajouté.
Les postulants doivent envoyer une vidéo en anglais d'une minute expliquant pourquoi ils sont les plus qualifiés pour le poste.
En plus d'un salaire de 150.000 dollars australiens (105.000 dollars américains) pour les six mois, le lauréat bénéficiera aussi d'un billet d'avion depuis son domicile jusqu'à l'île paradisiaque.
Gérer un blog pour seule contrainte
Agé d'au moins 18 ans, il (ou elle) aura pour mission de prendre le soleil, flâner sur des plages immaculées, explorer les fonds marins, faire du bateau et surtout d'alimenter chaque semaine un blog avec photos et vidéos.
Logé dans une luxueuse villa avec piscine et golf, le gardien idéal devra être bon nageur, «excellent communicant» et capable de lire et écrire en anglais.
Cette initiative s'inscrit dans le cadre d'une campagne destinée à préserver l'industrie touristique du Queensland, qui pèse 18 milliards de dollars, pendant la crise économique.
Une première sélection de 50 candidats sera annoncée le 2 mars. Parmi eux, 11 lauréats se rendront sur l'île pour passer des entretiens d'embauche à partir du 3 mai. L'heureux élu aura la réponse finale le 6 mai.
mardi 17 février 2009
lundi 16 février 2009
SUPERMARCHÉ SOUS SURVEILLANCE
Une vision actuellement localisée qui pourrait devenir une vision d'avenir généralisée...
Dans un même ordre d'idées :
La Guadeloupe ressemble presque à un laboratoire pour mondialistes pervers. Comme si on faisait des tests en circuit fermé, sur une île, avant l'implantation du nouvel ordre mondial.
Dans un même ordre d'idées :
La Guadeloupe ressemble presque à un laboratoire pour mondialistes pervers. Comme si on faisait des tests en circuit fermé, sur une île, avant l'implantation du nouvel ordre mondial.
LES ANNALES AKASHIQUES
Daniel Meurois Givaudan nous fait un petit cours scientifico-méta-psychologique :
BOULE DE FEU AU TEXAS
C'est étrange, on dirait qu'elle se relève à la fin de sa trajectoire. Peut-être un effet d'optique ou autre chose :
Voici l'explication-média :
Voici l'explication-média :
dimanche 15 février 2009
BLEU : COULEUR DE LA CRÉATIVITÉ
Les couleurs ont-elle une réelle influence sur nos compétences? Oui, à en croire une étude qui fait apparaître que le rouge et le bleu n'agissent pas de la même manière sur notre cerveau: le bleu stimulerait notre créativité, alors que le rouge nous donnerait le souci du détail.
«Les gens ne sont pas conscients de cet effet», s'émerveille le premier auteur Juliet Zhu, spécialiste du comportement à l'université de Colombie-Britannique (Canada), dont les travaux sont publiés dans le dernier numéro de la revue Science.L'effet de la couleur sur le subconscient est un des domaines les plus recherchés en psychologie, en partie parce que les responsables du marketing l'utilisent à des fins commerciales. Cette nouvelle étude montre à quel point ils doivent être prudents, car le rouge et le bleu peuvent provoquer des réactions bien différentes, selon la tâche impliquée.
Pour les besoins de l'expérience, des étudiants ont été soumis à une série de tests cognitifs, la plupart à partir d'écrans d'ordinateur de couleur rouge ou bleue. Les deux couleurs pouvaient mettre en valeur leurs performances, mais de façon très différente.
Les étudiants ont mémorisé plus de mots quand la liste de mots à retenir se trouvait sur l'écran rouge. Invités à réfléchir aux différents usages d'une brique, les individus face à l'écran rouge ont dressé une liste pratique, comme «construire une maison», alors que ceux assis devant un écran bleu ont été plus créatifs.
Quand ils visionnaient des annonces publicitaires, ceux qui voyaient les écrans rouges se fixaient sur ce qui était à éviter: ils préféraient le dentifrice anti-gingivite à celui qui blanchit les dents. Ceux face au bleu choisissaient les images de voyage d'une pub filmée, plutôt que la technicité d'une autre.
