Dernière édition de NEXUS en français :
Tout comme les Aztèques, apercevant les bateaux de Cortés, n’ont tout d’abord rien vu, subjugués par ce qu’ils ne pouvaient concevoir, le phénomène ovni et l’idée d’une présence extraterrestre bouleversent notre réalité au point de provoquer une cécité consensuelle à l’égard d’évènements qui nous concernent pourtant de façon cruciale. Ainsi, malgré une documentation riche de six décennies, aucune explication satisfaisante n’a été clairement et officiellement énoncée. La question de l’intelligence extraterrestre représente de tels enjeux qu’elle pousse les dirigeants de la planète à entretenir un écran de fumée, pendant que les protagonistes ménagent ou exploitent notre ignorance. Mais aujourd’hui, les témoignages de membres d’agences américaines très secrètes nous apportent des pièces essentielles du puzzle.
« Ils veulent nous entraîner dans une guerre des étoiles »
Ce ne sont pas les gouvernements qui empêchent la divulgation du secret autour des ovnis dans l’opinion, mais un métagroupe transnational mafieux, sorte de gouvernement secret d’une puissance politique et technologique inouïe. C’est ce qu’a découvert Steven M. Greer, médecin de son état, qui se bat depuis des décennies pour faire éclater la vérité et préparer l’humanité à un contact pacifique avec les civilisations extranéennes. Dans ses mémoires, il dénonce un plan de simulacre d’attaque extraterrestre destiné à convaincre les Terriens de s’en remettre à Big Brother et à son complexe militaro-industriel. Une sorte de 11 septembre à l’échelle planétaire.
« Nous avons rompu le tissu spatiotemporel »
Un physicien de Livermore témoigne de l’incroyable technologie développée dans l’ombre par les « black programs » américains. Expérimentation sur le voyage spatiotemporel, portes des étoiles, colonisation de Mars, armes climatiques et contrôle démographique composent une réalité au-delà des fictions les plus audacieuses. Quand l’humanité, en se voilant la face, risque d’être confrontée aux conséquences désastreuses d’expériences qui échappent à tout contrôle…
« J’ai trié des centaines de documents top secrets sur les aliénigènes »
Dans les années 80, un modeste employé d’une compagnie d’aérospatiale américaine est investi d’une mission « spéciale » : trier et classer pendant six mois, seul dans une chambre forte, des documents de défense top secrets relatifs à la présence et aux intentions des extraterrestres sur Terre. Vingt-cinq ans après, profitant de la vague actuelle de divulgation aux États-Unis, celui qui tient à rester monsieur X se manifeste et témoigne auprès de l’équipe du Project Camelot.
mardi 9 janvier 2007
LA PUBLICITÉ
Regard cynique-réaliste sur le monde de la publicité.
Allez, vous aimerez, c'est génial et de plus en plus appétant !
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EXTRATERRESTRES - VU PAR DES ENFANTS
Des enfants, en Afrique, ont fait une rencontre du troisième type. John Mack les a interviewé.
lundi 8 janvier 2007
ALAIN DUCHESNE - CONTACTÉ
Entretien avec Alain Duchesne,
sur @BlogParanormal.com
Son site personnel pour faire la promotion de son livre :
http://www.editionsadam.com/accueil.html
sur @BlogParanormal.com
Son site personnel pour faire la promotion de son livre :
http://www.editionsadam.com/accueil.html
OVNI SPÉCIAL
Vraiment, c'est un ovni très spécial et on le voit très bien dans la vidéo à un moment donné. Remarquez la spirale à la fin.
NE PLUS FINANCER LA GUERRE
Depuis 1987, l'écrivain Serge Mongeau (a écrit la Simplicité Volontare) a une dette d'environ 1000 $ envers l'Agence du Revenu du Canada (ARC). Celui qui a popularisé le concept de la simplicité volontaire au Québec se décrit comme un «objecteur de conscience fiscal».
Refusant que ses impôts servent à financer la guerre, notamment celle en Afghanistan, Serge Mongeau remplit sa déclaration d'impôts en excluant les dépenses militaires engagées par le gouvernement fédéral. «Je retire la portion consacrée à la Défense et les subventions accordées à l'industrie militaire. Chaque année, cela représente de 7 à 10% du budget global», explique-t-il. Ainsi, s'il doit payer une somme annuelle de 500 $, M. Mongeau enverra plutôt un chèque de 450 $. Une lettre, dans laquelle il explique son point de vue, accompagne toujours sa déclaration.
Suite de l'article : @Cyberpresse
Refusant que ses impôts servent à financer la guerre, notamment celle en Afghanistan, Serge Mongeau remplit sa déclaration d'impôts en excluant les dépenses militaires engagées par le gouvernement fédéral. «Je retire la portion consacrée à la Défense et les subventions accordées à l'industrie militaire. Chaque année, cela représente de 7 à 10% du budget global», explique-t-il. Ainsi, s'il doit payer une somme annuelle de 500 $, M. Mongeau enverra plutôt un chèque de 450 $. Une lettre, dans laquelle il explique son point de vue, accompagne toujours sa déclaration.
