Avant de lire l'article, j'aimerais vous faire part d'une réflexion :
Cause de la mutation :
- le code génétique a changé par adaptation à une vitesse spectaculaire ou bien
- dû à la pression de l'environnement, des sections non utilisées du code génétique se sont activées pour pourvoir à l'adaptation dans le milieu.
Je préconise la deuxième raison. Et si c'était ce qu'il nous attend à compter de 2012, où l'afflut de nouvelles énergies cosmiques, venant du centre de la galaxie, éveilleraient en nous des parties de code génétique endormies.
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En 1935, une variété de crapauds buffles (Bufo marinus) a été introduite en Australie afin de lutter contre les invasions de hannetons. Problème : il faut maintenant lutter contre l'invasion des crapauds buffles. Problème annexe : les crapauds buffles sont en train de muter… et de devenir aussi gros que des petits chiens !
Il ne faut pas intervenir dans le cours naturel des choses, nous dit-on. D'autant qu'en Australie, la leçon nous avait déjà été donnée lorsque les premiers colons y avaient introduit le lapin, qui s'était mis à proliférer en l'absence de tout prédateur naturel. Mais la nature humaine est ainsi faite que dès qu'un intérêt financier apparaît, les décideurs n'hésitent pas longtemps…
Ainsi donc, le crapaud buffle, endémique en Amérique du Sud mais se sentant particulièrement bien sur les terres australiennes, s'est mis à proliférer de manière incontrôlée. Rapidement, il a envahi un territoire équivalent à l'Espagne et la France réunies. Et l'absence de maladies et de parasites susceptibles d'en limiter la propagation devrait bientôt les amener, estiment les biologistes à doubler leur territoire d'ici peu.
Et ce n'est pas tout. En 70 ans de présence sur le sol australien, les crapauds se sont tellement bien adaptés que leur physique s'est modifiée. Leurs pattes se sont allongées pour mieux parcourir les immenses territoires qu'ils colonisent maintenant. Ils ont aussi pris du poids. Alors que l'espèce d'origine mesure de 10 à 14 centimètres, ils atteignent quelquefois aujourd'hui la taille d'un petit chien et un poids de 1 kg. Un exemplaire de 37 centimètres du volume d'un ballon de football pour 2 kg vient d'être capturé, et le cas n'est certainement pas isolé.
Graeme Sawyer, coordinateur de Frogwatch, un groupe environnemental australien, n'en revient pas. Il signale que dans cette espèce, les plus gros spécimens sont habituellement les femelles, en poids cela peut aller du simple au double. Mais celui-ci est un mâle. "Je n'aimerais pas rencontrer sa grande sœur", déclare-t-il.
Mais l'histoire ne s'arrête pas là. Le crapaud buffle est aussi une merveille d'adaptation, à tel point que non seulement il occupe maintenant toute une niche écologique, mais qu'il a entrepris de l'agrandir au détriment d'autres espèces. Et pas n'importe lesquelles car il est en train de tuer serpents et crocodiles qu'il rencontre sur son chemin. Comment ? Eh bien simplement parce qu'il est éminemment toxique, et que ces animaux, qui ne l'ont pas répertorié dans leurs archives de l'instinct, ne se gênent pas pour en avaler une bouchée… et en mourir. Sa peau sécrète en effet de la bufoténine (5-hydroxy-N, N-diméthytryptamine), une substance hallucinogène.
Les scientifiques estiment qu'il y aurait actuellement plus de 200 millions de crapauds buffles en Australie. Ceux-ci s'accommodant très bien de la vie citadine, ils prévoient de les retrouver bientôt en grand nombre dans des villes comme Perth, Adélaïde ou Melbourne. Ce qui ne devrait pas trop tarder, leur territoire s'étendant en moyenne de 60 kilomètres par an…
lundi 9 avril 2007
dimanche 8 avril 2007
samedi 7 avril 2007
APOPHIS : MENACE POUR 2036
(QM) - Selon les scientifiques et les astronomes, l'astéroïde Apophis, nommé ainsi en l'honneur du dieu égyptien du mal, pourrait entrer en collision ou s'approcher dangereusement de la Terre en 2036.
Lors de sa découverte en juin 2004 par Roy Tucker, David Tholen et Fabrizio Bernardi de l'UHAS (University of Hawaii Asteroid Survey), les chercheurs de la Nasa se sont intéressés à cet astéroïde et estimaient alors que ce caillou spatial de plus de 250 m de diamètre et dont le poids est évalué à 20 millions de tonnes, avait 1 chance sur 50 de frapper notre planète en 2029. L'énergie développée par cette collision serait, selon leur évaluation, l'équivalent de 20 000 bombes d'Hiroshima.
