Un bureau d’avocat canadien a déposé une requête en recours collectif contre Facebook, alléguant que le géant du réseautage social tire avantage des informations personnelles de ses clients.
Selon Tony Merchant, avocat chez Merchant Law Group, LLP, Facebook désirait faire du ciblage démographique, et pour y arriver, l’entreprise avait besoin d’accéder aux renseignements personnels de ses usagers.
M. Merchant fait ainsi référence aux changements effectués en 2009 par Facebook dans ses politiques de confidentialité. Ces changements faisaient en sorte que les informations soumises sur le site, telles que les noms et les listes d’amis, se retrouvaient automatiquement classées comme publiques et accessibles à tous, à moins que l’utilisateur ne modifie lui-même les paramètres du site.
Ces nouveaux paramètres ont été critiqués comme étant difficiles à trouver et à comprendre.
Facebook met également de l’information à la disposition de tiers partis, qui s’en servent pour faire de la publicité plus ciblée.
M.Merchant affirme que les utilisateurs du site n’étaient pas conscients de ces changements, ni des revenus que Facebook obtient en se servant de leurs renseignements personnels. Selon l’avocat, les usagers devraient en toute logique recevoir une part de ces revenus.
«Toute personne qui a un compte Facebook devrait prendre part à ce recours collectif», a déclaré Tony Merchant, ajoutant que plus de 100 personnes se sont jointes au recours peu après son lancement.
(...)
canoe
samedi 3 juillet 2010
vendredi 2 juillet 2010
G20 : LE TÉMOIGNAGE D'ÉMILIE QUI A ÉTÉ DÉTENUE
Témoignage important !
Représentante de Québec solidaire détenue 60 heures au G20 - Emilie Guimond-Bélanger dénonce l'injustice qu'elle a subie.
Représentante de Québec solidaire détenue 60 heures au G20 - Emilie Guimond-Bélanger dénonce l'injustice qu'elle a subie.
BOUCHON DE PERSONNES
Bouchons de personnes dans un festival de musique électro-pop. C'est juste un festival, imaginez maintenant ce que ça sera si l'économie tombe et tout le bataclan.
jeudi 1 juillet 2010
IL PLEUT DE LA MERDE
Les habitants de Saint-Pandelon, une petite commune au sud de Dax, ne regardent plus sereinement vers le ciel. En effet, depuis deux mois, il pleut... de la matière fécale, raconte le journal Sud-Ouest.
Les habitants d’un lotissement de la commune retrouvent régulièrement des tâches brunâtres sur leurs voitures ou sur le linge qui sèche. «C’est simple, il pleut de la merde», résume le maire, Jean-Pierre Boiselle, au quotidien. D’après lui, l’odeur ne laisse aucun doute sur la nature de cette «pluie».
Mais personne ne sait d’où ça vient. «On ne laisse plus les enfants jouer dehors et on hésite à manger les fruits et légumes du jardin», raconte un habitant à Sud-Ouest. Seule hypothèse quand à l’origine de cette «pluie»: les avions qui videraient leurs toilettes en plein ciel. Une piste jugée «impossible» par la DGAC (direction de l’aviation civile), qui assure qu’aucun largage n’est possible en vol, les avions étant pressurisés.
20 minutes
mercredi 30 juin 2010
LA RAFFINERIE SHELL FERME SES PORTES
Le nombre de raffinerie a un impact direct sur le prix du pétrole : moins de production, plus de rareté, augmentation des prix. En plus, c'est 500 employés au chômage. Ça fait aussi beaucoup plus d'argent dans les coffres de Shell !
Article :
L'espoir de sauver la raffinerie de Shell à Montréal-Est semble définitivement enterré. Les négociations sont terminées avec le groupe israélien Delek.
Selon le syndicat, Shell a rejeté une troisième offre de la filiale américaine de Delek, qui possède déjà une petite raffinerie au Texas. Les syndiqués en ont été informés par courriel en début de semaine, Shell affirmant que Delek s'était retirée de la table des négociations.
Le président de la FTQ, Michel Arsenault, estime que Shell a trompé tant ses employés que les gouvernements. Refusant de jeter l'éponge, il appelle les deux paliers de gouvernement à convoquer la direction de l'entreprise.
Selon M. Arsenault, la troisième offre était au-delà des 150 millions. « Et maintenant, Shell prétend que l'acheteur s'est retiré, ce qui est complètement faux. C'est inacceptable. De notre côté, on a toutes les raisons de croire que l'éventuel acheteur nous dit la vérité, parce qu'il veut la raffinerie. Shell pratique la politique de la terre brûlée. »
La raffinerie sera transformée en terminal d'entreposage et de stockage. Des 550 employés actuellement, Shell n'en conserverait qu'une trentaine. Le démantèlement des installations serait déjà en cours.
radio-canada
Article :
L'espoir de sauver la raffinerie de Shell à Montréal-Est semble définitivement enterré. Les négociations sont terminées avec le groupe israélien Delek.
Selon le syndicat, Shell a rejeté une troisième offre de la filiale américaine de Delek, qui possède déjà une petite raffinerie au Texas. Les syndiqués en ont été informés par courriel en début de semaine, Shell affirmant que Delek s'était retirée de la table des négociations.
Le président de la FTQ, Michel Arsenault, estime que Shell a trompé tant ses employés que les gouvernements. Refusant de jeter l'éponge, il appelle les deux paliers de gouvernement à convoquer la direction de l'entreprise.
Shell avait dit que s'il y avait un vendeur sérieux pour ses installations, elle vendrait. On a un acheteur sérieux, on a un prix sérieux. Je crois plutôt que Shell se comporte comme un voyou, qui se croit au-dessus des lois et au-dessus de la réalité de l'est de Montréal.Delek-US avait initialement offert 75 millions de dollars pour les installations de Shell, puis avait doublé son offre à 150 millions. On ignore l'ampleur de la troisième offre, mais l'entreprise aurait été très contrariée par ce rejet.
— Michel Arsenault, président de la FTQ
Selon M. Arsenault, la troisième offre était au-delà des 150 millions. « Et maintenant, Shell prétend que l'acheteur s'est retiré, ce qui est complètement faux. C'est inacceptable. De notre côté, on a toutes les raisons de croire que l'éventuel acheteur nous dit la vérité, parce qu'il veut la raffinerie. Shell pratique la politique de la terre brûlée. »
La raffinerie sera transformée en terminal d'entreposage et de stockage. Des 550 employés actuellement, Shell n'en conserverait qu'une trentaine. Le démantèlement des installations serait déjà en cours.
radio-canada
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