Suite de l'article : @Cyberpresse
Piste d’atterrissage d’OVNI en Alberta
Lorsque les communautés célèbrent le passé, ils choisissent souvent de regarder vers l’avenir pour de l’inspiration dans la construction de leurs souvenirs. C’était le cas avec Saint Paul en 1966-67 lorsque la ville commençait ses préparations pour la célébration du premier centenaire du Canada. Lorsque la ville a gagné son prestige en 1963 en complétant le premier projet centenaire majeur au Canada, le Centre récréatif de Saint Paul, c’était un projet d’une autre sorte qui capturerait l’imagination des Canadiens. Inspirés en partie par un projet initié par le gouvernement canadien d’encourager les communautés de construire des monuments pour le centenaire, Saint Paul a pris une approche unique dans la construction de leur plus grand projet du centenaire; au lieu d’une statue ou un parc, ils ont construit quelque chose encore plus extraordinaire—la première piste d’atterrissage d’OVNI. C’était l’idée de W.R. Treleaven de Hamilton, en Ontario, et de Ken Reed de Calgary. Le Comité du centenaire de Saint Paul fut chargé avec la promotion du point de repère.
La piste d’atterrissage de 130 tonnes fut construite près de l’entrée principale du terrain de récréation sur de la terre donnée par la ville de Saint Paul. Dans l’esprit du centenaire du Canada, une capsule de temps fut scellée dans la partie arrière avec des lettres adressées aux Canadiens d’Ernest Manning, du maire de Saint Paul, et du président de la chambre économique de Saint Paul. La capsule sera ouverte en 2067.
Sur une plaque est inscrite la phrase suivante :
« République de Saint-Paul (Stargate Alpha)
Le terrain sur lequel a été édifiée la plate-forme été déclaré zone internationale par la ville de Saint-Paul, "comme symbole de notre foi en l'humanité pour qu'elle préserve l'univers de guerres et de conflits nationaux. Ce voyage dans l'espace sera sans danger pour tous les êtres intergalactiques. Tous les visiteurs de la Terre et d'ailleurs sont les bienvenus sur ce territoire et dans la ville de Saint-Paul. »
Le projet a attiré l’attention du gouvernement du Canada. L’Honorable Grant MacEwan, le Lieutnant-Gouverneur de l’Alberta dans le temps, a aidé à tourner le sol en 1967. Aussi, dans un grand spectacle, le ministre de la Défense nationale, l’Honorable Paul Hellyer, est arrivé par hélicoptère pour les cérémonies officielles.
Le coût final pour ce projet en particulier était 11 000 $, avec les matériaux et la construction données par les compagnies de la région. Dans les années quatre-vingt dix, un centre touristique et une exposition sur les OVNIs ont été ajoutés, ce dernier comportant des photos d’OVNIs, de cercles dans les blés et de d’autres phénomènes inexplicables. Aujourd’hui le site attire des visiteurs de partout dans le monde et fut récemment le site d’une conférence internationale sur les OVNIs en 2000. Le Reine Elizabeth II et la mère Térésa sont deux des plus importants visiteurs au site.
La piste d’atterrissage de 130 tonnes fut construite près de l’entrée principale du terrain de récréation sur de la terre donnée par la ville de Saint Paul. Dans l’esprit du centenaire du Canada, une capsule de temps fut scellée dans la partie arrière avec des lettres adressées aux Canadiens d’Ernest Manning, du maire de Saint Paul, et du président de la chambre économique de Saint Paul. La capsule sera ouverte en 2067.
Sur une plaque est inscrite la phrase suivante :
« République de Saint-Paul (Stargate Alpha)
Le terrain sur lequel a été édifiée la plate-forme été déclaré zone internationale par la ville de Saint-Paul, "comme symbole de notre foi en l'humanité pour qu'elle préserve l'univers de guerres et de conflits nationaux. Ce voyage dans l'espace sera sans danger pour tous les êtres intergalactiques. Tous les visiteurs de la Terre et d'ailleurs sont les bienvenus sur ce territoire et dans la ville de Saint-Paul. »
Le projet a attiré l’attention du gouvernement du Canada. L’Honorable Grant MacEwan, le Lieutnant-Gouverneur de l’Alberta dans le temps, a aidé à tourner le sol en 1967. Aussi, dans un grand spectacle, le ministre de la Défense nationale, l’Honorable Paul Hellyer, est arrivé par hélicoptère pour les cérémonies officielles.
Le coût final pour ce projet en particulier était 11 000 $, avec les matériaux et la construction données par les compagnies de la région. Dans les années quatre-vingt dix, un centre touristique et une exposition sur les OVNIs ont été ajoutés, ce dernier comportant des photos d’OVNIs, de cercles dans les blés et de d’autres phénomènes inexplicables. Aujourd’hui le site attire des visiteurs de partout dans le monde et fut récemment le site d’une conférence internationale sur les OVNIs en 2000. Le Reine Elizabeth II et la mère Térésa sont deux des plus importants visiteurs au site.
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