dimanche 25 juillet 2010

VRAIMENT, VRAIMENT PLEIN LE CUL, BASTA !

L'auteur de la vidéo propose une révolution, je ne sais pas... mais de manifester sa volonté de vivre dans un monde meilleur par des actions concrètes, j'achète. Une révolution, c'est peut-être la raison qu'il leur faut pour nous achever. Ça prend une révolution tranquille comme on a fait au Québec. Il faut se réapproprier notre pouvoir et intelligemment reprendre notre place.

En Argentine, on dit : Occuper, Résister, Produire.
Depuis la crise économique qui a ruiné l’Argentine en 2001, de plus en plus de chômeurs occupent leurs entreprises en faillite et les remettent en marche sans patrons. S’ils réussissent à produire en autogestion grâce à leur créativité et à un ample mouvement de solidarité, ils réclament aussi des réformes et des politiques publiques pour soutenir leurs nouvelles coopératives. Plutôt que le droit à la propriété, tous se réclament du droit au travail. (...) Sur ce sujet : documentaire de Naomi Klein.


Xavier Mathieu dit sa façon de penser à Attali :


Vraiment, vraiment plein le cul (1)

ALERTE ROUGE : EFFONDREMENT DES ÉTATS-UNIS

Alex Jones est certain qu'un attentat terroriste sous faux pavillon servira à sauver le régime Obama et établir le nouvel ordre mondial par le désordre économique. Tout cela d'ici la fin de novembre 2010. On parle d'un effondrement "complet" :

samedi 24 juillet 2010

ÉVASION D'UN PRISON GARDÉE PAR UN MANNEQUIN

Argentine – Deux détenus se sont enfuis, la semaine dernière, d’une prison de la province de Neuquen, en Argentine, dont une section était surveillée par un mannequin costumé en gardien, en raison du manque de personnel.
«Nous taisions la chose jusqu’ici, mais maintenant que la nouvelle est connue, je dois avouer qu’en effet nous utilisons ce type de mannequin», a déclaré au journal anglais The Guardian, le directeur du service pénitentiaire de la province, Daniel Vergès.

Les détenus Walter Pozo et Cesar Andres ont pris la fuite en escaladant un mur du pénitencier. Ils ont ensuite enfilé des manteaux et se sont mêlés à la foule des visiteurs qui quittaient la prison.

Seules deux des tours de guet sont occupées par des gardiens, et le mannequin permettait de donner l’impression d’une surveillance accrue. «On a recréé la silhouette d’un gardien à l’aide d’un ballon de soccer et d’une casquette d’agent. En apercevant sa silhouette, les prisonniers croient qu’ils sont surveillés», a confié un gardien au journal argentin Rio Negro.

En plus du manque de personnel, plusieurs des moniteurs et caméras de surveillance de la prison ne fonctionnaient pas.
CANOE

102 BANQUES AMÉRICAINES ONT FAIT FAILLITE EN 2010

IRINN - Six banque américaines ont été déclarées vendredi en faillite par les autorités de régulation américaines, portant à 102 le nombre d'établissements qui ont fait banqueroute aux Etats-Unis depuis le début de l'année. En 2009, la barre des cent banques en faillite n'avait été atteinte qu'en octobre. Selon les sources, ces six faillites vont coûter environ 394 millions de dollars supplémentaires au fonds d'indemnisation américain. La raison de ces banqueroutes en cascade reste l'incapacité des particuliers à rembourser des hypothèques immobilières contractées auprès de ces banques.
IRIB

NIKE : PUB D'UN MONDE FINI

C'est à croire que NIKE pense qu'on est assez cave pour se suicider pour un ballon. Je sais que c'est juste une pub mais ils vont quand même loin. Il n'y a rien de subtile ou d'amusant. Violence pour un ballon et que le meilleur gagne, mais gagner quoi. Dans la pub, à la fin, un noir se sacrifie pour le ballon. Juste avant qu'il tombe, alors qu'il est en suspension dans les airs, NIKE fait apparaître des symboles devant son cul, peut-être parce qu'ils pensent qu'on est des enculés... Puis le logo de Nike apparaît et le gars semble tomber "par" le logo. On y voit la fameuse pyramide avec l'oeil, des flammes, une lame de rasoir, un insecte et un autre symbole que je n'arrive pas à identifier (petite image en haut à droite du texte). Dans la 2ème version de la pub ci-dessous, on voit les images au ralenti. De plus, cette même vidéo semble être une autre version de la pub avec de la musique et un homme qui dit au début "Where you're going, you're not coming back from" ("Là où tu vas, tu n'en reviendras pas"). C'est comme si on disait, même si tu te bats pour gagner, tout ce qui t'attend, c'est la mort, il n'y a pas d'espoir.

Soyez fort et impitoyable face à ses fous destructeurs qui veulent vous programmer la mort dans l'esprit. Transformez l'énergie de vos émotions en volonté. Vous développerez ainsi votre force intérieure. Et dites NON à toute cette merde car ce sont eux les trous de cul. Il est temps de le manifester le monde dans lequel nous voulons vivre.




Tant qu'à y être, voici une autre publicité de Nike, où on se retrouve dans un monde qui semble être post-nucléaire, et qui montre la victoire d'un reptilien sans émotion sur une humanité défaite !?!?!

BP : TROUBLANTE RÉVÉLATION D'UN RESCAPÉ

C'est un véritable pavé dans la marre que vient de lancer Mike Williams, chef des techniciens électroniques sur la plateforme BP dans le golfe du Mexique. Une alarme qui aurait dû avertir les employés d'une accumulation de gaz avant l'explosion avait été désactivée des mois avant la catastrophe du 20 avril dernier et qui a coûté la vie à 11 personnes et causé une marée noire qualifiée de la plus importante de l'histoire des États-Unis.

Intervenant vendredi à Kenner devant une commission d'enquête fédérale, Mike Williams a pointé du doigt les responsables de la plateforme en expliquant que l'alarme avait été désactivée pour limiter les fausses alertes.

Selon le rescapé de l'explosion du 20 avril, l'alarme était dotée de lumières et de sonneries visant à avertir d'un feu ou d'un niveau anormal de gaz toxiques ou explosifs dans la conduite montante.
"Ils ne voulaient pas que les gens soient réveillés à 3 heures du matin à cause de fausses alertes."
— Mike Williams, chef des techniciens électroniques sur la plateforme Deepwater Horizon
Mike Williams a affirmé avoir lui-même remarqué il y a un an que les alarmes ne fonctionnaient pas et en avait informé sa hiérarchie qui lui avait indiqué que les ordres étaient de la laisser configurée ainsi.

Le propriétaire de la plateforme, Transocean, a aussitôt réfuté les affirmations de Mike Williams, soulignant que la configuration de l'alarme était conforme aux pratiques maritimes en ajoutant que de fausses alarmes à répétition augmentent les risques et diminuent la sécurité de la plateforme.

La commission d'enquête entend depuis une semaine à Kenner les témoignages des responsables de la compagnie Transocean et doit se déplacer à Houston le 23 août pour entendre la version des dirigeants de BP et de Transocean. Les employés qui ont défilé devant les six membres de la commission ont fait état de nombreuses défaillances techniques sur la plateforme.
Radio-Canada.ca

mercredi 21 juillet 2010