Vidéo tournée à New York le 11 janvier 2007. Vous y verrez jusqu'à 4 ovnis bien distincts.
source : ufonews.tv
mercredi 11 avril 2007
mardi 10 avril 2007
OVNI AU BRÉSIL
lundi 9 avril 2007
LE MYSTÈRE DES ABEILLES
Mise à jour
Au Canada, aux USA et en Europe, les abeilles meurent ou disparaissent tout simplement. On parle de perte jusqu'à 90%. Le plus étrange est que, habituellement, lorsque des abeilles abandonnent une ruche, d'autres abeilles viennent prendre le miel. Mais dans les ruches abandonnées cette année, les autres abeilles ne viennent pas prendre le miel.
Les scientifiques croient que la disparition des abeilles est causé par les herbicides, les pesticides, les fongicides et les OMG. En effet, ces produits chimiques auraient un effet sur le système immunitaire des abeilles, mais en plus, ces produits affecteraient leur cerveau et elles deviendraient incapable de mémoriser le chemin de retour à la ruche, ce qui fait qu'elles finissent par disparaître. Ce qui expliqueraient aussi pourquoi on a retrouvé un nombre anormalement grand de champignons et de bactéries dans le corps des abeilles mortes.
Ce génocide d'abeilles par les produits chimiques auraient un impact majeur sur plusieurs cultures qui ont besoin des abeilles pour polliniser les plantes.
Einstein disait :
Au Canada, aux USA et en Europe, les abeilles meurent ou disparaissent tout simplement. On parle de perte jusqu'à 90%. Le plus étrange est que, habituellement, lorsque des abeilles abandonnent une ruche, d'autres abeilles viennent prendre le miel. Mais dans les ruches abandonnées cette année, les autres abeilles ne viennent pas prendre le miel.
Les scientifiques croient que la disparition des abeilles est causé par les herbicides, les pesticides, les fongicides et les OMG. En effet, ces produits chimiques auraient un effet sur le système immunitaire des abeilles, mais en plus, ces produits affecteraient leur cerveau et elles deviendraient incapable de mémoriser le chemin de retour à la ruche, ce qui fait qu'elles finissent par disparaître. Ce qui expliqueraient aussi pourquoi on a retrouvé un nombre anormalement grand de champignons et de bactéries dans le corps des abeilles mortes.
Ce génocide d'abeilles par les produits chimiques auraient un impact majeur sur plusieurs cultures qui ont besoin des abeilles pour polliniser les plantes.
Einstein disait :
« Si l’abeille disparaissait de la surface du globe, l’homme n’aurait plus que quatre années à vivre».@Earthfiles
RÉCHAUFFEMENT PLANÉTAIRE (2)
LA CONDAMNATION
Les experts mondiaux du Giec, qui se sont réunis à Paris, viennent de rendre leur rapport. Verdict : la réalité du réchauffement global et la responsabilité des activités humaines ne font plus guère de doute. Pour les décennies à venir, les prédictions se précisent et apparaissent plutôt pessimistes.
Les conclusions peuvent se résumer en quelques points :
- le réchauffement global est une réalité mesurable et significative, et s’est fortement accentué depuis les dernières décennies ;
- l’origine de ce phénomène est plus que probablement (on parle de quasi-certitude) à chercher dans les activités humaines, en particulier l’usage de combustibles fossiles, la déforestation et les activités agricoles ;
- l’effet sera durable : si l’on arrêtait toute activité humaine demain, il faudrait plusieurs siècles pour que l’atmosphère retrouve sa composition de 1750.
LA RECONNAISSANCE
Rapport Giec : enfin la reconnaissance mondiale du réchauffement climatique
Cette fois, c’est fait. Les experts mondiaux du climat ont validé le quatrième rapport sur l’environnement proposé par le Giec. La Commission européenne a salué le travail mais il a fallu de subtiles tractations pour éviter des mots qui fâchent dans certains pays. (...)
LA NAISSANCE D'UNE NOUVELLE RELIGION
Depuis des années, l'ONU et l'UNESCO ont implanté un programme d'éducation des masses et des enfants dans les écoles pour que tous souscrivent à l'idée que l'humain est responsable du réchauffement de la planète. On sait que la réalité est tout autre, c'est le soleil qui est responsable du réchauffement. Mais maintenant, après des milliers de répétition dans les médias, plus personne ne remet en question le fait que les humains sont responsable du réchauffement de la planète, on l'entend à tous les jours à la télé. C'est notre nouveau péché créé de toute pièce pour remplacer la religion catholique, qu'on ne ménage pas ces temps-ci d'ailleurs. Alors on va commencer à nous faire payer pour nos péchés. On va augmenter le prix de l'essence en prétextant qu'il faut faire payer les coupables qui sont les méchants automobilistes qui polluent et qui réchauffent la planète. On va imposer des taxes pour l'environnement aux compagnies qui vont nous refiler la facture. C'est le nouveau truc pour nous soutirer nos biens en nous disant que c'est pour notre bien.
