Samedi dernier, une météorite s'est écrasée près d'un village dans les Andes au Pérou. La météorite a laissé un cratère de 30 mètres de largeur dans lequel l'eau s'est mis à bouillir. Les villageois ont remarqué une étrange odeur et beaucoup sont tombés malades d'une maladie inconnue.
Source
mardi 18 septembre 2007
lundi 17 septembre 2007
THE SHOCK DOCTRINE
Petite vidéo tirée du livre de Naomi Klein "The Shock Doctrine," expliquant l'utilisation de thérapie de shock pour faire avancer les agendas politiques et militaires :
NAISSANCE D'UNE IDENTITÉ DE TERRIEN
Depuis le début de l'histoire du cosmos, tout est allé en se complexifiant. Il n'y a aucune raison que cela cesse. Et d'ailleurs, nous voilà, nous les humains, dans une phase excessivement complexe, celle de la mondialisation.
Tout se mondialise. Indéniablement, l'économie. Aussi, notre impact sur la planète. Mais par chance, même notre conscience... C'est à Alain Juppé si attaché à Bordeaux que je disais: "Chaque habitant de votre ville est à la fois Bordelais et terrien. «Chaque Parisien, chaque Montréalais est aussi terrien. Chacun de nous est terrien.
La mondialisation est en marche. C'est un phénomène évolutif, un défipermanent pour l'humanité qui le génère et doit en même temps s'y adapter, éviter de le subir. Il faut tout inventer. Il faudrait garder la maîtrise du processus. Prendre conscience de la situation et agir en terrien, voilà les étapes à franchir.
Prendre conscience de la mondialisation des problèmes
La science nous permet de comprendre ce qui s'est passé. On lui est redevable de nous permettre d'évaluer l'importance de la crise que nous vivons.
Les aérosols provenant de pesticides répandus en un lieu précis voyagent dans l'atmosphère et se retrouvent ailleurs, bien loin de la zone d'émission.
Des îles sans voiture vont disparaître par l'élévation du niveau des eaux des océans réchauffés par des gaz à effet de serre du trafic routier d'autres pays.
Les frontières administratives ne protègent pas des nuages toxiques. On ne peut plus être à l'abri derrière des frontières devenues perméables.
Tout le monde est concerné par tout ce qui se passe sur la planète, que ce soit dans son jardin, dans le champ voisin et même aux antipodes.
Si c'est admis, et il semble que ça le soit, on peut passer à l'étape suivante.
Le jardin auquel nous prodiguons tous nos soins sans en saccager la moindre parcelle est un bon exemple. Il nous faudrait considérer la Terre de la même manière.
Allons-nous savoir considérer la Terre comme notre jardin, donc ne plus en saccager le moindre espace?
Si l'on recense une fois de plus les périls majeurs auxquels l'humanité est confrontée, aux perturbations climatiques, à la perte de biodiversité, à l'accroissement de la population humaine, il faut ajouter la pauvreté et la misère s anitaire qui en découlent.
Je prends souvent l'exemple d'un nid d'oiseau dans lequel un oisillon est malade. Seuls sont nourris les oisillons en bonne santé. Dans une famille humaine, l'enfant malade est l'objet de soins attentifs pour que la guérison survienne. Il nous faudrait considérer les terriens comme une grande famille afin que nul ne soit abandonné à la famine et aux maladies.
Allons-nous continuer à grandir en compassion et ne plus admettre pour les plus éloignés des terriens ce que nous n'admettons pas pour nos proches?
Car finalement, il faut être Français et terrien, Québécois et terrien... Pas simple car les cultures diffèrent, y compris à l'intérieur d'un même pays. Si l'on prend d'autres exemples comme Malien et terrien, Amérindien et terrien, il faut alors prendre en compte l'histoire des peuples...
Cependant, la même origine nous réunit : nous sommes tous «poussières d'étoiles» et devons faire en sorte qu'il soit bientôt anachronique de ne pas nous considérer tous comme formant la communauté humaine des terriens dans la biodiversité planétaire.