Les calculs et les estimations se sont raffinés depuis et les probabilités de collision avec la Terre sont maintenant évaluées à 1 chance (ou malchance) sur 45 000. Quoique peu probable, cette collision éventuelle inquiète suffisamment la communauté scientifique pour que les Nations Unies s'y intéressent sérieusement. Ainsi, lors de la conférence annuelle de l'American Association for the Advancement of Science (AAAS) qui a eu lieu ces derniers jours à San Francisco, un groupe de chercheurs de la « Nasa Johnson Space » a présenté à l'assistance une procédure pour tenter de dévier cet astéroïde menaçant.
Inspirés peut-être du film Armageddon du réalisateur Michael Bay et mettant en vedette Bruce Willis, les scientifiques proposent l'envoi d'un vaisseau spatial à proximité d'Apophis. Ainsi, la gravité exercée par le vaisseau sur l'astéroïde pourrait suffire à le faire dévier de sa course et éviter ainsi les risques de collision avec la Terre. La solution de faire exploser l'astéroïde par l'utilisation d'une arme nucléaire a été rapidement écartée, car il est impossible de prévoir le comportement des millions d'éclats qui en résulteraient
Selon les calculs actuels, si rien n'est fait, cette collision pourrait survenir le 13 avril 2036. Une date à inscrire à votre agenda.
Lors de sa découverte en juin 2004 par Roy Tucker, David Tholen et Fabrizio Bernardi de l'UHAS (University of Hawaii Asteroid Survey), les chercheurs de la Nasa se sont intéressés à cet astéroïde et estimaient alors que ce caillou spatial de plus de 250 m de diamètre et dont le poids est évalué à 20 millions de tonnes, avait 1 chance sur 50 de frapper notre planète en 2029. L'énergie développée par cette collision serait, selon leur évaluation, l'équivalent de 20 000 bombes d'Hiroshima.
Les calculs et les estimations se sont raffinés depuis et les probabilités de collision avec la Terre sont maintenant évaluées à 1 chance (ou malchance) sur 45 000. Quoique peu probable, cette collision éventuelle inquiète suffisamment la communauté scientifique pour que les Nations Unies s'y intéressent sérieusement. Ainsi, lors de la conférence annuelle de l'American Association for the Advancement of Science (AAAS) qui a eu lieu ces derniers jours à San Francisco, un groupe de chercheurs de la « Nasa Johnson Space » a présenté à l'assistance une procédure pour tenter de dévier cet astéroïde menaçant.
Inspirés peut-être du film Armageddon du réalisateur Michael Bay et mettant en vedette Bruce Willis, les scientifiques proposent l'envoi d'un vaisseau spatial à proximité d'Apophis. Ainsi, la gravité exercée par le vaisseau sur l'astéroïde pourrait suffire à le faire dévier de sa course et éviter ainsi les risques de collision avec la Terre. La solution de faire exploser l'astéroïde par l'utilisation d'une arme nucléaire a été rapidement écartée, car il est impossible de prévoir le comportement des millions d'éclats qui en résulteraient
Selon les calculs actuels, si rien n'est fait, cette collision pourrait survenir le 13 avril 2036. Une date à inscrire à votre agenda.
SONDAGE - EXTRATERRESTRES
Voici les résultats d'un sondage effectué aux USA en mars 2007 au près de 1100 répondants :
85 % croient que les extraterrestres visitent présentement la Terre;
86% croient que les USA et les autres gouvernements cachent l'information sur les extraterrestes qui nous visitent;
73% seraient très heureux que les gouvernements annoncent l'existence des extraterrestes;
57% comprendraient une politique de désinformation au sujet des extraterrestres pour la sécurité nationale;
48% se disent en colère et voudraient qu'on punisse ceux qui ont fait une entente avec les extraterrestres sans passer par le processus officiel et constitutionnel;
62% ne supportent pas le développement de la "guerre des étoiles", armes qui pourraient être utilisées contre des visiteurs venant de l'espace;
85% voudraient queles extraterrestres se dévoilent une fois pour toutes et montrent leur existence à la planète entière.
85 % croient que les extraterrestres visitent présentement la Terre;
86% croient que les USA et les autres gouvernements cachent l'information sur les extraterrestes qui nous visitent;
73% seraient très heureux que les gouvernements annoncent l'existence des extraterrestes;
57% comprendraient une politique de désinformation au sujet des extraterrestres pour la sécurité nationale;
48% se disent en colère et voudraient qu'on punisse ceux qui ont fait une entente avec les extraterrestres sans passer par le processus officiel et constitutionnel;
62% ne supportent pas le développement de la "guerre des étoiles", armes qui pourraient être utilisées contre des visiteurs venant de l'espace;
85% voudraient queles extraterrestres se dévoilent une fois pour toutes et montrent leur existence à la planète entière.