Les experts mondiaux du Giec, qui se sont réunis à Paris, viennent de rendre leur rapport. Verdict : la réalité du réchauffement global et la responsabilité des activités humaines ne font plus guère de doute. Pour les décennies à venir, les prédictions se précisent et apparaissent plutôt pessimistes.
Les conclusions peuvent se résumer en quelques points :
- le réchauffement global est une réalité mesurable et significative, et s’est fortement accentué depuis les dernières décennies ;
- l’origine de ce phénomène est plus que probablement (on parle de quasi-certitude) à chercher dans les activités humaines, en particulier l’usage de combustibles fossiles, la déforestation et les activités agricoles ;
- l’effet sera durable : si l’on arrêtait toute activité humaine demain, il faudrait plusieurs siècles pour que l’atmosphère retrouve sa composition de 1750.
LA RECONNAISSANCE
Rapport Giec : enfin la reconnaissance mondiale du réchauffement climatique
Cette fois, c’est fait. Les experts mondiaux du climat ont validé le quatrième rapport sur l’environnement proposé par le Giec. La Commission européenne a salué le travail mais il a fallu de subtiles tractations pour éviter des mots qui fâchent dans certains pays. (...)
LA NAISSANCE D'UNE NOUVELLE RELIGION
Depuis des années, l'ONU et l'UNESCO ont implanté un programme d'éducation des masses et des enfants dans les écoles pour que tous souscrivent à l'idée que l'humain est responsable du réchauffement de la planète. On sait que la réalité est tout autre, c'est le soleil qui est responsable du réchauffement. Mais maintenant, après des milliers de répétition dans les médias, plus personne ne remet en question le fait que les humains sont responsable du réchauffement de la planète, on l'entend à tous les jours à la télé. C'est notre nouveau péché créé de toute pièce pour remplacer la religion catholique, qu'on ne ménage pas ces temps-ci d'ailleurs. Alors on va commencer à nous faire payer pour nos péchés. On va augmenter le prix de l'essence en prétextant qu'il faut faire payer les coupables qui sont les méchants automobilistes qui polluent et qui réchauffent la planète. On va imposer des taxes pour l'environnement aux compagnies qui vont nous refiler la facture. C'est le nouveau truc pour nous soutirer nos biens en nous disant que c'est pour notre bien.
INVASION DE CRAPAUDS MUTANTS
Avant de lire l'article, j'aimerais vous faire part d'une réflexion :
Cause de la mutation :
- le code génétique a changé par adaptation à une vitesse spectaculaire ou bien
- dû à la pression de l'environnement, des sections non utilisées du code génétique se sont activées pour pourvoir à l'adaptation dans le milieu.
Je préconise la deuxième raison. Et si c'était ce qu'il nous attend à compter de 2012, où l'afflut de nouvelles énergies cosmiques, venant du centre de la galaxie, éveilleraient en nous des parties de code génétique endormies.
-------------
En 1935, une variété de crapauds buffles (Bufo marinus) a été introduite en Australie afin de lutter contre les invasions de hannetons. Problème : il faut maintenant lutter contre l'invasion des crapauds buffles. Problème annexe : les crapauds buffles sont en train de muter… et de devenir aussi gros que des petits chiens !
Il ne faut pas intervenir dans le cours naturel des choses, nous dit-on. D'autant qu'en Australie, la leçon nous avait déjà été donnée lorsque les premiers colons y avaient introduit le lapin, qui s'était mis à proliférer en l'absence de tout prédateur naturel. Mais la nature humaine est ainsi faite que dès qu'un intérêt financier apparaît, les décideurs n'hésitent pas longtemps…
Ainsi donc, le crapaud buffle, endémique en Amérique du Sud mais se sentant particulièrement bien sur les terres australiennes, s'est mis à proliférer de manière incontrôlée. Rapidement, il a envahi un territoire équivalent à l'Espagne et la France réunies. Et l'absence de maladies et de parasites susceptibles d'en limiter la propagation devrait bientôt les amener, estiment les biologistes à doubler leur territoire d'ici peu.
Et ce n'est pas tout. En 70 ans de présence sur le sol australien, les crapauds se sont tellement bien adaptés que leur physique s'est modifiée. Leurs pattes se sont allongées pour mieux parcourir les immenses territoires qu'ils colonisent maintenant. Ils ont aussi pris du poids. Alors que l'espèce d'origine mesure de 10 à 14 centimètres, ils atteignent quelquefois aujourd'hui la taille d'un petit chien et un poids de 1 kg. Un exemplaire de 37 centimètres du volume d'un ballon de football pour 2 kg vient d'être capturé, et le cas n'est certainement pas isolé.
Graeme Sawyer, coordinateur de Frogwatch, un groupe environnemental australien, n'en revient pas. Il signale que dans cette espèce, les plus gros spécimens sont habituellement les femelles, en poids cela peut aller du simple au double. Mais celui-ci est un mâle. "Je n'aimerais pas rencontrer sa grande sœur", déclare-t-il.
