Le président de la Géorgie, dans cette entrevue à la télé étatsunienne, dit que les russes sont un obstacle à l'Europe et au Nouvel Ordre Mondial. Il le dit à 1 min. environ :
mardi 19 août 2008
lundi 18 août 2008
LINDSEY WILLIAMS
Deux conférences à écouter sans faute. Tout y est. Comment ils contrôlent le monde par le pétrole et les banques. Vous vous rendrez compte qu'ils n'ont plus le choix de frapper fort rapidement pour mettre le monde en esclavage car tout est su maintenant. S'ils attendent trop longtemps, ils échoueront. Les sheiks arabes sont au courant de toute la magouille et ne savent pas comment s'en sortir et informer le monde. N'écoutez plus la télé, vous êtes complètement désinformés. Profitez d'internet pendant que l'info est disponible. Amusez-vous à lire ce qui se dit sur la guerre en Géorgie aux USA, en Russie et en Europe. Vous aurez 3 versoins différentes.
-1-
Lindsey Williams explique qu'il y a deux fois la réserve de pétrole du moyen-orient en Alaska. Cette réserve répond à nos besoins pour 200 ans.-2-
Lindsey Williams explique comment les banquiers veulent prendre le contrôle de la planète. C'est édifiant. Lorsqu'ils mettront les arabes en faillite, ce sera la fin des États-Unis.dimanche 17 août 2008
MANGER SA CRAVATE
samedi 16 août 2008
ALEX COLLIER - MAI 2008
Retour de Collier en mai 2008 dans une conférence plus personnelle. La conférence commence à 11min 30.
500 000 CERCUEILS EN PLASTIQUE
Source : alter-info
Et oui, ce sont des cercueils en plastique bon marché. Des centaines de milliers de cercueils. Vous ne le croyez pas? Pourquoi des cercueils? Pourquoi au beau milieu de l’État de la Géorgie (aux USA)?
Eh bien, apparemment le gouvernement s'attend à ce que un demi million de personnes meurent dans peu de temps, et l'aéroport d'Atlanta est l'un des principaux centre du trafic aérien, probablement le plus grand au pays, ce qui signifie que la Géorgie est une base principale pour conduire et coordonner des opérations militaires. Il s'agit aussi du domicile du Centre de contrôle des maladies. Je ne veux pas alarmer personne, mais de façon général, vous n'achèteriez pas 500,000 cercueils en plastique « juste au cas où quelque chose se passerait, » vous les acheter parce que vous savez que quelque chose va se produire. Ces conteneurs hermétiques légers seraient parfaits pour enterrer les victimes de la peste ou d'une guerre biologique, n'est-ce pas?
Et oui, ce sont des cercueils en plastique bon marché. Des centaines de milliers de cercueils. Vous ne le croyez pas? Pourquoi des cercueils? Pourquoi au beau milieu de l’État de la Géorgie (aux USA)?
Eh bien, apparemment le gouvernement s'attend à ce que un demi million de personnes meurent dans peu de temps, et l'aéroport d'Atlanta est l'un des principaux centre du trafic aérien, probablement le plus grand au pays, ce qui signifie que la Géorgie est une base principale pour conduire et coordonner des opérations militaires. Il s'agit aussi du domicile du Centre de contrôle des maladies. Je ne veux pas alarmer personne, mais de façon général, vous n'achèteriez pas 500,000 cercueils en plastique « juste au cas où quelque chose se passerait, » vous les acheter parce que vous savez que quelque chose va se produire. Ces conteneurs hermétiques légers seraient parfaits pour enterrer les victimes de la peste ou d'une guerre biologique, n'est-ce pas?
DESTITUER MOUSSARRAF
Cette semaine, la coalition pakistanaise au pouvoir, en pleine crise politique, a enclenché un processus formel de destitution contre le président Pervez Moussarraf, l’ancien homme fort militaire du pays.
Moucharraf est profondément détesté par de larges couches de la population pour ses neuf ans de dictature et de soutien à la frauduleuse « guerre au terrorisme » des Etats-Unis. Il s'est emparé du pouvoir lors d'un coup d'Etat militaire en 1999, évinçant le premier ministre Nawaz Sharif qui fut jugé et condamné sous de fausses accusations et ensuite exilé. Sous d'intenses pressions de Washington, Moussarraf retira l'appui du Pakistan au régime taliban en Afghanistan en 2001 et appuya l'occupation de ce pays, menée par les Etats-Unis.
À la suite du simulacre d'élection qui lui donna un second mandat présidentiel, Moussarraf imposa des mesures spéciales draconiennes en novembre dernier et évinça d'importants juges qui menaçaient de déclarer ses actions inconstitutionnelles. Cependant, il ne réussit pas à réprimer l'opposition et fut finalement forcé de tenir en février des élections nationales lors desquelles son parti, la Ligue musulmane du Pakistan-Q (PML-Q), subit une humiliante défaite. Une coalition dirigée par le Parti du peuple pakistanais (PPP) et comprenant la Ligue musulmane du Pakistan (PML) de Sharif prit le pouvoir.
Le gouvernement tente de présenter la destitution de Moucharraf comme un pas de plus dans la « transition vers la démocratie ».
(...)
@alterinfo
Moucharraf est profondément détesté par de larges couches de la population pour ses neuf ans de dictature et de soutien à la frauduleuse « guerre au terrorisme » des Etats-Unis. Il s'est emparé du pouvoir lors d'un coup d'Etat militaire en 1999, évinçant le premier ministre Nawaz Sharif qui fut jugé et condamné sous de fausses accusations et ensuite exilé. Sous d'intenses pressions de Washington, Moussarraf retira l'appui du Pakistan au régime taliban en Afghanistan en 2001 et appuya l'occupation de ce pays, menée par les Etats-Unis.
À la suite du simulacre d'élection qui lui donna un second mandat présidentiel, Moussarraf imposa des mesures spéciales draconiennes en novembre dernier et évinça d'importants juges qui menaçaient de déclarer ses actions inconstitutionnelles. Cependant, il ne réussit pas à réprimer l'opposition et fut finalement forcé de tenir en février des élections nationales lors desquelles son parti, la Ligue musulmane du Pakistan-Q (PML-Q), subit une humiliante défaite. Une coalition dirigée par le Parti du peuple pakistanais (PPP) et comprenant la Ligue musulmane du Pakistan (PML) de Sharif prit le pouvoir.
Le gouvernement tente de présenter la destitution de Moucharraf comme un pas de plus dans la « transition vers la démocratie ».
(...)
@alterinfo
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