Gary McKinnon, le gars qui a hacké les ordinateurs de la NASA et de l'Armée étatsuniennes vient d'être formellement déclaré coupable et peut s'attendre à faire de la prison à vie.
BBC News
mercredi 4 avril 2007
mardi 3 avril 2007
lundi 2 avril 2007
ÉPIGÉNÉTISME
Découverte très importante.
L'épigénétisme nous dit que notre génétique personnelle est modifié par l'environnement dans lequel on vit. Ainsi, notre santé et nos émotions sont transmises à nos enfants. Si vous vivez un événement tragique comme le 9/11 et que vous avez un enfant peu de temps après, votre enfant démontrera des signes post-traumatiques de votre expérience sans l'avoir lui-même vécu. Pensez-y, un alcoolique va transmettre son mal de vivre et son état de santé à son enfant naissant. C'est capital comme découverte. On pensait avant que les gênes étaient vérouillés à la naissance alors qu'en fait ils sont modifiés par notre environnement et notre façon de vivre. Qu'avez-vous légués ou que lèguerez-vous à vos enfants ? Que penser de l'effet des micro-ondes, des OGM, des agents de conservation, des pesticides, des insecticides, du bruit, de l'air pollué........
Voici un documentaire en 3 parties sur le sujet :
L'épigénétisme nous dit que notre génétique personnelle est modifié par l'environnement dans lequel on vit. Ainsi, notre santé et nos émotions sont transmises à nos enfants. Si vous vivez un événement tragique comme le 9/11 et que vous avez un enfant peu de temps après, votre enfant démontrera des signes post-traumatiques de votre expérience sans l'avoir lui-même vécu. Pensez-y, un alcoolique va transmettre son mal de vivre et son état de santé à son enfant naissant. C'est capital comme découverte. On pensait avant que les gênes étaient vérouillés à la naissance alors qu'en fait ils sont modifiés par notre environnement et notre façon de vivre. Qu'avez-vous légués ou que lèguerez-vous à vos enfants ? Que penser de l'effet des micro-ondes, des OGM, des agents de conservation, des pesticides, des insecticides, du bruit, de l'air pollué........
Voici un documentaire en 3 parties sur le sujet :
VOULEZ-VOUS ÊTRE PUCÉS ?
IEEE Spectrum vient de livrer un très intéressant dossier sur l’implantation de puces RFiD sous-cutanées. Passé le témoignage (certes intéressant) d’Amal Graafstra, qui vient de se faire implémenter deux puces VeriChip dans les mains, et qui s’en sert pour démarrer sa voiture ou entrer chez lui - et cela à l’air assez commode, de vivre sans clés dans la poche -, Kenneth R. Foster et Jan Jaeger, explorent, eux, le problème éthique, la face sombre de la technologie : celle qui érode notre vie privée et nos droits à l’intégrité physique.
Imaginons par exemple, comme l’avait suggéré lui-même avec un certain sérieux Scott Silverman, président de VeriChip, dans une interview à Fox News, la chaîne de télévision américaine, que l’on “puce” les immigrants et les travailleurs saisonniers pour aider le gouvernement à les identifier. Est-ce que ces travailleurs consentiraient à être pucés ? “Consentiront-ils vraiment volontairement,, quand le caractère de cet acte volontaire détermine aussi la capacité à gagner de quoi vivre ou sans qu’on puisse comprendre les conséquences d’un refus. […] Quand un employeur donne une carte d’accès à un travailleur par exemple, la société reste propriétaire de la carte. Est-ce que l’employeur va aussi être propriétaire de la puce implantée dans le corps d’un employé ? […] Peut-être que la question importante est de savoir à qui appartient la puce et à qui appartient les données qui sont sur la puce ? L’étiquette électronique peut-elle être lue sans le consentement de la personne chez qui elle est implantée ?”
Consentirons-nous à être pucés ?
puce RFIDEt nous, consentirons-nous à être pucés ? Comme nous le disait récemment l’anthropologue Daniela Cerqui : “L’implant, n’est que le dernier pas de cet accès toujours plus immédiat où l’organisme fusionne avec l’objet”. Aurons-nous vraiment le choix d’ailleurs, quand de cette acceptation dépendra peut-être l’accès à un service, à un travail, à un produit ? Saurons-nous vraiment nous y opposer, si la somme des avantages paraît supérieure à la somme des inconvénients ? On le sait, les services s’imposent souvent par ce biais : on se met à utiliser tous les services en ligne de Google car ils nous font gagner du temps, sans voir les conséquences de cette concentration qui nous rend encore plus captifs d’un fournisseur et de ses services. Ou parce qu’on n’a pas vraiment le choix : on donne notre carte d’identité pour faire vérifier son chèque au moindre commerçant qui la demande, pour ne pas repartir sans nos courses.
