dimanche 14 juin 2009

FAUSSE PUBLICATION SCIENTIFIQUE

La relation entre les grandes compagnies pharmaceutiques et les éditeurs de littérature scientifique peut être périlleuse. Elsevier, un des plus grands éditeurs de publications scientifiques, se retrouve au milieu d'une grave controverse après qu'il eut été révélé qu'il a créé au moins six pseudo-journaux scientifiques, en réalité des publications entièrement payées par des compagnies pharmaceutiques, entre 2000 et 2005.

Certes, il arrive souvent qu'un éditeur comme Elsevier - un géant qui, basé aux Pays-Bas, compte parmi ses publications la prestigieuse revue médicale The Lancet - conclût un faux contrat avec une compagnie pharmaceutique, ou un autre commanditaire, pour publier, par exemple, des compilations d'articles portant sur un de leurs médicaments. Mais de telles commandites sont toujours clairement identifiées.

Pas cette fois-ci. Une publication australienne, The Australasian Journal of Bone and Joint Medicine, avait toutes les apparences d'un vrai journal scientifique. Le deuxième numéro contenait 29 articles - dont neuf concernaient le Vioxx et une douzaine, le Fosamax, deux médicaments de la compagnie Merck. Tous les articles présentaient des conclusions positives sur ces deux médicaments. Mais nulle part, il n'était dit que Merck avait payé la totalité et maquillé cela sous l'apparence d'une vraie revue.

L'affaire, dévoilée dans la foulée d'une poursuite en justice en cours en Australie, a soulevé la colère des bibliothécaires américains, dont la Progressive Librarians Guild, qui a dénoncé ce qu'elle considère être une utilisation inacceptable de la réputation d'un éditeur prestigieux pour vendre des produits pharmaceutiques. Le directeur général d'Elsevier, Michael Hansen, a reconnu l'existence de six revues créées entre 2000 et 2005 (mais sans nommer les cinq autres) et indiqué que les responsables de cette affaire ne travaillaient plus pour l'éditeur. « C'était une pratique inacceptable et nous regrettons qu'elle ait pris place », s'est-il excusé dans un communiqué.

La controverse autour de ces faux journaux est encore plus préoccupante pour les médecins, qui sont les principaux lecteurs de ce genre de publications. Comme il est impossible aux praticiens de lire l'ensemble de la littérature médicale qui paraît chaque mois, ils doivent souvent se fier à des résumés ou à des recueils pour rester à jour. Une littérature médicale de mauvaise qualité peut amener les médecins à prendre de mauvaises décisions, y compris sur des médicaments dont les effets secondaires peuvent s'avérer dangereux, comme ce fut le cas avec le Vioxx.
cyberpresse
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DÉCRET 11110


Obama pourrait utiliser le décret 11110 (executive order 11110) établi précédemment par Kennedy, qui donne le droit au président d'imprimer 4,3 milliards de dollars américains basés sur la totalité de la réserve d'argent du pays. Kennedy avait commencé à imprimer ces dollars, mais il a été assassiné tout de suite après et on a arrêté l'impression. S'il avait continué, les États-Unis auraient pu se débarraser de la Federal Reserve.
President John F.Kennedy, The Federal Reserve And Executive Order 11110

Pour les férus d'ésotérisme, remarquer le numéro du décret !
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CERCLES CÉRÉALIERS EN ANGLETERRE

Mai 2009 Crop Circle Connector

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vendredi 12 juin 2009

LINGOTS DISPARUS

La Monnaie royale canadienne nage en plein mystère. La Gendarmerie royale du Canada fera enquête sur la disparition de lingots d'or et d'autres métaux précieux des coffres de la société de la Couronne.

En effet, l'inventaire de métaux précieux contenus dans les chambres fortes de la Monnaie royale canadienne à Ottawa ne concorde pas avec les montants inscrits dans ses livres. C'est le ministre d'État aux Transports, Rob Merrifield, responsable de la Monnaie royale, qui a demandé à la GRC d'enquêter.

Le ministre Merrifield ne veut pas s'avancer à chiffrer la valeur des métaux précieux dont on a perdu la trace. Une vérification externe devrait permettre d'estimer la valeur des métaux disparus au cours des prochains jours. Le montant pourrait atteindre plusieurs millions de dollars, car un seul lingot d'or vaut 466 000 $.

Pour l'instant, tous les scénarios semblent envisagés, que ce soit une erreur comptable, un vol ou la perte des métaux.
(...)
yahoo
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jeudi 11 juin 2009

L'OMS DÉCLARE LA PANDÉMIE

AUJOURD'HUI : L'OMS a relevé son alerte au niveau six, son degré maximal, annonçant ainsi la première pandémie de grippe depuis 1968."Pour l'instant, l'estimation générale est que nous avons affaire à une pandémie modérée", a tempéré la directrice générale de l'OMS, le Dr Margaret Chan.
Des responsables ont souligné que la proclamation de l'état de pandémie est motivée par l'étendue géographique de la maladie, mais pas par sa gravité. Margaret Chan a néanmoins souligné que les pays où le nombre de cas diminue devaient rester vigilants et se préparer à une possible deuxième vague parce que la grippe est très imprévisible. (...)

Express
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PROPAGANDE NEO-CON

Analyse de la propagande des néo-conservateurs français, membres du Cercle de l'Oratoire et de la revue le Meilleur des Mondes, et des techniques utilisées pour manipuler le spectateur et la réalité.
Bien réalisé !
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mercredi 10 juin 2009

CAMÉRA SERPENT

Un serpent mécanique qui est muni d'une caméra et de micros pour faire de la surveillance discrète. Il peut aussi contenir un explosif qu'on fait explosif à distance :

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mardi 9 juin 2009

UN NOUVEAU NUAGE

L’apparition d’un nouveau type de nuage dans le bestiaire météorologique est un fait rarissime. C’est pourtant ce qui est sur le point de se produire, avec l’asperatus, une formation nuageuse impressionnante.

D’étranges formes de nuages ont récemment fait leur apparition au-dessus de la Grande-Bretagne et de la Nouvelle-Zélande, mais aussi en quelques autres endroits du globe. Particulièrement tourmentés et opaques, ils ressemblent à une mer agitée vue par en dessous et assombrissent considérablement le paysage, donnant l’impression d’annoncer une violente tempête. Pourtant, ils finissent toujours par se dissiper sans rien produire de particulièrement fâcheux.

Ces nuages sont apparus sur des photos transmises régulièrement par les membres de la Cloud Appreciation Society. « Nous avons essayé d’identifier et de classer toutes les images de nuages que nous avons, mais il y en avait qui n’allaient dans aucune des catégories, j’ai donc commencé à penser que cela pouvait être un type unique de nuage », raconte Gavin Pretor-Pinney, le fondateur de l’association.
FuturaSciences
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