mercredi 20 juin 2007
ARCTIQUE FRANCISCAIN
Au 14ème siècle, un franciscain d'Oxford, écrivit à propos de ses découvertes sur l'Arctique. Son livre s'appelait "Inventio Fortunata" et il le présenta au roi d'Angleterre. La carte ci-dessus en faisait partie.
Le livre fut perdu mais il fut raconté par des franciscains juqu'à ce que Cnoyen en fasse un résumé. Puis le résumé fut perdu lui aussi.
Maintenant ce qu'il nous en reste c'est cet extrait d'une lettre écrite par le cartographe Mercator à son ami John Dee, occultiste et conseiller royal :
"En plein milieu des quatre continents se trouve un tourbillion dans lequel se jète les quatre océans qui divisent le nord. L'eau s'y précipite en rond et descend dans la Terre comme s'il y avait un entenoir. L'ouverture a 4 degrés de rayon. Toutefois, juste au-dessous du pôle, il y a un rocher de 33 milles français de circonférence et il est magnétique... Ceci est copié mot pour mot de l'auteur Cnoyen."
Sachant que John Dee était franc-maçon, on se doute bien que le rocher de 33 km est un code et non un vrai rocher, car on sait qu'il y a 33 degrés chez les franc-maçons. Ainsi Cnoyen et les autres devaient être aussi francs-maçons. M'enfin, c'est une hypothèse.
Texte de Mercator en anglais :
“In the midst of the four countries is a Whirl-pool, into which there empty these four indrawing Seas which divide the North. And the water rushes round and descends into the Earth just as if one were pouring it through a filter funnel. It is four degrees wide on every side of the Pole, that is to say eight degrees altogether. Except that right under the Pole there lies a bare Rock in the midst of the Sea. Its circumference is almost 33 French miles, and it is all of magnetic Stone (…) This is word for word everything that I copied out of this author (i.e. Cnoyen) years ago.”
mardi 19 juin 2007
lundi 18 juin 2007
+x yx7+
Au milieu de la queue du drone, vous voyez le code :
+x yx7+
Tapez ce code dans Google et vous trouverez un message encrypté parlant du vaisseau Clementine 1 faisant partie du projet "Space Program Science Experiment" de 1994.
Clementine 1 launched on January 25, 1994, from Vandenberg AFB, California, as a joint Ballistic Missile Defense Organization (BMDO) / NASA effort to test lightweight sensors and electronics for military and civilian uses. (Proposed Clementine asteroid research spacecraft was cancelled in 1997.
Dans le message crypté, vous trouverez ceci :
ëÓÙùcœü$îw7rvW$…¸í€ÂÛyX7+¦~öpIì[”�AônfôXù
Donc le code n'est pas au complet dans la page, seulement une partie est trouvée.
Voici le début du message :
PDS_VERSION_ID = PDS3--------------------------
/*** FILE FORMAT ***/
RECORD_TYPE = UNDEFINED
/*** POINTERS TO START BYTE OFFSET OF OBJECTS IN FILE ***/
^IMAGE_HISTOGRAM = 4783
^BROWSE_IMAGE = 5807
^IMAGE = 7535
/*** GENERAL DATA DESCRIPTION PARAMETERS ***/
MISSION_NAME = "DEEP SPACE PROGRAM SCIENCE EXPERIMENT"
SPACECRAFT_NAME = "CLEMENTINE 1"
DATA_SET_ID = "CLEM1-L/E/Y-A/B/U/H/L/N-2-EDR-V1.0"
PRODUCT_ID = "LHD0437D.262"
ORIGINAL_PRODUCT_ID = "LHD30071.262"
PRODUCER_INSTITUTION_NAME = "NAVAL RESEARCH LABORATORY"
PRODUCT_TYPE = EDR
EDR_SOFTWARE_NAME = "NRL-ACT-MGRAB V1.2"
MISSION_PHASE_NAME = "LUNAR MAPPING"
DATA_QUALITY_ID = "N/A"
TARGET_NAME = "MOON"
REVOLUTION_NUMBER = 262
FRAME_SEQUENCE_NUMBER = 0437
/*** TIME PARAMETERS ***/
START_TIME = 1994-04-15T16:01:30.411Z
STOP_TIME = "N/A"
UNCORRECTED_START_TIME = 1994-04-15T16:01:30.414Z
SPACECRAFT_CLOCK_START_COUNT = "N/A"
SPACECRAFT_CLOCK_STOP_COUNT = "N/A"
PRODUCT_CREATION_TIME = 1994-11-29T17:41:38
/*** CAMERA RELATED PARAMETERS ***/
INSTRUMENT_NAME = "LIDAR HIGH-RESOLUTION IMAGER"
INSTRUMENT_ID = "HIRES"
FILTER_NAME = "D"
CENTER_FILTER_WAVELENGTH = 750
BANDWIDTH = 50
GAIN_MODE_ID = "4"
MCP_GAIN_MODE_ID = "154"
OFFSET_MODE_ID = "5"
EXPOSURE_DURATION = 1.0670
LENS_TEMPERATURE = "N/A"
FOCAL_PLANE_TEMPERATURE = 271.973
CRYOCOOLER_TEMPERATURE = "N/A"
CRYOCOOLER_DURATION = "N/A"
/*** J2000 (ALSO CALLED EME2000) IS THE INERTIAL REFERENCE SYSTEM ***/
/*** USED TO SPECIFY OBSERVATIONAL GEOMETRY. LATITUDE AND LONGITUDE ***/
/*** COORDINATES OF TARGET ARE PLANETOCENTRIC. GEOMETRIC PARAMETERS ***/
/*** ARE BASED ON BEST AVAILABLE DATA AT TIME OF PRODUCT CREATION. ***/
/*** REFER TO CLEMENTINE SPICE DATA BASE FOR THE MOST CURRENT ***/
/*** OBSERVATIONAL GEOMETRY DATA. ***/
/*** LINE-OF-SITE ON CELESTIAL SPHERE: Angles in***/
Tout cela est peut-être sans aucun rapport, à vous de voir ! Mais en attendant, ces drones demeurent un mystère.