Parce que les gens apprennent tôt que le rouge implique de fuir le danger, peut-être sont-ils ralentis par cette couleur, ce qui leur permet d'être meilleurs dans le discernement des détails lors de la mémorisation, de la relecture, avance Zhu. De même, ils associent le bleu au ciel, à la liberté, à la paix, ce qui favorise peut-être l'envie d'explorer et stimule la créativité.
«Il existe une corrélation entre ces couleurs et les différentes motivations», ajoute la chercheuse.
Si ces découvertes se confirment, la découverte du lien entre couleur et créativité pourrait être une avancée importante. Pionnier dans le domaine de la psychologie des couleurs, Andrew Elliot, de l'université de Rochester (New York), fait toutefois preuve de prudence, notant que l'étude ne prend en compte ni l'intensité ni l'éclat de la couleur considérée.
La recherche sur les couleurs concerne essentiellement le rouge. On sait, par exemple, qu'il favorise les sportifs qui le portent, parce qu'il intimide. Elliot a par ailleurs établi que le rouge rendait les femmes plus séduisantes aux yeux des hommes, une information importante à l'approche de la Saint-Valentin.
@cyberpresse
«Les gens ne sont pas conscients de cet effet», s'émerveille le premier auteur Juliet Zhu, spécialiste du comportement à l'université de Colombie-Britannique (Canada), dont les travaux sont publiés dans le dernier numéro de la revue Science.L'effet de la couleur sur le subconscient est un des domaines les plus recherchés en psychologie, en partie parce que les responsables du marketing l'utilisent à des fins commerciales. Cette nouvelle étude montre à quel point ils doivent être prudents, car le rouge et le bleu peuvent provoquer des réactions bien différentes, selon la tâche impliquée.
Pour les besoins de l'expérience, des étudiants ont été soumis à une série de tests cognitifs, la plupart à partir d'écrans d'ordinateur de couleur rouge ou bleue. Les deux couleurs pouvaient mettre en valeur leurs performances, mais de façon très différente.
Les étudiants ont mémorisé plus de mots quand la liste de mots à retenir se trouvait sur l'écran rouge. Invités à réfléchir aux différents usages d'une brique, les individus face à l'écran rouge ont dressé une liste pratique, comme «construire une maison», alors que ceux assis devant un écran bleu ont été plus créatifs.
Quand ils visionnaient des annonces publicitaires, ceux qui voyaient les écrans rouges se fixaient sur ce qui était à éviter: ils préféraient le dentifrice anti-gingivite à celui qui blanchit les dents. Ceux face au bleu choisissaient les images de voyage d'une pub filmée, plutôt que la technicité d'une autre.
Parce que les gens apprennent tôt que le rouge implique de fuir le danger, peut-être sont-ils ralentis par cette couleur, ce qui leur permet d'être meilleurs dans le discernement des détails lors de la mémorisation, de la relecture, avance Zhu. De même, ils associent le bleu au ciel, à la liberté, à la paix, ce qui favorise peut-être l'envie d'explorer et stimule la créativité.
«Il existe une corrélation entre ces couleurs et les différentes motivations», ajoute la chercheuse.
Si ces découvertes se confirment, la découverte du lien entre couleur et créativité pourrait être une avancée importante. Pionnier dans le domaine de la psychologie des couleurs, Andrew Elliot, de l'université de Rochester (New York), fait toutefois preuve de prudence, notant que l'étude ne prend en compte ni l'intensité ni l'éclat de la couleur considérée.
La recherche sur les couleurs concerne essentiellement le rouge. On sait, par exemple, qu'il favorise les sportifs qui le portent, parce qu'il intimide. Elliot a par ailleurs établi que le rouge rendait les femmes plus séduisantes aux yeux des hommes, une information importante à l'approche de la Saint-Valentin.
@cyberpresse
OBAMA VEUT STIMULER LE PAYS ...
... mais c'est 1100 pages à lire en 24 heures pour les élus du congrès :
S'abonner à :
Messages (Atom)