Aujourd’hui, des patients acceptent volontairement de se faire implanter une puce dans le bras pour qu’il n’y ait pas d’erreur d’attribution sur leur dossier médical. Demain, on acceptera certainement d’être pucé parce que cela nous donnera des avantages, des droits ou des facilités d’accès…
Le premier inconvénient concernant les puces sous-cutanées, nous répète-t-on, est qu’elles ne sont pas sécurisées. Si l’âge de l’ordinateur nous a appris quelque chose, c’est que les systèmes et les données sont toujours moins sécurisés qu’on le dit. Et la VeriChip, bien qu’elle soit commercialisée pour du contrôle d’accès, manque cruellement de protection. Dans une publication récente du Journal of the American Medical Informatics Association (JAMIA) Ari Juels et ses collègues ont montré que la VeriChip n’avait pas plus de protection qu’un code barre sans fil et qu’il était très simple de construire un objet capable de scanner une VeriChip et de rejouer le signal radio pour déjouer les lecteurs de puce. Pour les cartes d’accès utilisant cette technologie, Chris Paget de IOActive a récemment montré la même chose. Et ne parlons pas du scandale du passeport RFID, il ne cesse d’accumuler des preuves contre lui, de plus en plus accablantes.
La vulnérabilité des puces RFID nous protège
Finalement, tant mieux. La vulnérabilité des puces RFID nous protège de ceux qui auraient l’idée de les déployer comme des outils sécuritaires. Qu’on se le dise donc une bonne fois pour toutes : les données qui composeront ce type de puces ne seront jamais complètement sécurisées ou confidentielles. Ce qui signifie que, contrairement à ce qu’avance le président de VeriChip, il y a certaines applications que ces technologies ne pourront - et ne devront - jamais porter. Il serait temps qu’on comprenne que l’atout premier des technologies, et notamment de celle-ci, n’est pas de sécuriser le monde, au contraire - et ce alors même qu’on cherche a exploiter de plus en plus massivement leurs fonctions de sécurité. Le but, s’il y en a un, c’est de nous en simplifier l’usage. De rendre le monde plus malléable et non pas plus formalisé. Non pas de sécuriser, contrôler, signer et certifier, mais bien de donner une nouvelle place à l’informel qui compose déjà nos relations avec le monde, les objets, les autres.
Le risque, car il y en a un, serait de faire reposer de plus en plus d’applications autour d’une seule clé d’accès, assez voire trop fragile pour être digne de confiance. Pour gérer du contrôle-commande à la maison ou au bureau, ou régler de petits achats, ce n’est pas très grave. Pour gérer des accès ou ses propriétés, c’est peut-être un peu plus délicat. Quant à gérer de l’authentification… on devine vite que c’est absolument n’importe quoi.
Source
Imaginons par exemple, comme l’avait suggéré lui-même avec un certain sérieux Scott Silverman, président de VeriChip, dans une interview à Fox News, la chaîne de télévision américaine, que l’on “puce” les immigrants et les travailleurs saisonniers pour aider le gouvernement à les identifier. Est-ce que ces travailleurs consentiraient à être pucés ? “Consentiront-ils vraiment volontairement,, quand le caractère de cet acte volontaire détermine aussi la capacité à gagner de quoi vivre ou sans qu’on puisse comprendre les conséquences d’un refus. […] Quand un employeur donne une carte d’accès à un travailleur par exemple, la société reste propriétaire de la carte. Est-ce que l’employeur va aussi être propriétaire de la puce implantée dans le corps d’un employé ? […] Peut-être que la question importante est de savoir à qui appartient la puce et à qui appartient les données qui sont sur la puce ? L’étiquette électronique peut-elle être lue sans le consentement de la personne chez qui elle est implantée ?”
Consentirons-nous à être pucés ?
puce RFIDEt nous, consentirons-nous à être pucés ? Comme nous le disait récemment l’anthropologue Daniela Cerqui : “L’implant, n’est que le dernier pas de cet accès toujours plus immédiat où l’organisme fusionne avec l’objet”. Aurons-nous vraiment le choix d’ailleurs, quand de cette acceptation dépendra peut-être l’accès à un service, à un travail, à un produit ? Saurons-nous vraiment nous y opposer, si la somme des avantages paraît supérieure à la somme des inconvénients ? On le sait, les services s’imposent souvent par ce biais : on se met à utiliser tous les services en ligne de Google car ils nous font gagner du temps, sans voir les conséquences de cette concentration qui nous rend encore plus captifs d’un fournisseur et de ses services. Ou parce qu’on n’a pas vraiment le choix : on donne notre carte d’identité pour faire vérifier son chèque au moindre commerçant qui la demande, pour ne pas repartir sans nos courses.