Mais l'histoire ne s'arrête pas là. Le crapaud buffle est aussi une merveille d'adaptation, à tel point que non seulement il occupe maintenant toute une niche écologique, mais qu'il a entrepris de l'agrandir au détriment d'autres espèces. Et pas n'importe lesquelles car il est en train de tuer serpents et crocodiles qu'il rencontre sur son chemin. Comment ? Eh bien simplement parce qu'il est éminemment toxique, et que ces animaux, qui ne l'ont pas répertorié dans leurs archives de l'instinct, ne se gênent pas pour en avaler une bouchée… et en mourir. Sa peau sécrète en effet de la bufoténine (5-hydroxy-N, N-diméthytryptamine), une substance hallucinogène.
Les scientifiques estiment qu'il y aurait actuellement plus de 200 millions de crapauds buffles en Australie. Ceux-ci s'accommodant très bien de la vie citadine, ils prévoient de les retrouver bientôt en grand nombre dans des villes comme Perth, Adélaïde ou Melbourne. Ce qui ne devrait pas trop tarder, leur territoire s'étendant en moyenne de 60 kilomètres par an…
Cause de la mutation :
- le code génétique a changé par adaptation à une vitesse spectaculaire ou bien
- dû à la pression de l'environnement, des sections non utilisées du code génétique se sont activées pour pourvoir à l'adaptation dans le milieu.
Je préconise la deuxième raison. Et si c'était ce qu'il nous attend à compter de 2012, où l'afflut de nouvelles énergies cosmiques, venant du centre de la galaxie, éveilleraient en nous des parties de code génétique endormies.
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En 1935, une variété de crapauds buffles (Bufo marinus) a été introduite en Australie afin de lutter contre les invasions de hannetons. Problème : il faut maintenant lutter contre l'invasion des crapauds buffles. Problème annexe : les crapauds buffles sont en train de muter… et de devenir aussi gros que des petits chiens !
Il ne faut pas intervenir dans le cours naturel des choses, nous dit-on. D'autant qu'en Australie, la leçon nous avait déjà été donnée lorsque les premiers colons y avaient introduit le lapin, qui s'était mis à proliférer en l'absence de tout prédateur naturel. Mais la nature humaine est ainsi faite que dès qu'un intérêt financier apparaît, les décideurs n'hésitent pas longtemps…
Ainsi donc, le crapaud buffle, endémique en Amérique du Sud mais se sentant particulièrement bien sur les terres australiennes, s'est mis à proliférer de manière incontrôlée. Rapidement, il a envahi un territoire équivalent à l'Espagne et la France réunies. Et l'absence de maladies et de parasites susceptibles d'en limiter la propagation devrait bientôt les amener, estiment les biologistes à doubler leur territoire d'ici peu.
Et ce n'est pas tout. En 70 ans de présence sur le sol australien, les crapauds se sont tellement bien adaptés que leur physique s'est modifiée. Leurs pattes se sont allongées pour mieux parcourir les immenses territoires qu'ils colonisent maintenant. Ils ont aussi pris du poids. Alors que l'espèce d'origine mesure de 10 à 14 centimètres, ils atteignent quelquefois aujourd'hui la taille d'un petit chien et un poids de 1 kg. Un exemplaire de 37 centimètres du volume d'un ballon de football pour 2 kg vient d'être capturé, et le cas n'est certainement pas isolé.
Graeme Sawyer, coordinateur de Frogwatch, un groupe environnemental australien, n'en revient pas. Il signale que dans cette espèce, les plus gros spécimens sont habituellement les femelles, en poids cela peut aller du simple au double. Mais celui-ci est un mâle. "Je n'aimerais pas rencontrer sa grande sœur", déclare-t-il.
Mais l'histoire ne s'arrête pas là. Le crapaud buffle est aussi une merveille d'adaptation, à tel point que non seulement il occupe maintenant toute une niche écologique, mais qu'il a entrepris de l'agrandir au détriment d'autres espèces. Et pas n'importe lesquelles car il est en train de tuer serpents et crocodiles qu'il rencontre sur son chemin. Comment ? Eh bien simplement parce qu'il est éminemment toxique, et que ces animaux, qui ne l'ont pas répertorié dans leurs archives de l'instinct, ne se gênent pas pour en avaler une bouchée… et en mourir. Sa peau sécrète en effet de la bufoténine (5-hydroxy-N, N-diméthytryptamine), une substance hallucinogène.
Les scientifiques estiment qu'il y aurait actuellement plus de 200 millions de crapauds buffles en Australie. Ceux-ci s'accommodant très bien de la vie citadine, ils prévoient de les retrouver bientôt en grand nombre dans des villes comme Perth, Adélaïde ou Melbourne. Ce qui ne devrait pas trop tarder, leur territoire s'étendant en moyenne de 60 kilomètres par an…
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