mercredi 16 décembre 2009

PIERRE JOVANOVIC

Revue de presse du 16 décembre 2009 :

VILLE SOUS-MARINE DÉCOUVERTE

Une équipe de chercheurs vient de découvrir,dans les eaux de la mer des Caraïbes, ce qui semble être une ville ancienne plus vielle que les pyramides. C'est en anglais mais ce n'est pas grave car on nous montre les photos :

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dimanche 13 décembre 2009

DAVID WILCOCK SUR LA SPIRALE


La spirale de Norvège vient probablement du HAARP norvégien selon Wilcock, le "EISCAT Ramfjordmoen facility". Le voici en entrevue :

PIERRE JOVANOVIC

revue de presse du 9 décembre 2009

MON OEIL : DU RÉEL AU VIRTUEL


DOCTEUR BALLOUNE

(...) Le prototype, appelé LifeSens, est un analyseur d’haleine «user friendly» qui peut détecter avec une précision extrême des centaines de composés gazeux en même temps. Selon le fondateur de la compagnie, John Cormier (lui-même physicien), les autres engins du même type n’en détectent qu’une petite poignée ou alors sont très difficiles d’usage.

Grosso modo, l’idée est (un peu comme pour les alcotests) qu’un très grand nombre de maladies changent la composition du sang. Or, quand il arrive dans les poumons, ledit sang entre en contact avec l’air, et par conséquent sa composition influe sur celle de notre souffle. Si l’on parvenait à mesurer ces changements, un simple test d’haleine pourrait donc servir à la détection (précoce) de divers cancers, de maladies des reins, du diabète, de l’asthme… et même de maladies mentales comme la schizophrénie !
le soleil

L'HUMAIN ANDROGYNE

Des chercheurs viennent de découvrir que ce qui détermine que nous sommes un homme ou une femme est l'activation ou la désactivation d'un seul gène. Ainsi le sexe ne serait plus irréversible. En activant le gène FOXL2, le corps produit des ovaires, et en le désactivant, il produit des testicules. Ils ont fait le test sur une souris femelle et des testicules ont commencé à pousser.

L'autre étonnante découverte est que le corps se bat constamment pour maintenir le sexe déterminé à la naissance. Le sexe d'une personne n'est donc pas aussi définitif qu'on le croyait.

Nous sommes des androgynes en potentialité.
telegraph