dimanche 8 février 2009
samedi 7 février 2009
MORT AU NOUVEL ORDRE MONDIAL
Traduction libre :
La conspiration du nouvel ordre mondial n'est pas nouvelle, on en entend parler depuis les alentours de l'année 2000. Un nombre grandissant d'étatsuniens pensent que le nouvel ordre mondial est sur le point de prendre le pouvoir. Ils se préparent à combattre en faisant des réserves de nourriture, d'armes et de munitions. Il existe une milice de volontaires à New Mexico qui est composée de fermiers, d'hommes d'affaires et de policiers qui se préparent à stopper le nouvel ordre mondial. Il y aurait 19 millions de patriotes étatsuniens armés prêts à reprendre leur pays.
(...)
@BBC special report
La conspiration du nouvel ordre mondial n'est pas nouvelle, on en entend parler depuis les alentours de l'année 2000. Un nombre grandissant d'étatsuniens pensent que le nouvel ordre mondial est sur le point de prendre le pouvoir. Ils se préparent à combattre en faisant des réserves de nourriture, d'armes et de munitions. Il existe une milice de volontaires à New Mexico qui est composée de fermiers, d'hommes d'affaires et de policiers qui se préparent à stopper le nouvel ordre mondial. Il y aurait 19 millions de patriotes étatsuniens armés prêts à reprendre leur pays.
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@BBC special report
SE FAIRE PHOTOSHOPPER
PRÊT POUR LA RÉVOLUTION ?
Le début d'un mouvement ?
RRR, le Ralliement des Résitants pour la Révolution, par Stan Maillaud :
@RRR
RRR, le Ralliement des Résitants pour la Révolution, par Stan Maillaud :
@RRR
UN TSUNAMI À NEW YORK
Un tsunami a dévasté New York... il y a 2300 ans. C'est ce que révèlent des couches de sédiments analysées sur les rives de Long Island et de la rivière Hudson par une équipe de géologues de l'Université Columbia.
Cette «vague» dévastatrice, qui a laissé des traces jusqu'à 100 km à l'intérieur des terres, fut vraisemblablement le résultat de la chute d'une météorite quelque part dans l'Atlantique.
@cyberpresse
Cette «vague» dévastatrice, qui a laissé des traces jusqu'à 100 km à l'intérieur des terres, fut vraisemblablement le résultat de la chute d'une météorite quelque part dans l'Atlantique.
@cyberpresse
MÉDITER POUR MOINS SOUFFRIR
Les disciples de la méditation zen seraient-ils moins sensibles à la douleur que ceux qui ne la pratiquent pas ?
Il semble bien que oui, montrent les travaux du doctorant Joshua Grant et du professeur Pierre Rainville, de l'Université de Montréal.
Cet effet antidouleur est également perceptible lorsque l'individu n'est pas dans un état méditatif.
La méditation zen est une pratique reconnue par ses adeptes pour apporter un équilibre mental, physique et émotionnel.
L'étudiant Grant voulait déterminer si les adeptes de la méditation avaient une perception différente de la douleur par rapport aux personnes n'ayant jamais pratiqué la méditation.
Des études antérieures ont permis de démontrer que les patients souffrant de douleurs chroniques pouvaient bénéficier de la pratique de la méditation, mais peu de chercheurs ont étudié la résistance à la douleur chez des sujets en santé bien entraînés à cette pratique.
Les chercheurs estiment que leurs travaux constituent un premier pas qui permet de déterminer comment et pourquoi la méditation influence la perception de la douleur.
L'étude
Treize initiés de la méditation ayant un minimum d'environ 1000 heures de pratique ont été soumis à un test de tolérance à la douleur. Leurs réactions ont été comparées à celles de treize autres sujets qui n'ont jamais pratiqué la méditation. Les groupes étaient constitués de 10 femmes et de 16 hommes âgés de 22 à 56 ans.
Le test de tolérance à la douleur était simple: une plaque, à différentes températures, était pressée par intermittence sur les mollets des participants.
Initialement à 43 degrés Celsius, la température était élevée graduellement pour atteindre jusqu'à 53 degrés Celsius, selon la sensibilité des sujets.
Les résultats sont clairs: plusieurs adeptes de la méditation ont toléré la température maximale, alors qu'aucun des sujets témoins n'a pu le faire.
Cette différence de réaction a même été remarquée quand les adeptes de la méditation ne sont pas dans état méditatif.
Ainsi, le fait de pratiquer la méditation zen peut être associé à une diminution de 18 % de la douleur.
La respiration en question
Selon les chercheurs, ceux qui pratiquent la méditation réduisent la sensation de douleur grâce à une respiration plus lente. En comparaison, ils effectuent 12 respirations à la minute par rapport à 15 respirations à la minute en moyenne pour les autres participants.
Le fait de ralentir la respiration semble certainement correspondre à une diminution de la douleur et peut influer sur le contrôle de la douleur en relaxant le corps.
Les résultats peuvent aussi refléter une meilleure capacité individuelle à réguler sa pensée et son attention en rapport avec le concept de la pleine conscience (mindfulness).
@radio-canada
Il semble bien que oui, montrent les travaux du doctorant Joshua Grant et du professeur Pierre Rainville, de l'Université de Montréal.
Cet effet antidouleur est également perceptible lorsque l'individu n'est pas dans un état méditatif.
La méditation zen est une pratique reconnue par ses adeptes pour apporter un équilibre mental, physique et émotionnel.
L'étudiant Grant voulait déterminer si les adeptes de la méditation avaient une perception différente de la douleur par rapport aux personnes n'ayant jamais pratiqué la méditation.
Des études antérieures ont permis de démontrer que les patients souffrant de douleurs chroniques pouvaient bénéficier de la pratique de la méditation, mais peu de chercheurs ont étudié la résistance à la douleur chez des sujets en santé bien entraînés à cette pratique.
Les chercheurs estiment que leurs travaux constituent un premier pas qui permet de déterminer comment et pourquoi la méditation influence la perception de la douleur.
L'étude
Treize initiés de la méditation ayant un minimum d'environ 1000 heures de pratique ont été soumis à un test de tolérance à la douleur. Leurs réactions ont été comparées à celles de treize autres sujets qui n'ont jamais pratiqué la méditation. Les groupes étaient constitués de 10 femmes et de 16 hommes âgés de 22 à 56 ans.
Le test de tolérance à la douleur était simple: une plaque, à différentes températures, était pressée par intermittence sur les mollets des participants.
Initialement à 43 degrés Celsius, la température était élevée graduellement pour atteindre jusqu'à 53 degrés Celsius, selon la sensibilité des sujets.
Les résultats sont clairs: plusieurs adeptes de la méditation ont toléré la température maximale, alors qu'aucun des sujets témoins n'a pu le faire.
Cette différence de réaction a même été remarquée quand les adeptes de la méditation ne sont pas dans état méditatif.
Ainsi, le fait de pratiquer la méditation zen peut être associé à une diminution de 18 % de la douleur.
La respiration en question
Selon les chercheurs, ceux qui pratiquent la méditation réduisent la sensation de douleur grâce à une respiration plus lente. En comparaison, ils effectuent 12 respirations à la minute par rapport à 15 respirations à la minute en moyenne pour les autres participants.
Le fait de ralentir la respiration semble certainement correspondre à une diminution de la douleur et peut influer sur le contrôle de la douleur en relaxant le corps.
Les résultats peuvent aussi refléter une meilleure capacité individuelle à réguler sa pensée et son attention en rapport avec le concept de la pleine conscience (mindfulness).
@radio-canada
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