mardi 9 novembre 2010

TRAVAUX FORCÉS POUR LES CHÔMEURS EN ANGLETERRE

Remplacer des travailleurs réguliers payés à 100% par des chômeurs payés à une fraction du salaire, cela va justement créer plus de chômeurs.

Je dis travaux forcés car qui peut vraiment se passer de trois mois de revenus, à part les riches !?

LES GOUROUS MANIPULATEURS


2 http://leweb2zero.tv/video/daven_944cd6c2f42af98 
3 http://leweb2zero.tv/video/daven_884cd6c5a76a974 
4 http://leweb2zero.tv/video/daven_494cd6c7cfbe7d1 
5 http://leweb2zero.tv/video/daven_974cd6cea53b859 
6 http://leweb2zero.tv/video/daven_464cd6cbadd591c

dimanche 7 novembre 2010

EXPLOSIONS NUCLÉAIRES DE 1945 À 1998

On se demande après pourquoi il y a une épidémie de cancer.

C'est un peu long mais c'est édifiant :

via Observatoire du Nouvel Ordre Mondial

LA DÉCENNIE DE LA VACCINATION

Bill Gates annonce la décennie de la vaccination. Après avoir dépensé plus de 4,5 milliards de dollars en recherche sur la vaccination, il veut dépenser 10 milliards de plus en recherche et en programme de vaccination à travers le monde. Il ne s'en cache pas, il aimerait vacciner la population mondiale par la nanotechnologie, et ce à notre insu, en vaporisant ses vaccins dans les endroits publics comme les aéroports.

Qu'auriez-vous fait, vous, avec 14,5 milliards de dollars?

14,5 milliards = 14 500 millions de dollars =
près de 1 million $ par jour pendant 40 ans.

Comment se fait-il que Gates n'a jamais pensé que la maladie vient de la malnutrition et de problème d'hygiène?

La vaccination ne va jamais éliminer la maladie, dans les faits, elle la perpétue en inséminant les virus à une partie de la population année après année.

TOXIC

L'alimentation dégradée qui nous rend malade.
William Reymond en entrevue sur le sujet :



samedi 6 novembre 2010

LE DÉLIRE FACEBOOK


POINT DE BASCULE

Selon le rapport du WebBot , le point de bascule de l'humanité serait le 14 novembre 2010.  La tension émotionnelle jusqu'au point de bascule a commencé le 5 novembre 2010.  Selon le WebBot, l'humanité se retrouvera dans un état de "Shock and awe" comme disent les américains.  Une surprise totale plus proche de l'effroi que de l'étonnement.  Il paraît que ce sera au grand plaisir des globalistes.  Tout le monde en parle, alors je vous mets sur la piste. À vous de vous faire une idée.
Le principe du projet WEB BOT est de lancer un tas de « robots » passant le web au peigne fin. Les concepteurs ont fait le paris suivant : En faisant un balayage systématique du web, ils comptent obtenir un résumé de l’inconscient collectif, et par la même occasion, une vision de l’avenir.
Cet outil est censé pouvoir de prévoir l’avenir sur le Web en se fondant sur les habitudes de navigation concernant les informations. Le WebBot conceptualise un futur modèle de comportement sur la base des nouvelles récentes et psychologique des requêtes des masses. cela peut pour certains ressembler être un type de l’IA (intelligence artificielle). Les WebBots ont prédit certains événements avec un niveau de précision qui méritent un examen sérieux.
Le dernier rapport WebBot se trouve ici (en anglais) :
Shape of things to come 8

UNE FERME SUR LE TOIT

Sans OGM, ni pesticide et ça isole parfaitement le toit.
Les entrepreneurs Kurt D. Lynn et Mohamed Hage proposent une petite révolution dans l'industrie montréalaise des légumes. Avec l'aide de Google Earth, ils ont répertorié les plus grands toits plats des bâtiments industriels de Montréal et proposent d'y faire pousser des produits potagers à longueur d'année. À commencer par le toit de cette bâtisse sans nom en périphérie du Marché central qui nourrira 2000 personnes.

Ils sont de ces êtres qu'on appelle des entrepreneurs en série. Mohamed Hage et Kurt D. Lynn se sont d'ailleurs rencontrés il y a quatre ans, alors que le plus âgé aidait le plus jeune à mettre une entreprise sur pied. Ce sont des férus de technologies.