Hubert Reeves
Le Journal de Montréal
11/09/2007 09h46
Tout se mondialise. Indéniablement, l'économie. Aussi, notre impact sur la planète. Mais par chance, même notre conscience... C'est à Alain Juppé si attaché à Bordeaux que je disais: "Chaque habitant de votre ville est à la fois Bordelais et terrien. «Chaque Parisien, chaque Montréalais est aussi terrien. Chacun de nous est terrien.
La mondialisation est en marche. C'est un phénomène évolutif, un défipermanent pour l'humanité qui le génère et doit en même temps s'y adapter, éviter de le subir. Il faut tout inventer. Il faudrait garder la maîtrise du processus. Prendre conscience de la situation et agir en terrien, voilà les étapes à franchir.
Prendre conscience de la mondialisation des problèmes
La science nous permet de comprendre ce qui s'est passé. On lui est redevable de nous permettre d'évaluer l'importance de la crise que nous vivons.
Les aérosols provenant de pesticides répandus en un lieu précis voyagent dans l'atmosphère et se retrouvent ailleurs, bien loin de la zone d'émission.
Des îles sans voiture vont disparaître par l'élévation du niveau des eaux des océans réchauffés par des gaz à effet de serre du trafic routier d'autres pays.
Les frontières administratives ne protègent pas des nuages toxiques. On ne peut plus être à l'abri derrière des frontières devenues perméables.
Tout le monde est concerné par tout ce qui se passe sur la planète, que ce soit dans son jardin, dans le champ voisin et même aux antipodes.
Si c'est admis, et il semble que ça le soit, on peut passer à l'étape suivante.
Le jardin auquel nous prodiguons tous nos soins sans en saccager la moindre parcelle est un bon exemple. Il nous faudrait considérer la Terre de la même manière.
Allons-nous savoir considérer la Terre comme notre jardin, donc ne plus en saccager le moindre espace?
Si l'on recense une fois de plus les périls majeurs auxquels l'humanité est confrontée, aux perturbations climatiques, à la perte de biodiversité, à l'accroissement de la population humaine, il faut ajouter la pauvreté et la misère s anitaire qui en découlent.
Je prends souvent l'exemple d'un nid d'oiseau dans lequel un oisillon est malade. Seuls sont nourris les oisillons en bonne santé. Dans une famille humaine, l'enfant malade est l'objet de soins attentifs pour que la guérison survienne. Il nous faudrait considérer les terriens comme une grande famille afin que nul ne soit abandonné à la famine et aux maladies.
Allons-nous continuer à grandir en compassion et ne plus admettre pour les plus éloignés des terriens ce que nous n'admettons pas pour nos proches?
Car finalement, il faut être Français et terrien, Québécois et terrien... Pas simple car les cultures diffèrent, y compris à l'intérieur d'un même pays. Si l'on prend d'autres exemples comme Malien et terrien, Amérindien et terrien, il faut alors prendre en compte l'histoire des peuples...
Cependant, la même origine nous réunit : nous sommes tous «poussières d'étoiles» et devons faire en sorte qu'il soit bientôt anachronique de ne pas nous considérer tous comme formant la communauté humaine des terriens dans la biodiversité planétaire.
Hubert Reeves
Le Journal de Montréal
11/09/2007 09h46
dimanche 16 septembre 2007
CONFIANCE EN L'ESPRIT
La foi est ce qui nous relie directement
à la sagesse universelle.
Elle nous rapelle que nous en savons plus
que ce que nous avons entendu, lu ou appris,
qu'il nous suffit de regarder, d'écouter
et de nous fier à l'amour et la sagesse
de l'Esprit universel
qui est à l'oeuvre en chacun de nous.
à la sagesse universelle.
Elle nous rapelle que nous en savons plus
que ce que nous avons entendu, lu ou appris,
qu'il nous suffit de regarder, d'écouter
et de nous fier à l'amour et la sagesse
de l'Esprit universel
qui est à l'oeuvre en chacun de nous.