Aujourd’hui, des patients acceptent volontairement de se faire implanter une puce dans le bras pour qu’il n’y ait pas d’erreur d’attribution sur leur dossier médical. Demain, on acceptera certainement d’être pucé parce que cela nous donnera des avantages, des droits ou des facilités d’accès…
Le premier inconvénient concernant les puces sous-cutanées, nous répète-t-on, est qu’elles ne sont pas sécurisées. Si l’âge de l’ordinateur nous a appris quelque chose, c’est que les systèmes et les données sont toujours moins sécurisés qu’on le dit. Et la VeriChip, bien qu’elle soit commercialisée pour du contrôle d’accès, manque cruellement de protection. Dans une publication récente du Journal of the American Medical Informatics Association (JAMIA) Ari Juels et ses collègues ont montré que la VeriChip n’avait pas plus de protection qu’un code barre sans fil et qu’il était très simple de construire un objet capable de scanner une VeriChip et de rejouer le signal radio pour déjouer les lecteurs de puce. Pour les cartes d’accès utilisant cette technologie, Chris Paget de IOActive a récemment montré la même chose. Et ne parlons pas du scandale du passeport RFID, il ne cesse d’accumuler des preuves contre lui, de plus en plus accablantes.
La vulnérabilité des puces RFID nous protège
Finalement, tant mieux. La vulnérabilité des puces RFID nous protège de ceux qui auraient l’idée de les déployer comme des outils sécuritaires. Qu’on se le dise donc une bonne fois pour toutes : les données qui composeront ce type de puces ne seront jamais complètement sécurisées ou confidentielles. Ce qui signifie que, contrairement à ce qu’avance le président de VeriChip, il y a certaines applications que ces technologies ne pourront - et ne devront - jamais porter. Il serait temps qu’on comprenne que l’atout premier des technologies, et notamment de celle-ci, n’est pas de sécuriser le monde, au contraire - et ce alors même qu’on cherche a exploiter de plus en plus massivement leurs fonctions de sécurité. Le but, s’il y en a un, c’est de nous en simplifier l’usage. De rendre le monde plus malléable et non pas plus formalisé. Non pas de sécuriser, contrôler, signer et certifier, mais bien de donner une nouvelle place à l’informel qui compose déjà nos relations avec le monde, les objets, les autres.
Le risque, car il y en a un, serait de faire reposer de plus en plus d’applications autour d’une seule clé d’accès, assez voire trop fragile pour être digne de confiance. Pour gérer du contrôle-commande à la maison ou au bureau, ou régler de petits achats, ce n’est pas très grave. Pour gérer des accès ou ses propriétés, c’est peut-être un peu plus délicat. Quant à gérer de l’authentification… on devine vite que c’est absolument n’importe quoi.
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CERVEAU = ORDINATEUR
(...) Dans un article traitant des modèles biologiques numériques du cerveau paru dans l'édition du 6 octobre de Science, O'Reilly affirme que le cortex préfrontal et le ganglion basal opèrent à la façon d'un ordinateur. Les calculateurs numériques fonctionnent en transformant les signaux électriques en états binaires et en manipulant ces états à l'aide de commutateurs. Le chercheur a trouvé les mêmes principes de fonctionnement dans le cerveau. "Les neurones du cortex préfrontal sont binaires - ils ont deux états, actifs ou inactifs - et le ganglion basal est essentiellement un gros commutateur qui permet de permuter dynamiquement différentes parties de ce cortex", affirme-t-il.
Selon O'Reilly, le cerveau dans son ensemble fonctionne plus comme un réseau social que comme un calculateur numérique ; ses neurones communiquent pour permettre l'apprentissage et la mémorisation. Cependant, les caractéristiques de type binaire du cortex préfrontal élargissent les réseaux sociaux en aidant le cerveau à devenir plus flexible dans le traitement d'informations symboliques nouvelles.
Le cortex préfrontal est le centre exécutif du cerveau et supporte la cognition à son plus haut niveau, comme la résolution de problèmes et la prise de décision. Les chercheurs pensent que le cortex préfrontal est essentiel aux capacités intellectuelles humaines. Si les scientifiques parvenaient à mieux saisir cette synthèse entre le cortex préfrontal et le cerveau dans son ensemble, un grand pas serait fait vers une meilleure compréhension de l'intelligence humaine. (...)
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Selon O'Reilly, le cerveau dans son ensemble fonctionne plus comme un réseau social que comme un calculateur numérique ; ses neurones communiquent pour permettre l'apprentissage et la mémorisation. Cependant, les caractéristiques de type binaire du cortex préfrontal élargissent les réseaux sociaux en aidant le cerveau à devenir plus flexible dans le traitement d'informations symboliques nouvelles.
