Les russes s'apprêtent à aller planter un drapeau à des milliers de pieds dans les profondeurs de la mer au pôle nord et ainsi prendre possession du territoire. Ils veulent mettre la main sur les importantes réserves de pétroles et d'or qui s'y trouvent.
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mercredi 1 août 2007
PRIER POUR ISRAEL !?
Un regroupement d'église aux États-Unis prient pour Israël, pour que son territoire s'agrandisse. Ils veulent que l'Armageddon arrive le plus vite possible pour que Jésus puisse faire son retour et convertisse les juifs aux christianisme. Les chrétiens étatsuniens, eux, pendant ce temps, seront enlevés, sauvés par le Christ lui-même. Pour les non-croyants, se sera la fin. La Terre sera nettoyée de ces mécréants. C'est ce qu'ils disent dans la vidéo. Et si vous posez des questions embarrassantes, on vous demandera de quitter !
LE CLITORIS, CE CHER INCONNU
C'est bien fait et les scènes de nudité sont filmées avec respect. Alors, vous êtes maintenant avisés que cette vidéo contient des scènes de nudité.
Cette vidéo a été censurée chez DailyMotion mais elle est toujours disponible sur YouTube, en anglais cette fois-ci :
http://www.youtube.com/watch?v=7rBp4DRgiJo
Cette vidéo a été censurée chez DailyMotion mais elle est toujours disponible sur YouTube, en anglais cette fois-ci :
http://www.youtube.com/watch?v=7rBp4DRgiJo
mardi 31 juillet 2007
JOURNALISME CITOYEN
NowPublic, du journalisme-citoyen ambitieux
Glenn Champan, Agence France-Presse
30 juillet 2007 - 13h19
Le site internet d'information NowPublic ambitionne de devenir, avec ses journalistes-citoyens, «la plus grosse agence de presse du monde» d'ici un an et demi, et a annoncé lundi un financement de 10,6 millions de dollars américains pour parvenir à ce but.
Surfant sur la vague du «journalisme-citoyen», NowPublic permet à tout un chacun de poster sur le web les images ou les films pris à l'aide de téléphones portables ou de caméras numériques.
La start-up basée à Vancouver, au Canada, revendique un taux de croissance mensuel de 35% et près de 120 000 «reporters» dans plus de 140 pays.
En 2007, le magazine Time a distingué NowPublic dans sa liste des 50 sites internet les plus marquants de l'année. Et le site compte bien aller plus loin.
«Je vous promets que dans 18 mois NowPublic sera, par la fréquentation, la plus grosse agence de presse du monde», a affirmé à l'AFP le co-fondateur Len Brody.
«Le plus passionnant pour nous est que tout cela a débuté comme une expérience dans un garage, et maintenant nous sortons des infos et modifions le paysage des médias», a-t-il ajouté.
Le financement annoncé lundi a été fourni par la société de capital risque Rho Ventures. L'argent servira à rémunérer les «citoyens reporters» et à développer un système de localisation géographique, pour pouvoir retrouver un contributeur en cas de nouveaux développements.
«Par exemple, s'il y a une bombe dans une station de métro à Londres ou un virus dans la cafétéria de Google et que les médias ne peuvent être sur place assez rapidement, nous pourrons trouver des gens déjà là-bas qui nous fournirons des informations», affirme M. Brody.
Les internautes sont propriétaires des articles qu'ils postent sur NowPublic, qui pour le moment ne rémunère pas les contributions.
«Ce financement va vraiment nous aider à commencer à les payer», ajoute M. Brody.
Parmi les succès les plus marquants du site, M. Brody assure que NowPublic avait déjà mis en ligne des images du cyclone meurtrier qui a frappé Oman en juin alors que les journalistes sortaient juste de chez eux pour couvrir l'événement.
En 2006, des internautes avaient envoyé des contributions depuis l'intérieur de l'aéroport londonien d'Heathrow lors d'une alerte à la bombe, et en 2005 le site avait été capable de couvrir le passage du cyclone Katrina aux Etats-Unis, ajoute le fondateur.
«Ce n'est pas comme sur YouTube où des gars font des vidéos de potache. C'est des vraies nouvelles. De plus en plus de gens voient de plus en plus de choses, et ils ont des appareils portables», a souligné M. Brody.
Les pionniers du journalisme participatif espèrent influencer les médias traditionnels en allant chercher leurs idées du côté des internautes, ou en répercutant des nouvelles fournies par des gens sur place au bon moment.
«L'actualité chaude sera le territoire des organisations comme NowPublic, tandis que les agences de presse traditionnelles se chargeront de l'analyse. C'est le grand changement que nous opérons», affirme le fondateur.