RÉCHAUFFEMENT PLANÉTAIRE
Ces temps-ci, il y a un blitz ou un momentum de propagande au sujet de la responsabilité des hommes sur le réchauffement de la planète. Voici deux nouvelles passées sur Radio-Canada il y a quelques jours :
On parle des gaz à effet de serre qu'il faut diminuer pour réduire le réchauffement de la planète, alors que l'on sait très bien que ces gaz ont un effet minime. De plus, une telle augmentation du CO2 est déjà arrivé au moyen-âge et la planète s'était en effet réchauffé. Pour avoir plus de détail, lire les deux articles publiés ici, l'Apocalypse annulée 1 et 2.
Ce que les activistes anti-réchauffement de la planète ne savent pas et ne disent pas, c'est que le réchauffement de la planète n'est pas dû aux gaz à effet de serre mais plutôt à l'augmentation de l'intensité du Soleil. D'ailleurs, les autres planètes aussi sont en train de se réchauffer au même rythme que la Terre. C'est donc une sorte d'été et d'hiver de notre système solaire. Après le réchauffement du moyen-âge, il y a eu une mini ère glaciaire... et c'est un cycle qui se perpétue sur les millénaires.
Un article récent affirme que la planète Mars vit un réchauffement de la planète, et ce, au même rythme que la Terre. À ce que je sache, il n'y a pas de gaz à effet de serre sur Mars, c'est à dire des automobiles et des industries. Voyez ici Mars perdre sa calotte polaire :
Voyez Neptune ici se réchauffant au cours des années, elle est plus lumineuse :
Un dernier point : je vous ai déjà parlé ici d'un cycle d'intensité solaire hors du commun qui va culminé en 2012... lire le court article.
On parle des gaz à effet de serre qu'il faut diminuer pour réduire le réchauffement de la planète, alors que l'on sait très bien que ces gaz ont un effet minime. De plus, une telle augmentation du CO2 est déjà arrivé au moyen-âge et la planète s'était en effet réchauffé. Pour avoir plus de détail, lire les deux articles publiés ici, l'Apocalypse annulée 1 et 2.
Ce que les activistes anti-réchauffement de la planète ne savent pas et ne disent pas, c'est que le réchauffement de la planète n'est pas dû aux gaz à effet de serre mais plutôt à l'augmentation de l'intensité du Soleil. D'ailleurs, les autres planètes aussi sont en train de se réchauffer au même rythme que la Terre. C'est donc une sorte d'été et d'hiver de notre système solaire. Après le réchauffement du moyen-âge, il y a eu une mini ère glaciaire... et c'est un cycle qui se perpétue sur les millénaires.
Un article récent affirme que la planète Mars vit un réchauffement de la planète, et ce, au même rythme que la Terre. À ce que je sache, il n'y a pas de gaz à effet de serre sur Mars, c'est à dire des automobiles et des industries. Voyez ici Mars perdre sa calotte polaire :
Voyez Neptune ici se réchauffant au cours des années, elle est plus lumineuse :
Un dernier point : je vous ai déjà parlé ici d'un cycle d'intensité solaire hors du commun qui va culminé en 2012... lire le court article.
vendredi 6 avril 2007
jeudi 5 avril 2007
LES TROUS TERRESTRES
L’étrange phénomène des trous terrestres.
Dans leur livre « Le mystère des crop circles », les auteurs Anderhub et Roth décrivent l’étrange phénomène des trous terrestres, qui fit sensation en Suisse ou des multiples variantes apparurent du jour au lendemain, entre 1972 et 1990. Le trou de loin le plus grand fut creusé dans la nuit du 3 au 4 février 1990, dans une commune proche de la banlieue de Genève. Il se trouvait dans un grand champ ensemencé à l’automne et avait un diamètre de 10 mètres et une profondeur de 12, soit un volume de 942 mètres cubes, dont le poids devait être de plus de 2000 tonnes. Il aurait fallu charger 100 camions de 20 tonnes pour emporter cette terre.
Le mystérieux trou de Begnins dans le canton de Vaud située dans le district de Nyon en Suisse, en une nuit 100 mètres cubes de terre disparurent de ce champ qui ne porte aucune trace de véhicule excavateur (...)
La suite...
Dans leur livre « Le mystère des crop circles », les auteurs Anderhub et Roth décrivent l’étrange phénomène des trous terrestres, qui fit sensation en Suisse ou des multiples variantes apparurent du jour au lendemain, entre 1972 et 1990. Le trou de loin le plus grand fut creusé dans la nuit du 3 au 4 février 1990, dans une commune proche de la banlieue de Genève. Il se trouvait dans un grand champ ensemencé à l’automne et avait un diamètre de 10 mètres et une profondeur de 12, soit un volume de 942 mètres cubes, dont le poids devait être de plus de 2000 tonnes. Il aurait fallu charger 100 camions de 20 tonnes pour emporter cette terre.
Le mystérieux trou de Begnins dans le canton de Vaud située dans le district de Nyon en Suisse, en une nuit 100 mètres cubes de terre disparurent de ce champ qui ne porte aucune trace de véhicule excavateur (...)
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