Le cortex préfrontal est le centre exécutif du cerveau et supporte la cognition à son plus haut niveau, comme la résolution de problèmes et la prise de décision. Les chercheurs pensent que le cortex préfrontal est essentiel aux capacités intellectuelles humaines. Si les scientifiques parvenaient à mieux saisir cette synthèse entre le cortex préfrontal et le cerveau dans son ensemble, un grand pas serait fait vers une meilleure compréhension de l'intelligence humaine. (...)
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LA SCIENCE DU RIRE
Le rire est un antécédent évolutionnaire de la joie humaine, qui aurait évolué chez les chimpanzés et chez les êtres humains pour établir une hiérarchie sociale. Le rire serait un outil de survie, pas nécessairement une réponse intellectuelle à l'humour. Telle est l'hypothèse de plusieurs chercheurs - neuroscientifiques, psychologues sociaux - qui étudient le rire de manière scientifique.
Jaak Panksepp, un neuroscientifique et psychologue à Washington State University, a découvert que les rats émettent un son ultrasonique (inaudible pour les humains sans équipement spécial) quand ils sont chatouillés, son qui pourrait ressembler aux vocalisations émises par les petits enfants qui rient quand ils sont incités à jouer socialement. Le rire provoquerait chez les animaux l'activation de circuits euphoriques, ce qui serait une indication pour l'interaction amicale en exprimant un message rassurant quant à l'intention de jeu et de non agression.
Chez les humains, il semble qu'il y ait des différences dans la fréquence du rire entre hommes et femmes et également que les personnes rient pour "lubrifier la relation sociale". Le Dr Robert Provine, un neuroscientifique de l'Université de Maryland Baltimore County (UMBC) a remarqué, en observant les gens dans la rue, dans les cafés, etc., que les femmes sont plus portées à rire pendant leurs conversations que les hommes, ce qui n'apparaît pas comme dû au fait que la conversation soit plus drôle. Une explication serait que les femmes sont plus sensibles aux interactions sociales.
Par ailleurs une étude norvégienne semble montrer qu'avoir un bon sens de l'humour est directement associé à la longévité.
Selon le Dr Provine et le Dr Panksepp, le rire aide à contribuer au développement d'une hiérarchie sociale et à signaler l'amitié plutôt que l'agression. Le rire est donc un signe social. Le rire serait une réponse automatique, involontaire, et non un stratagème conscient... et chez les humains, celui qui rit n'est pas forcément amusé (l'acte de rire n'est pas toujours un signe d'humour !). De la même façon, la complexité intrinsèque à une personne - comme l'identité culturelle, la personnalité, le milieu sociologique, les expériences vécues - fait qu'une blague peut être drôle pour l'un et pas du tout pour l'autre. Finalement, comme vous le savez sûrement déjà, le rire est aussi une expérience collective ; les humains auraient une tendance à rire plus dans une salle de cinéma pleine qu'en regardant le même film seuls chez eux.
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Jaak Panksepp, un neuroscientifique et psychologue à Washington State University, a découvert que les rats émettent un son ultrasonique (inaudible pour les humains sans équipement spécial) quand ils sont chatouillés, son qui pourrait ressembler aux vocalisations émises par les petits enfants qui rient quand ils sont incités à jouer socialement. Le rire provoquerait chez les animaux l'activation de circuits euphoriques, ce qui serait une indication pour l'interaction amicale en exprimant un message rassurant quant à l'intention de jeu et de non agression.
Chez les humains, il semble qu'il y ait des différences dans la fréquence du rire entre hommes et femmes et également que les personnes rient pour "lubrifier la relation sociale". Le Dr Robert Provine, un neuroscientifique de l'Université de Maryland Baltimore County (UMBC) a remarqué, en observant les gens dans la rue, dans les cafés, etc., que les femmes sont plus portées à rire pendant leurs conversations que les hommes, ce qui n'apparaît pas comme dû au fait que la conversation soit plus drôle. Une explication serait que les femmes sont plus sensibles aux interactions sociales.
Par ailleurs une étude norvégienne semble montrer qu'avoir un bon sens de l'humour est directement associé à la longévité.
Selon le Dr Provine et le Dr Panksepp, le rire aide à contribuer au développement d'une hiérarchie sociale et à signaler l'amitié plutôt que l'agression. Le rire est donc un signe social. Le rire serait une réponse automatique, involontaire, et non un stratagème conscient... et chez les humains, celui qui rit n'est pas forcément amusé (l'acte de rire n'est pas toujours un signe d'humour !). De la même façon, la complexité intrinsèque à une personne - comme l'identité culturelle, la personnalité, le milieu sociologique, les expériences vécues - fait qu'une blague peut être drôle pour l'un et pas du tout pour l'autre. Finalement, comme vous le savez sûrement déjà, le rire est aussi une expérience collective ; les humains auraient une tendance à rire plus dans une salle de cinéma pleine qu'en regardant le même film seuls chez eux.
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