samedi 8 mai 2010

LA FOLIE DES HAUTEURS

J'ai hâte que les politiciens cessent de planer comme des vautours dans leur illusion de supériorité. Ils volent tellement haut, enivrés par leur pouvoir, qu'ils n'ont plus aucune idée de ce qui se passe sur Terre, au niveau de l'homme. Et nous les imbéciles, on les met au pouvoir. Je vais finir par croire qu'on aime souffrir. Ce n'est pas le temps d'une révolution, c'est à dire de tout jeter à terre et recommencer, c'est le temps d'une évolution. Partons de ce qu'on a, prenons notre place, assumons notre humanité et défendons-la à tout prix. La souffrance devrait être une aberration pour l'homme d'aujourd'hui. La paix, son seul objectif.

Mais il y a certains politiciens, comme Nigel Farage, qui ose rester des hommes authentiques et dénoncer la traîtrise, l'ignominie et le mensonge. Lui aussi s'envola, mais comme un aigle plutôt qu'un vautour. Mais il semble qu'on lui ait coupé ses ailes cette semaine : le petit avion dans lequel il traversait l'Angleterre s'est écrasée. Heureusement, il est toujours vivant et, semble-t-il, dans une assez bonne condition.

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LETTRE OUVERTE AUX ÉLUS

... et à la population :

mercredi 5 mai 2010

mardi 4 mai 2010

LISA WILLIAMS : DIALOGUE AVEC LES MORTS

Williams parle aux morts. Je remarque, si c'est vrai, que les morts ne semblent pas changer après leur mort. La mort semble se vivre comme une continuité de notre vie dans un corps physique, la seule différence étant qu'on y vit dans une autre dimension. J'attends souvent des gens qui demandent aux morts de les aider et de les conseiller, mais si ces morts étaient de mauvais conseils sur Terre, ils le seront dans le monde des morts. Bernard de Montréal disait, lui, que les morts vont dans l'astral (le monde des morts attendant une réincarnation) après être passés par le fameux tunnel. Le hic selon lui, est que ce tunnel est une arnaque, on nous y coupe la connexion avec notre aspect "divin" ou notre "double" pour nous laisser seulement avec la mémoire de notre vie, perdant toute possibilité d'évolution réelle. Je vous laisse vous faire votre idée.