Le contenu de NowPublic est entièrement fourni par les utilisateurs, avec 50% environ d'informations propres et 50% de liens vers d'autres nouvelles déjà en ligne.
Des «rédacteurs bénévoles» filtrent les contenus et informent les internautes lorsque les informations sont partiales, inexactes ou fausses, assure M. Brody.
Glenn Champan, Agence France-Presse
30 juillet 2007 - 13h19
Le site internet d'information NowPublic ambitionne de devenir, avec ses journalistes-citoyens, «la plus grosse agence de presse du monde» d'ici un an et demi, et a annoncé lundi un financement de 10,6 millions de dollars américains pour parvenir à ce but.
Surfant sur la vague du «journalisme-citoyen», NowPublic permet à tout un chacun de poster sur le web les images ou les films pris à l'aide de téléphones portables ou de caméras numériques.
La start-up basée à Vancouver, au Canada, revendique un taux de croissance mensuel de 35% et près de 120 000 «reporters» dans plus de 140 pays.
En 2007, le magazine Time a distingué NowPublic dans sa liste des 50 sites internet les plus marquants de l'année. Et le site compte bien aller plus loin.
«Je vous promets que dans 18 mois NowPublic sera, par la fréquentation, la plus grosse agence de presse du monde», a affirmé à l'AFP le co-fondateur Len Brody.
«Le plus passionnant pour nous est que tout cela a débuté comme une expérience dans un garage, et maintenant nous sortons des infos et modifions le paysage des médias», a-t-il ajouté.
Le financement annoncé lundi a été fourni par la société de capital risque Rho Ventures. L'argent servira à rémunérer les «citoyens reporters» et à développer un système de localisation géographique, pour pouvoir retrouver un contributeur en cas de nouveaux développements.
«Par exemple, s'il y a une bombe dans une station de métro à Londres ou un virus dans la cafétéria de Google et que les médias ne peuvent être sur place assez rapidement, nous pourrons trouver des gens déjà là-bas qui nous fournirons des informations», affirme M. Brody.
Les internautes sont propriétaires des articles qu'ils postent sur NowPublic, qui pour le moment ne rémunère pas les contributions.
«Ce financement va vraiment nous aider à commencer à les payer», ajoute M. Brody.
Parmi les succès les plus marquants du site, M. Brody assure que NowPublic avait déjà mis en ligne des images du cyclone meurtrier qui a frappé Oman en juin alors que les journalistes sortaient juste de chez eux pour couvrir l'événement.
En 2006, des internautes avaient envoyé des contributions depuis l'intérieur de l'aéroport londonien d'Heathrow lors d'une alerte à la bombe, et en 2005 le site avait été capable de couvrir le passage du cyclone Katrina aux Etats-Unis, ajoute le fondateur.
«Ce n'est pas comme sur YouTube où des gars font des vidéos de potache. C'est des vraies nouvelles. De plus en plus de gens voient de plus en plus de choses, et ils ont des appareils portables», a souligné M. Brody.
Les pionniers du journalisme participatif espèrent influencer les médias traditionnels en allant chercher leurs idées du côté des internautes, ou en répercutant des nouvelles fournies par des gens sur place au bon moment.
«L'actualité chaude sera le territoire des organisations comme NowPublic, tandis que les agences de presse traditionnelles se chargeront de l'analyse. C'est le grand changement que nous opérons», affirme le fondateur.
Le contenu de NowPublic est entièrement fourni par les utilisateurs, avec 50% environ d'informations propres et 50% de liens vers d'autres nouvelles déjà en ligne.
Des «rédacteurs bénévoles» filtrent les contenus et informent les internautes lorsque les informations sont partiales, inexactes ou fausses, assure M. Brody.
TUNNELS DE MÉTRO SECRETS
Shun Akiba semble avoir découvert des tunnels secrets sous Tokyo. En effet, la nouvelle ligne de métro de Toei Oedo, finalisée le 12 décembre 2000, semble passer dans l'un de ces tunnels. Il affirme qu'il y a des constructions qui étaient déjà là avant la construction de la ligne de métro. Pour preuve, il dit que certaines lignes descendre trop bas inutilement dans la terre alors que le reste de la ligne est près de la surface. Il affirme que le même phénomène existe en Angleterre. Il pense que ces tunnels sont gardés secrets pour cacher à l'ennemi où les hauts gradés japonais iront se réfugier lors d'un guerre.
Il pense que toutes les grandes villes ont de ces tunnels dans leur sous-sol !
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Il pense que toutes les grandes villes ont de ces tunnels dans leur sous-sol !
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