mercredi 10 octobre 2007
mardi 9 octobre 2007
BATTERIES À PORTER
Des chercheurs ont inventé des nano-fibres qui seront incorporées dans les vêtements des soldats et qui généreront et accumuleront de l'énergie. Les fibres convertiront l'énergie solaire en énergie utilisable par le soldat.
@technology review
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LE CODE POSTAL DIT TOUT, SUR VOUS
Voila longtemps que les codes postaux servent à distinguer les zones prospères des quartiers difficiles. Mais les informations qu'en tirent les outils de geomarketing sont de plus en plus riches: ils permettent d'estimer votre salaire moyen en fonction de votre quartier, votre appartenance politique, vos loisirs, vos habitudes alimentaires, votre patrimoine immobilier moyen, explique le sociologue de l'université de York, Roger Burrows, en présentant une étude sur le profilage par code postal au dernier Festival de la science organisé par l'association britannique pour l'avancement de la science. Et nombre de ces informations sont déjà disponibles en ligne, comme sur UpMyStreet.com ou CheckMyFile.com (le professeur Burrows a étudié de nombreuses autres sources comme il le rapportait déjà dans une communication datant de 2004).
Le problème c'est que cette pratique contribue elle-même à faire des stéréotypes une realité: “Si votre voisinage parie beaucoup, il est probable qu'une boutique de pari se monte dans le quartier et qu'elle attire encore plus de gens qui aiment parier.” Et de dénoncer la ghettoïsation par classe sociale: nous sommes de plus en plus définis par les habitudes de nos voisins.
En enquêtant sur plusieurs quartiers pour classifier les informations données par ces sociétés et sites, les habitants les ont trouvés étonnamment précises et justes, même s'il y a toujours quelques personnes qui ne cadrent pas avec le type dominant du voisinage. De quoi en tout cas souligner que les actions de nos voisins ont un impact sur nous qui risque bien d'être de plus en plus fort.
@Techno-Sciences
Le problème c'est que cette pratique contribue elle-même à faire des stéréotypes une realité: “Si votre voisinage parie beaucoup, il est probable qu'une boutique de pari se monte dans le quartier et qu'elle attire encore plus de gens qui aiment parier.” Et de dénoncer la ghettoïsation par classe sociale: nous sommes de plus en plus définis par les habitudes de nos voisins.
En enquêtant sur plusieurs quartiers pour classifier les informations données par ces sociétés et sites, les habitants les ont trouvés étonnamment précises et justes, même s'il y a toujours quelques personnes qui ne cadrent pas avec le type dominant du voisinage. De quoi en tout cas souligner que les actions de nos voisins ont un impact sur nous qui risque bien d'être de plus en plus fort.
@Techno-Sciences
PLASTIQUE AUX MAUVAIS HERBES
Faire du plastique à partir de mauvaises herbes
Le RITE (Research Institute of Innovative Technology for the Earth), institut japonais de recherche public, et Honda, ont conjointement développé une méthode permettant de synthétiser du polypropylène à partir de mauvaises herbes. Actuellement synthétisé à partir de pétrole, l'utilisation de matériel végétal permettrait de réduire de 60% les émissions de CO2 induites par sa production.
La cellulose provenant des mauvaises herbes est tout d'abord décomposée en sucres, eux-mêmes fermentés en propan-2-ol par des bactéries génétiquement modifiées. Cet alcool est ensuite utilisé pour la synthèse de polypropylène. Le rendement actuel est de 1kg de polypropylène obtenu pour 2 à 3 kg de plantes.(...) @techno-sciences
DU BIOPLASTIQUE AU SUCRE
Une société italienne, la Bio-On, commencera bientôt à produire du "bioplastique" à partir du sucre. C'est elle qui détient à l'heure actuelle l'exclusivité du projet. Les bioplastiques se sont en effet diffusées dans de nombreux pays, mais n'ont été obtenus jusqu'à présent qu'à partir de céréales. Le projet de Bio-On, quant à lui, présente de nombreux avantages, à commencer par la diversification des produits de base. Ces dernières années le prix des céréales a fortement augmenté, principalement en raison de l'intérêt croissant pour les biocarburants. La technologie développée par la Bio-On permet de combattre ce phénomène.
Le processus fait intervenir les sous-produits, dérivés de la production de sucre à partir de la canne à sucre et de la betterave. Ces sous-produits sont fermentés grâce à une bactérie qui transforme le mélange en acide lactique, filtrés et polymérisés, les transformant ainsi en bioplastique. Le polymère qui résulte de ce nouveau processus industriel est plus résistant que le bioplastique actuellement disponible sur le marché et présente des avantages au niveau du rendement quantitatif: pour obtenir une tonne de bioplastique, il faut 2 tonnes de céréales. Avec le sucre en revanche, le rendement est de 95%.(...) @techno-sciences
Le RITE (Research Institute of Innovative Technology for the Earth), institut japonais de recherche public, et Honda, ont conjointement développé une méthode permettant de synthétiser du polypropylène à partir de mauvaises herbes. Actuellement synthétisé à partir de pétrole, l'utilisation de matériel végétal permettrait de réduire de 60% les émissions de CO2 induites par sa production.
La cellulose provenant des mauvaises herbes est tout d'abord décomposée en sucres, eux-mêmes fermentés en propan-2-ol par des bactéries génétiquement modifiées. Cet alcool est ensuite utilisé pour la synthèse de polypropylène. Le rendement actuel est de 1kg de polypropylène obtenu pour 2 à 3 kg de plantes.(...) @techno-sciences
DU BIOPLASTIQUE AU SUCRE
Une société italienne, la Bio-On, commencera bientôt à produire du "bioplastique" à partir du sucre. C'est elle qui détient à l'heure actuelle l'exclusivité du projet. Les bioplastiques se sont en effet diffusées dans de nombreux pays, mais n'ont été obtenus jusqu'à présent qu'à partir de céréales. Le projet de Bio-On, quant à lui, présente de nombreux avantages, à commencer par la diversification des produits de base. Ces dernières années le prix des céréales a fortement augmenté, principalement en raison de l'intérêt croissant pour les biocarburants. La technologie développée par la Bio-On permet de combattre ce phénomène.
Le processus fait intervenir les sous-produits, dérivés de la production de sucre à partir de la canne à sucre et de la betterave. Ces sous-produits sont fermentés grâce à une bactérie qui transforme le mélange en acide lactique, filtrés et polymérisés, les transformant ainsi en bioplastique. Le polymère qui résulte de ce nouveau processus industriel est plus résistant que le bioplastique actuellement disponible sur le marché et présente des avantages au niveau du rendement quantitatif: pour obtenir une tonne de bioplastique, il faut 2 tonnes de céréales. Avec le sucre en revanche, le rendement est de 95%.(...) @techno-sciences
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