vendredi 9 avril 2010
DES TUNNELS SUR LA LUNE
Le satellite lunaire indien Chandrayaan-1 a identifié des tunnels sous la surface de la Lune, c'est ce qu'affirme un scientifique aujourd'hui. Il affirme aussi qu'il serait possible que les humains puissent un jour habiter ces tunnels.
(...)
hindustantimes
jeudi 8 avril 2010
ANNONCE : FIN DE L’AFFILIATION
La présente est pour vous faire part qu’à compter de maintenant, Eso News n’est plus affilié à Ésotérisme Expérimental. Cela fait un bon bout de temps que je pensais changer des choses sur le site, mais cette affiliation ne me le permettait pas. Alors je remercie sincèrement toute l’équipe et tous les habitués d’Ésotérisme Expérimental de leur support et de leurs encouragements. Et je vous invite à continuer à visiter Eso News si le cœur vous en dit, en bons amis.
Merci de votre compréhension.
Merci de votre compréhension.
mercredi 7 avril 2010
LA CRÉATURE
Encore cette étrange créature ! Mais cette-ci on l'a capturé en Chine et on l'a envoyé dans un laboratoire pour des tests d'ADN. Ça ressemble un peu à un kangourou mais il paraît que ça produit des sons comme un chat. On va bientôt savoir ce que c'est. On a vu cette animal un peu partout dans le monde.
telegraph
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mardi 6 avril 2010
H1N1 : LES VACCINÉS SONT PLUS À RISQUE
Les personnes vaccinées contre la grippe saisonnière ont-elles été plus exposées au risque de contracter le virus H1N1 que les autres?
Des épidémiologistes britanno-colombiens ne peuvent établir un lien de cause à effet clair, mais ils évoquent cette possibilité.
Au printemps 2009, la Dre Danuta Skowronski et ses collègues du Centre de contrôle des maladies de Colombie-Britannique ont remarqué que les élèves d'une école qui présentaient les symptômes du virus H1N1 avaient été plus souvent vaccinées contre la grippe saisonnière que ceux restés en bonne santé.
Pas moins de 2700 personnes de quatre provinces (Colombie-Britannique, Alberta, Ontario et Québec) ont depuis participé à quatre études pour vérifier l'existence d'un rapport.
Une première recherche a confirmé que le vaccin protégeait contre la grippe saisonnière, mais qu'il semblait associé à un risque accru de 68 % de contracter le virus H1N1.
Trois autres études donnent des résultats semblables et établissent que la probabilité de contracter le H1N1 est multipliée par des facteurs situés entre 1,4 et 2,5 pour les personnes vaccinées.
Le risque d'hospitalisation pour les patients atteints de H1N1 n'a cependant pas augmenté pour ces personnes.
Ne pas sauter aux conclusions
Les auteurs des travaux pensent qu'il est encore trop tôt pour établir un lien clair. Leurs résultats, selon eux, peuvent être influencés par d'autres facteurs extérieurs qui n'ont pas été pris en compte dans leur recherche.
Le détail de ces travaux sera publié prochainement dans la revue PLoS Medecine.
radio-canada
Des épidémiologistes britanno-colombiens ne peuvent établir un lien de cause à effet clair, mais ils évoquent cette possibilité.
Au printemps 2009, la Dre Danuta Skowronski et ses collègues du Centre de contrôle des maladies de Colombie-Britannique ont remarqué que les élèves d'une école qui présentaient les symptômes du virus H1N1 avaient été plus souvent vaccinées contre la grippe saisonnière que ceux restés en bonne santé.
Pas moins de 2700 personnes de quatre provinces (Colombie-Britannique, Alberta, Ontario et Québec) ont depuis participé à quatre études pour vérifier l'existence d'un rapport.
Une première recherche a confirmé que le vaccin protégeait contre la grippe saisonnière, mais qu'il semblait associé à un risque accru de 68 % de contracter le virus H1N1.
Trois autres études donnent des résultats semblables et établissent que la probabilité de contracter le H1N1 est multipliée par des facteurs situés entre 1,4 et 2,5 pour les personnes vaccinées.
Le risque d'hospitalisation pour les patients atteints de H1N1 n'a cependant pas augmenté pour ces personnes.
Ne pas sauter aux conclusions
Les auteurs des travaux pensent qu'il est encore trop tôt pour établir un lien clair. Leurs résultats, selon eux, peuvent être influencés par d'autres facteurs extérieurs qui n'ont pas été pris en compte dans leur recherche.
