envoyé par econologie
samedi 22 décembre 2007
vendredi 21 décembre 2007
ÊTRE DE LUMIÈRE
Nicole rencontre un être de lumière lors d'une expérience de mort imminente. Il lui demanda :
Comment as-tu aimé ?
Qu'as-tu fait pour les autres ?
Et si ces deux questions pointaient vers ce qui est fondamental pour la conscience de l'humain ? Et si ce n'était que cela notre mission ici sur Terre ? Non pas une vie de sacrifice mais de service, au service de la vie.
envoyé par jeffcola
Comment as-tu aimé ?
Qu'as-tu fait pour les autres ?
Et si ces deux questions pointaient vers ce qui est fondamental pour la conscience de l'humain ? Et si ce n'était que cela notre mission ici sur Terre ? Non pas une vie de sacrifice mais de service, au service de la vie.
envoyé par jeffcola
UN VRAI SCHTROUMPH
Paul Karason, un américain de 57 ans a commencé à changer de couleur il y a 14 ans. Ni lui, ni son entourage ne s'est aperçu que sa peau devenait progressivement bleue. La visite d'un ancien copain (qu'il avait perdu de vue depuis longtemps) lui a fait prendre conscience de sa particularité. Ce changement de couleur viendrait d'une substance (agent colloïdal) censée guérir de nombreuses maladies, que Paul Karason a beaucoup ingurgité pendant des années. Depuis qu'il connaît son problème, "l'homme bleu" a préféré quitter son Oregon natal car "les gens étaient hostiles", d'après CNN. Installé en Californie, Paul Karason n'a pas cessé de boire son produit (car il ne pense pas que ce soit cela qui l'a rendu bleu).
envoyé par PeteRock
envoyé par PeteRock
30 000 $ POUR UNE APTERA
Cette étrange voiture en forme de goutte d'eau offre peu de volume intérieur mais ne consomme que 0,78 litre tous les cent kilomètres en utilisation citadine.
Résultat d'un projet industriel de plusieurs années, la Typ-1, du constructeur californien Aptera, sera commercialisée à la fin de 2008 en version électrique (Typ-1 e) et l'année suivante avec un moteur hybride, électrique et essence (Typ-1 h). Le constructeur avait étudié une version hybride avec cycle Diesel, plus efficace selon lui, mais les émissions d'hydrocarbures imbrûlés et d'oxydes d'azote (NOx) auraient dépassé les normes imposées par l'Etat californien. Avec sa motorisation hybride, la Typ-1 h descend à 0,784 litre aux cent kilomètres (300 miles par gallon en unités anglo-saxonnes).
Ce chiffre doit cependant être pris avec distance car, avec la motorisation hybride, la consommation dépend du parcours et plus précisément de la proportion du temps pendant lequel la voiture roule à l'électricité uniquement. Si le véhicule accepte la charge de sa batterie depuis une source externe – ce qui est le cas de la Typ 1-h –, le calcul est encore plus difficile puisque, à la limite, on peut rouler sans essence. Quand elle ne puise que dans sa batterie, la Typ-1 h dispose ainsi d'une autonomie d'environ 80 kilomètres (elle est de 200 kilomètres pour la Typ-1 e). Au-delà, il faudra brûler de l'essence... Pour un long trajet, de plus de 500 kilomètres, la consommation se stabilisera, d'après Aptera, vers 1,8 litre aux cent kilomètres. La valeur de 0,78 l/100 km correspondrait à des trajets de l'ordre de 200 kilomètres, ce qui couvre les besoins quotidiens en déplacement de 99 % des habitants des Etats-Unis d'après Aptera.
(...)
@futura-sciences
Résultat d'un projet industriel de plusieurs années, la Typ-1, du constructeur californien Aptera, sera commercialisée à la fin de 2008 en version électrique (Typ-1 e) et l'année suivante avec un moteur hybride, électrique et essence (Typ-1 h). Le constructeur avait étudié une version hybride avec cycle Diesel, plus efficace selon lui, mais les émissions d'hydrocarbures imbrûlés et d'oxydes d'azote (NOx) auraient dépassé les normes imposées par l'Etat californien. Avec sa motorisation hybride, la Typ-1 h descend à 0,784 litre aux cent kilomètres (300 miles par gallon en unités anglo-saxonnes).
Ce chiffre doit cependant être pris avec distance car, avec la motorisation hybride, la consommation dépend du parcours et plus précisément de la proportion du temps pendant lequel la voiture roule à l'électricité uniquement. Si le véhicule accepte la charge de sa batterie depuis une source externe – ce qui est le cas de la Typ 1-h –, le calcul est encore plus difficile puisque, à la limite, on peut rouler sans essence. Quand elle ne puise que dans sa batterie, la Typ-1 h dispose ainsi d'une autonomie d'environ 80 kilomètres (elle est de 200 kilomètres pour la Typ-1 e). Au-delà, il faudra brûler de l'essence... Pour un long trajet, de plus de 500 kilomètres, la consommation se stabilisera, d'après Aptera, vers 1,8 litre aux cent kilomètres. La valeur de 0,78 l/100 km correspondrait à des trajets de l'ordre de 200 kilomètres, ce qui couvre les besoins quotidiens en déplacement de 99 % des habitants des Etats-Unis d'après Aptera.