Ils transposent aujourd'hui leur passion des gadgets au potager avec leur nouveau projet: les Fermes Lufa. L'inspiration? «En fait, on tripe tous les deux sur la nourriture», dit simplement le Montréalais à temps partiel, M. Lynn, qui vit l'autre moitié du temps à Toronto. À force d'en discuter ensemble, ils ont voulu changer leur façon de se nourrir en créant leur propre ferme sans pesticides ni OGM. Mais pas question de faire ça en dehors de la ville. «Plus la nourriture s'éloigne d'où elle a été cultivée, plus elle perd sa saveur et sa valeur nutritive. Et plus elle pollue en raison du transport.» Ça, on l'a dit souvent, d'où la tendance au locavorisme, une alimentation qui s'en tient aux produits locaux.

Mais les terres cultivables sont rares sur l'île... Les deux gourmets se sont donc tournés vers les toits des immeubles commerciaux pour élever la première serre commerciale sur un toit d'envergure au Québec, présentement en construction dans le quartier Ahuntsic. «On a fait des recherches et on pense être la première au monde, si on exclut les petits jardins sur des toits qui fournissent des herbes ou certains légumes à quelques restaurants aux États-Unis», dit Kurt D. Lynn. Il y a toutefois déjà quelques jardins collectifs sur les toitures et balcons du Québec et le premier toit vert remonterait aux années 1970 à Montréal, selon le Centre d'écologie urbaine.

Le iPod de l'agriculture

Avec une équipe d'architectes, d'ingénieurs, de scientifiques et d'agents immobiliers, les deux hommes d'affaires ont prévu tous les détails de cette première serre de 31 000 pieds carrés qui offrira ses récoltes, dès le mois de mars, par la vente de paniers. L'équipe a déjà établi que l'eau de la pluie sera recueillie pour arroser les plants, que les coccinelles remplaceront les pesticides et que la distribution, locale, se fera à partir de points de chute pour éviter des trajets en camions. «C'est ça qu'on veut éviter!» dit M. Lynn en pointant un camion qui sort d'un entrepôt, chargé de légumes, qu'un autre camion est venu y déposer... Au total, la serre d'Ahuntsic pourra nourrir 2000 personnes toute l'année.

Mohamed Hage, en bon amateur de technologies, compare les Fermes Lufa au iPod. «Apple a été le premier à mettre ensemble autant de fonctions dans un même objet d'une façon efficace.» Idem pour sa ferme de la rue Antonin-Barbeau, qui réunira la serre, le toit vert, le concept de panier santé et une façon écologique de cultiver. «Ce n'est rien de nouveau, c'est juste une nouvelle combinaison», selon Kurt D. Lynn. Et ce n'est qu'un début: d'autres projets, dont un autre cinq fois plus grand à Montréal, sont prévus dans la province et en Ontario.

L'invitation est lancée à tous les Home Dépôt et Costco de ce monde qui voudraient louer cet espace perdu. Une bonne façon pour ces monstres de béton de faire leur part pour la communauté, croient les deux hommes. «Les gens les détestent lorsqu'ils sont construits. Mais si au moins leurs toits pouvaient nourrir 12 000 personnes...» dit Mohamed Hage. Ces bâtisses sont idéales parce que leurs toits sont plats et solides. Car si la culture hydroponique, donc sans terre, en fait une ferme assez légère, tous les toits ne sont tout de même pas admissibles au royaume des légumes en altitude. Les immeubles coiffés d'une ferme gagnent en échange une isolation totale du côté du toit, puisque la serre permet d'éviter toute perte de chaleur.

10 % des toits de Montréal?

Les deux entrepreneurs de la pousse écolo ont fait appel à une équipe scientifique multidisciplinaire de l'Université McGill pour choisir les produits qui pousseront sur ce toit d'un immeuble sans nom en périphérie du Marché central. Ils recherchent les variétés les plus nutritives et les plus savoureuses. «Ce n'est pas un projet commun: généralement, c'est le fermier qui décide ce que les gens mangent, selon ce qui se conserve le plus longtemps, dit la phytologue Danielle Donnelly, qui étudie en ce moment les concombres et les tomates. Avec ces deux gars, ce sont les nutritionnistes qui décident!»

Le fondateur de Green Roofs for Healthy Cities, une association basée à Toronto qui regroupe l'industrie des toits verts de l'Amérique du Nord, estime qu'environ 10 % des toits des villes canadiennes peuvent accueillir un potager. «À Toronto, ça représente 500 millions de pieds carrés, dit Steven Peck. Ça donne une idée des opportunités. Ce sont des idées encore très nouvelles, émergentes, mais une serre comme ça aura beaucoup de bénéfices sociaux et économiques.»

Le président du Centre d'écologie urbaine de Montréal, Owen Rose, se réjouit qu'une entreprise s'installe ainsi sur un toit. «Le privé aussi a son rôle à jouer pour l'environnement. Et c'est un bon moyen de valoriser l'agriculture urbaine.»

Le Devoir