Le détail de ces travaux sera publié prochainement dans la revue PLoS Medecine.
radio-canada
lundi 5 avril 2010
dimanche 4 avril 2010
samedi 3 avril 2010
WASHINGTON RESSERRE DAVANTAGE LES RÈGLES DE SÉCURITÉ
La Maison-Blanche a annoncé vendredi de nouvelles mesures pour renforcer la sécurité aérienne sur le territoire américain. D'ici un mois, les « profils » de tous les voyageurs à destination des États-Unis, y compris les Canadiens et les Américains, seront soumis à un contrôle plus strict.
« Ces nouvelles mesures utilisent des renseignements en temps réels, fondés sur des menaces précises, en même temps que de multiples filtres de sécurité, visibles ou non, afin de mieux réduire la menace terroriste », a expliqué la secrétaire à la Sécurité intérieure, Janet Napolitano, par communiqué.
Elle a aussi prévenu que les passagers pourraient constater une multiplication des procédures de contrôle.
Les mesures ne prendront pas en compte la nationalité ou le passeport, mais des caractéristiques rassemblées par les agences de renseignement, comme la description physique, des fragments de noms et les pays récemment visités.
« Il s'agira davantage de s'appuyer sur ce que les services de renseignement nous diront, sur ce que la menace nous apprendra, et non d'arrêter systématiquement tous les individus de telle nationalité ou tous ceux qui utilisent un passeport en particulier », a déclaré à Reuters, sous le sceau de l'anonymat, un haut responsable de l'administration Obama.
Ces nouvelles mesures viennent en effet remplacer celles adoptées dans la foulée de l'attentat raté du 25 décembre contre un vol à destination de Détroit.
Il avait alors été décidé que les ressortissants de quatorze pays, presque tous essentiellement musulmans, feraient l'objet de procédures de contrôle systématiques.
Le Conseil des relations islamo-américaines, basé à Washington, a salué ces nouvelles mesures.
Cette affaire, qui impliquait un Nigérian formé par Al-Qaïda au Yémen, avait mis en lumière d'importantes failles dans le système de contrôle aérien. En effet, les agences de sécurité avaient toutes les informations nécessaires pour prévenir l'attentat, mais elles ne s'en sont pas servies, avait critiqué le président Barack Obama.
Radio-Canada.ca
« Ces nouvelles mesures utilisent des renseignements en temps réels, fondés sur des menaces précises, en même temps que de multiples filtres de sécurité, visibles ou non, afin de mieux réduire la menace terroriste », a expliqué la secrétaire à la Sécurité intérieure, Janet Napolitano, par communiqué.
Elle a aussi prévenu que les passagers pourraient constater une multiplication des procédures de contrôle.
Les mesures ne prendront pas en compte la nationalité ou le passeport, mais des caractéristiques rassemblées par les agences de renseignement, comme la description physique, des fragments de noms et les pays récemment visités.
« Il s'agira davantage de s'appuyer sur ce que les services de renseignement nous diront, sur ce que la menace nous apprendra, et non d'arrêter systématiquement tous les individus de telle nationalité ou tous ceux qui utilisent un passeport en particulier », a déclaré à Reuters, sous le sceau de l'anonymat, un haut responsable de l'administration Obama.
Ces nouvelles mesures viennent en effet remplacer celles adoptées dans la foulée de l'attentat raté du 25 décembre contre un vol à destination de Détroit.
Il avait alors été décidé que les ressortissants de quatorze pays, presque tous essentiellement musulmans, feraient l'objet de procédures de contrôle systématiques.
Le Conseil des relations islamo-américaines, basé à Washington, a salué ces nouvelles mesures.
Cette affaire, qui impliquait un Nigérian formé par Al-Qaïda au Yémen, avait mis en lumière d'importantes failles dans le système de contrôle aérien. En effet, les agences de sécurité avaient toutes les informations nécessaires pour prévenir l'attentat, mais elles ne s'en sont pas servies, avait critiqué le président Barack Obama.
Radio-Canada.ca
jeudi 1 avril 2010
LA LÉGENDE DE SHAMBHALA
Du Tibet à la Russie, de la Chine à l’Inde, légendes et textes sacrés se recoupent sur l’existence d’un royaume luxuriant enclavé dans les contreforts himalayens, abritant des hommes et des femmes d’une grande sagesse. Shambhala existe-il réellement ?
Nexus #65 - article format pdf
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