Dan Millman
RECOURS COLLECTIF CONTRE MICROSOFT
Marc Lefrançois demande à la Cour supérieure la permission d'intenter un recours collectif de 20 M$ contre la compagnie Microsoft (MSFT).
Le citoyen de Beauport reproche à Microsoft d'avoir comploté afin de réduire la concurrence et ainsi pouvoir vendre ses logiciels d'exploitation d'ordinateurs à des prix artificiellement plus élevés.
Microsoft se retrouve devant les tribunaux à travers le monde depuis de nombreuses années. La compagnie a été reconnue coupable en Europe et aux États-Unis d'avoir violé les lois antitrusts et s'est vu imposer de fortes amendes, notamment 497 millions d'euros par la Commission européenne.
Plusieurs recours collectifs sont inscrits devant les tribunaux tant aux États-Unis qu'ailleurs au Canada.
M. Lefrançois a été un utilisateur d'ordinateurs dans lesquels se retrouvent les logiciels d'exploitation et d'application de Microsoft. Comme il s'est procuré son matériel informatique dans le district judiciaire de Québec, il souhaite donc exercer un recours collectif dans ce district.
Le citoyen de Beauport veut être nommé représentant du groupe que formeraient tous les utilisateurs de logiciels d'exploitation de Microsoft entre le 18 mai 1994 et le 30 juin 2006.
Les dommages réclamés sont la différence entre le prix artificiellement élevé payé pour les produits et le prix qui aurait été payé sur un marché où règne la libre concurrence, précise-t-on dans le document déposé en Cour supérieure.
Toujours selon le document, M. Lefrançois estime que «le groupe peut comprendre plusieurs dizaines de milliers de personnes vu l'usage répandu des micro-ordinateurs».
Pour autoriser le recours collectif, le tribunal devra déterminer si Microsoft a bel et bien empêché la concurrence et en a profité pour vendre ses logiciels à un prix plus élevé qu'elle l'aurait fait s'il y avait eu concurrence.
Enfin, il faut savoir si les actes de Microsoft constituent une faute pouvant entraîner une indemnisation.
Le citoyen de Beauport reproche à Microsoft d'avoir comploté afin de réduire la concurrence et ainsi pouvoir vendre ses logiciels d'exploitation d'ordinateurs à des prix artificiellement plus élevés.
Microsoft se retrouve devant les tribunaux à travers le monde depuis de nombreuses années. La compagnie a été reconnue coupable en Europe et aux États-Unis d'avoir violé les lois antitrusts et s'est vu imposer de fortes amendes, notamment 497 millions d'euros par la Commission européenne.
Plusieurs recours collectifs sont inscrits devant les tribunaux tant aux États-Unis qu'ailleurs au Canada.
M. Lefrançois a été un utilisateur d'ordinateurs dans lesquels se retrouvent les logiciels d'exploitation et d'application de Microsoft. Comme il s'est procuré son matériel informatique dans le district judiciaire de Québec, il souhaite donc exercer un recours collectif dans ce district.
Le citoyen de Beauport veut être nommé représentant du groupe que formeraient tous les utilisateurs de logiciels d'exploitation de Microsoft entre le 18 mai 1994 et le 30 juin 2006.
Les dommages réclamés sont la différence entre le prix artificiellement élevé payé pour les produits et le prix qui aurait été payé sur un marché où règne la libre concurrence, précise-t-on dans le document déposé en Cour supérieure.
Toujours selon le document, M. Lefrançois estime que «le groupe peut comprendre plusieurs dizaines de milliers de personnes vu l'usage répandu des micro-ordinateurs».
Pour autoriser le recours collectif, le tribunal devra déterminer si Microsoft a bel et bien empêché la concurrence et en a profité pour vendre ses logiciels à un prix plus élevé qu'elle l'aurait fait s'il y avait eu concurrence.
Enfin, il faut savoir si les actes de Microsoft constituent une faute pouvant entraîner une indemnisation.
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