Source
UNE SECONDE LUNE POUR LA TERRE
Le 14 Juin 2006, un petit objet était découvert par le Catalina Sky Survey à une distance de 2,2 fois la distance Terre-Lune. Son orbite évoquait celle de nombreuses épaves spatiales résultant du programme Apollo, qui croisent encore quelquefois la Terre tout en restant sur une orbite d'environ 11 mois autour du Soleil. Mais cette fois, cela ne semble pas être le cas.
Celui-ci ne semble en effet pas affecté par la pression du rayonnement solaire comme le sont tous les objets artificiels du fait de leur faible masse. Les astronomes le considèrent à présent comme un corps rocheux, d'origine naturelle, sans exclure qu'il s'agisse d'un fragment de la Lune éjecté lors d'un impact de météorite.
Repris officiellement sous la nomenclature 6R10DB9, ce mini-astéroïde est probablement très petit, avec environ 4 mètres de diamètre, et sa magnitude apparente évolue entre 18,5 et 20, ce qui ne le rend accessible qu'aux instruments les plus sensibles. Son orbite est des plus instable, voire erratique puisqu'il n'effectuera que quatre révolutions autour de la Terre avant d'échapper à son attraction. Il a accompli son quatrième et dernier passage au périgée terrestre le 14 juin dernier à une distance de 277.000 kilomètres, soit 0,7 fois la distance moyenne Terre-Lune, et s'éloigne à présent avant d'être définitivement éjecté sur une orbite solaire à l'automne prochain.
L'observatoire radio-astronomique du Jet Propulsion Laboratory à Goldstone (Californie) effectue actuellement une série de mesures radar afin de mieux caractériser l'objet et son orbite. Mais il apparaît déjà que si celui-ci est bien d'origine naturelle, de précédents passages ont eu lieu en 1958, 1969, 1979 et 1992, mais dans des conditions qui ne permettaient pas son observation, notamment en raison de la proximité du Soleil. La modélisation de l'orbite, qui reste toutefois à affiner, prévoit un nouveau passage en 2028.
Par Jean Etienne, Futura-Sciences
Celui-ci ne semble en effet pas affecté par la pression du rayonnement solaire comme le sont tous les objets artificiels du fait de leur faible masse. Les astronomes le considèrent à présent comme un corps rocheux, d'origine naturelle, sans exclure qu'il s'agisse d'un fragment de la Lune éjecté lors d'un impact de météorite.
Repris officiellement sous la nomenclature 6R10DB9, ce mini-astéroïde est probablement très petit, avec environ 4 mètres de diamètre, et sa magnitude apparente évolue entre 18,5 et 20, ce qui ne le rend accessible qu'aux instruments les plus sensibles. Son orbite est des plus instable, voire erratique puisqu'il n'effectuera que quatre révolutions autour de la Terre avant d'échapper à son attraction. Il a accompli son quatrième et dernier passage au périgée terrestre le 14 juin dernier à une distance de 277.000 kilomètres, soit 0,7 fois la distance moyenne Terre-Lune, et s'éloigne à présent avant d'être définitivement éjecté sur une orbite solaire à l'automne prochain.
L'observatoire radio-astronomique du Jet Propulsion Laboratory à Goldstone (Californie) effectue actuellement une série de mesures radar afin de mieux caractériser l'objet et son orbite. Mais il apparaît déjà que si celui-ci est bien d'origine naturelle, de précédents passages ont eu lieu en 1958, 1969, 1979 et 1992, mais dans des conditions qui ne permettaient pas son observation, notamment en raison de la proximité du Soleil. La modélisation de l'orbite, qui reste toutefois à affiner, prévoit un nouveau passage en 2028.
Par Jean Etienne, Futura-Sciences
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