(...)
@futura-sciences
MICROPUCES CONTRE LE CANCER
Naviguer dans les vaisseaux sanguins à la recherche de cellules d'origine cancéreuse tenait jusqu'à maintenant de la science-fiction. Plus maintenant!
Des chercheurs américains de la faculté de médecine de l'Université Harvard viennent de créer des micropuces capables de détecter et d'isoler des cellules d'origine cancéreuse qui circulent dans le sang.
Non seulement cette percée technologique permettra un diagnostic plus rapide, mais elle pourra aussi permettre de s'assurer de l'efficacité d'un traitement, affirme Mehmet Toner, l'un des auteurs des travaux.
Ce laboratoire miniature comprend une puce recouverte d'anticorps destinés à piéger les cellules tumorales, sans toutefois les endommager afin de mieux les analyser.
Jusqu'à maintenant, cette puce a été testée sur 116 patients atteints de cancers métastasés du poumon, de la prostate, du sein ou encore du côlon. Elle a mis en évidence la présence de ces cellules chez 115 de ces patients.
En outre, la miropuce a permis de déceler des cellules tumorales dans le sang de 7 patients ayant un cancer de la prostate, non pas avancé, au stade précoce de développement.
Cellules en observation
Les cellules dérivant de tumeurs principales qui circulent dans le sang peuvent être à l'origine de métastases, ces tumeurs secondaires qui naissent à partir du cancer de départ.
Leur présence n'est pas toujours de mauvais augure puisqu'une partie d'entre elles meurent rapidement après avoir atteint le sang et seule une infime portion de ces cellules possède un potentiel métastatique.
L'idée d'avoir un espion sanguin qui les comptabilise est donc intéressante puisque, selon leur quantité, l'équipe médicale pourra adopter un traitement plus ou moins agressif.
Le détail de cette étude est publié dans la revue Nature.
@Radio-Canada
Des chercheurs américains de la faculté de médecine de l'Université Harvard viennent de créer des micropuces capables de détecter et d'isoler des cellules d'origine cancéreuse qui circulent dans le sang.
Non seulement cette percée technologique permettra un diagnostic plus rapide, mais elle pourra aussi permettre de s'assurer de l'efficacité d'un traitement, affirme Mehmet Toner, l'un des auteurs des travaux.
Ce laboratoire miniature comprend une puce recouverte d'anticorps destinés à piéger les cellules tumorales, sans toutefois les endommager afin de mieux les analyser.
Jusqu'à maintenant, cette puce a été testée sur 116 patients atteints de cancers métastasés du poumon, de la prostate, du sein ou encore du côlon. Elle a mis en évidence la présence de ces cellules chez 115 de ces patients.
En outre, la miropuce a permis de déceler des cellules tumorales dans le sang de 7 patients ayant un cancer de la prostate, non pas avancé, au stade précoce de développement.
Cellules en observation
Les cellules dérivant de tumeurs principales qui circulent dans le sang peuvent être à l'origine de métastases, ces tumeurs secondaires qui naissent à partir du cancer de départ.
Leur présence n'est pas toujours de mauvais augure puisqu'une partie d'entre elles meurent rapidement après avoir atteint le sang et seule une infime portion de ces cellules possède un potentiel métastatique.
L'idée d'avoir un espion sanguin qui les comptabilise est donc intéressante puisque, selon leur quantité, l'équipe médicale pourra adopter un traitement plus ou moins agressif.
Le détail de cette étude est publié dans la revue Nature.
@Radio-Canada
10% DU CERVEAU
Nous n'utilisons que 10 % de notre cerveau
Cette fausseté circule depuis des centaines d'années, et persiste aujourd'hui, malgré les importantes percées des dernières années dans la connaissance cérébrale.
L'étude de cerveaux endommagés montre pourtant que toutes les atteintes aux différentes zones du cerveau affectent les capacités mentales et comportementales d'un individu.
Des examens d'imagerie montrent qu'aucune zone du cerveau n'est complètement silencieuse ou inactive. (...)
@Radio-Canada
Cette fausseté circule depuis des centaines d'années, et persiste aujourd'hui, malgré les importantes percées des dernières années dans la connaissance cérébrale.
L'étude de cerveaux endommagés montre pourtant que toutes les atteintes aux différentes zones du cerveau affectent les capacités mentales et comportementales d'un individu.
Des examens d'imagerie montrent qu'aucune zone du cerveau n'est complètement silencieuse ou inactive. (...)
@Radio-Canada
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