mardi 16 juin 2009

LE BRIC

Les quatre grands pays émergents du BRIC (Brésil, Russie, Inde, Chine), qui ambitionnent de gagner en influence sur la scène mondiale, ont mis en garde mardi contre la domination du dollar, lors de leur premier sommet.

"Nous pensons qu'il est vraiment nécessaire d'avoir un système de devises stable, prévisible et plus diversifié", ont déclaré les dirigeants des quatre pays, réunis à Ekaterinbourg en Russie, sur fond de critiques récurrentes sur le rôle du dollar comme monnaie de réserve mondiale.

"Le rouble et le yuan méritent d'être inclus" dans le panier de devises de référence du Fonds monétaire international (FMI), a ajouté le principal conseiller économique du Kremlin, Arkadi Dvorkovitch.

Le président russe, Dmitri Medvedev, qui a qualifié ce sommet d'"événement historique", a déclaré qu'il devait "créer les conditions pour un ordre mondial plus juste".

La rencontre réunissait les présidents russe, chinois Hu Jintao, brésilien Luiz Inacio Lula da Silva et le Premier ministre indien Manmohan Singh.
Les quatre dirigeants ont aussi appelé à "réformer" le système financier international, afin de donner une plus grande place aux pays émergents.
"Les économies émergentes et en développement doivent être mieux entendues et mieux représentées dans les institutions financières internationales", ont-ils déclaré dans leur communiqué final.

Le BRIC, porté par une forte croissance des quatre économies nationales ces dernières années, entend s'imposer comme un forum clé sur la scène mondiale.
"Un bébé vient de naître, et pour l'instant il est encore dans son berceau", a concédé le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Riabkov.
Mais "le groupe du BRIC sera capable de formuler certains principes pour le développement à venir de l'architecture financière mondiale", a-t-il ajouté.
Pour Elena Charipova, analyste à la banque Renaissance Capital à Moscou, la "transformation de ce groupe en une vraie structure internationale va prendre beaucoup de temps mais le BRIC apparaît clairement comme un nouveau centre de pouvoir".
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Ça commence à ressembler à ce que Nostradamus prédisait. M'enfin.
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dimanche 14 juin 2009

L'ARNAQUE DU RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE




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ALAIN SORAL

Le point de vue du parti AntiSioniste :

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CULTURE DE GUERRE !?

Un français discute avec un étatsunien, sur la rue aux USA. Je trouve intéressant de voir le choc des différentes visions du monde se bousculer en quelques minutes :

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FAUSSE PUBLICATION SCIENTIFIQUE

La relation entre les grandes compagnies pharmaceutiques et les éditeurs de littérature scientifique peut être périlleuse. Elsevier, un des plus grands éditeurs de publications scientifiques, se retrouve au milieu d'une grave controverse après qu'il eut été révélé qu'il a créé au moins six pseudo-journaux scientifiques, en réalité des publications entièrement payées par des compagnies pharmaceutiques, entre 2000 et 2005.

Certes, il arrive souvent qu'un éditeur comme Elsevier - un géant qui, basé aux Pays-Bas, compte parmi ses publications la prestigieuse revue médicale The Lancet - conclût un faux contrat avec une compagnie pharmaceutique, ou un autre commanditaire, pour publier, par exemple, des compilations d'articles portant sur un de leurs médicaments. Mais de telles commandites sont toujours clairement identifiées.

Pas cette fois-ci. Une publication australienne, The Australasian Journal of Bone and Joint Medicine, avait toutes les apparences d'un vrai journal scientifique. Le deuxième numéro contenait 29 articles - dont neuf concernaient le Vioxx et une douzaine, le Fosamax, deux médicaments de la compagnie Merck. Tous les articles présentaient des conclusions positives sur ces deux médicaments. Mais nulle part, il n'était dit que Merck avait payé la totalité et maquillé cela sous l'apparence d'une vraie revue.

L'affaire, dévoilée dans la foulée d'une poursuite en justice en cours en Australie, a soulevé la colère des bibliothécaires américains, dont la Progressive Librarians Guild, qui a dénoncé ce qu'elle considère être une utilisation inacceptable de la réputation d'un éditeur prestigieux pour vendre des produits pharmaceutiques. Le directeur général d'Elsevier, Michael Hansen, a reconnu l'existence de six revues créées entre 2000 et 2005 (mais sans nommer les cinq autres) et indiqué que les responsables de cette affaire ne travaillaient plus pour l'éditeur. « C'était une pratique inacceptable et nous regrettons qu'elle ait pris place », s'est-il excusé dans un communiqué.

La controverse autour de ces faux journaux est encore plus préoccupante pour les médecins, qui sont les principaux lecteurs de ce genre de publications. Comme il est impossible aux praticiens de lire l'ensemble de la littérature médicale qui paraît chaque mois, ils doivent souvent se fier à des résumés ou à des recueils pour rester à jour. Une littérature médicale de mauvaise qualité peut amener les médecins à prendre de mauvaises décisions, y compris sur des médicaments dont les effets secondaires peuvent s'avérer dangereux, comme ce fut le cas avec le Vioxx.
cyberpresse
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DÉCRET 11110


Obama pourrait utiliser le décret 11110 (executive order 11110) établi précédemment par Kennedy, qui donne le droit au président d'imprimer 4,3 milliards de dollars américains basés sur la totalité de la réserve d'argent du pays. Kennedy avait commencé à imprimer ces dollars, mais il a été assassiné tout de suite après et on a arrêté l'impression. S'il avait continué, les États-Unis auraient pu se débarraser de la Federal Reserve.
President John F.Kennedy, The Federal Reserve And Executive Order 11110

Pour les férus d'ésotérisme, remarquer le numéro du décret !
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CERCLES CÉRÉALIERS EN ANGLETERRE

Mai 2009 Crop Circle Connector

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vendredi 12 juin 2009

LINGOTS DISPARUS

La Monnaie royale canadienne nage en plein mystère. La Gendarmerie royale du Canada fera enquête sur la disparition de lingots d'or et d'autres métaux précieux des coffres de la société de la Couronne.

En effet, l'inventaire de métaux précieux contenus dans les chambres fortes de la Monnaie royale canadienne à Ottawa ne concorde pas avec les montants inscrits dans ses livres. C'est le ministre d'État aux Transports, Rob Merrifield, responsable de la Monnaie royale, qui a demandé à la GRC d'enquêter.

Le ministre Merrifield ne veut pas s'avancer à chiffrer la valeur des métaux précieux dont on a perdu la trace. Une vérification externe devrait permettre d'estimer la valeur des métaux disparus au cours des prochains jours. Le montant pourrait atteindre plusieurs millions de dollars, car un seul lingot d'or vaut 466 000 $.

Pour l'instant, tous les scénarios semblent envisagés, que ce soit une erreur comptable, un vol ou la perte des métaux.
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yahoo
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