samedi 22 décembre 2007

EXTRATERRESTRES EN SICILE

On dirait un épisode de X-Files. Sauf que le document confidentiel remis aux autorités italiennes et dévoilé par L’Espresso est tout ce qu’il y a de plus sérieux. Et ses conclusions, troublantes : “Tests militaires secrets ou expériences extraterrestres.” En 2004, une série d’incendies spontanés se déclarent dans le village de Canneto di Caronia, en Sicile. Plus de 180 appareils électroménagers non branchés s’enflamment spontanément, les téléphones portables sont pris de folie, les GPS fondent littéralement. Chercheurs italiens et étrangers accourent dans le village sicilien. Mais, comme leurs collègues venus de toute l’Europe pour résoudre cette folle énigme, les scientifiques du Centre national de recherche de la péninsule déclarent forfait, écrivent Giuseppe Lo Bianco et Piero Messina dans l’hebdomadaire italien. L’exorciste en chef du Vatican, le père Gabriele Amorth, dénonce quant à lui l’œuvre du Malin.
En 2005, Silvio Berlusconi, président du Conseil, crée un groupe de travail pour faire la lumière sur l’affaire. Il réunit experts, carabiniers, membres de l’armée de l’air et de la marine militaire ainsi que des agents de la protection civile et un chercheur de la NASA recruté aux Etats-Unis. L’enquête sera élargie à 309 épisodes observés le long de la mer Tyrrhénienne, mais aussi dans le canal de Sicile – autant de phénomènes étranges, pour lesquels, en trois ans, on n’a pu établir aucune origine naturelle.
Conclusion du rapport : “Des technologies militaires évoluées, éventuellement d’origine non terrestre, pourraient à l’avenir exposer des populations entières à des conséquences non désirées. Les incidents de Canneto di Caronia pourraient être des tentatives d’engagement militaire entre des forces non conventionnelles ou un test non agressif visant à l’étude des comportements et des réactions dans une zone faiblement habitée choisie au hasard.” Selon les experts chapeautés par Francesco Mantegne Venerando, coordinateur régional du comité de la Protection civile sicilienne, Canneto di Caronia a été frappé par des phénomènes électromagnétiques d’origine artificielle, capables de générer une grande puissance concentrée – des faisceaux de micro-ondes à “ultrahaute fréquence” compris dans la bande située entre 300 mégahertz et plusieurs gigahertz. Où se trouve la source de ces ondes ? On l’ignore. Depuis deux ans, un réseau composé d’une dizaine de capteurs cherche l’impulsion originelle provenant de la mer, une mission quasi impossible dans la mesure où l’émission ne dure que quelques nanosecondes. D’autant que ce réseau de surveillance pourrait bientôt s’éteindre : la direction régionale de la protection civile n’a pas encore pu renouveler les contrats des entreprises chargées de son entretien. Y a-t-il un triangle des Bermudes au large de l’île ? Difficile à croire. Mais dans le dossier figurent des épisodes sans aucune explication scientifique, survenus ces dernières années dans la région tyrrhénienne. A commencer par une étrange et gigantesque empreinte de forme rectangulaire, longue de 40 mètres et large de 15, retrouvée à quelques kilomètres de Caronia, dans un champ. Seuls des buissons dont les larges feuilles “pourraient avoir servi de récepteur d’ondes avaient brûlé. La brûlure des racines était semblable à celle observée sur les fils électriques des habitations, les marques des flammes obéissant à des séquences formées par des multiples de quatre.” Verdict des spécialistes : ces marques sont compatibles avec des émissions d’ondes électromagnétiques. Tout aussi mystérieux : on ne sait toujours pas pourquoi, dans la nuit du 18 au 19 décembre 2005, le moteur d’un camion garé dans les cales du ferry Toscana reliant Palerme à Cagliari s’est subitement mis en marche, déclenchant un incendie à bord. Le retour du vaisseau en Sicile fut l’occasion de moult communications survoltées entre les gardes-côtes de Palerme et le bureau de la Protection civile qui s’occupe à temps plein de ces mystères. Ces “X-Files” siciliens font une place de choix aux photos impressionnantes de l’hélicoptère Sikorsky de la Protection civile. L’appareil a dû effectuer un atterrissage d’urgence alors qu’il survolait la mer Tyrrhénienne : trois des quatre pales de l’hélice étaient fortement fissurées, alors que l’engin n’avait apparemment rien heurté – “un cas inédit dans l’histoire des accidents d’hélicoptère”.
Il ne manquait que les ovnis. Les voilà. Le rapport comporte moults objets volants non identifiés – avec photos. Certains clichés sont tellement précis que les scientifiques du groupe international interinstitutionnel ont développé et joint au dossier des reconstitutions numériques avec la description des ovnis en question. Figurent également dans le rapport les déclarations des habitants de Caronia, qui jurent, depuis deux ans, recevoir la visite inopportune d’objets volants luminescents auxquels beaucoup attribuent les flammes apparues brusquement au milieu des rideaux et des matelas. Les experts contraints de répertorier ces mystères restent extrêmement prudents. Mais, dans ce rapport façon X-Files, les ovnis arrivent en seconde position : ils suivent l’hypothèse de la technologie militaire secrète dans le classement des sources potentielles de l’onde qui brûle. Et dire que c’est précisément en Sicile qu’Archimède inventa les miroirs qui brûlent ! Si l’énigme était encore plus ancienne ?
@courrier international

APPEL INTERNATIONAL SUR LES OVNI

Appel International au Gouvernement américain
12 novembre 2007
Par l'entremise de la Coalition pour la Liberté d'Information
Préambule :
Les signataires, ayant été formés et employés au service du gouvernement, de l'aviation, ou de l'armée, s'accordent sur cette déclaration, fruit de nos expériences et objectifs communs. Au cours de nos activités professionnelles, chacun de nous a été le témoin d'un incident impliquant un objet volant non identifié, ou a dirigé une enquête officielle sur des cas d'ovnis, relevant de la sécurité aérienne, la sécurité nationale, ou pour le progrès de la science.
(...)
Appel à l'Action :
Les signataires demandent aux Etats-Unis de coopérer avec les gouvernements qui, en reconnaissant la réalité des objets volants non identifiés, ainsi que l'inquiètude légitime pour la sécurité aérienne, ont déjà mis en place leurs propres structures d'enquête. A la suite de son projet Blue Book, à présent enterré, nous proposons que l'Armée de l'Air Américaine reprenne ses efforts de recherche, ou bien que l'Administration Nationale de l'Aéronautique et de l'Espace (NASA) amorce ce travail de recherche, afin de faire face aux préoccupations internationales énoncées ici, de rassurer le public, et d'enrichir le domaine des connaissances scientifiques. Nous lançons un appel aux Etats-Unis d'Amérique pour qu'ils s'engagent avec nous, et avec les responsables actuellement actifs dans le monde entier, afin de résoudre ce problème dans un dialogue continu, à commencer par cette rencontre de quelques uns des signataires ci-dessous, à Washington, DC, en ce jour du 12 novembre 2007.

Les Signataires :
Vasily Alexeyev - Général en Chef de l'Armée de l'Air de Russie, Centre des communications spatiales. Russie.
Ricardo Bermudez - Général de Brigade aérienne (retraité) ancien président du CEFAA, Chili.
Ray Bowyer - Commandant de Bord. Services aériens d'Aurigny. Iles de la Manche.
Wilfred de Brouwer - Général en Chef adjoint des Opérations et Planifications. Retraité de l'Armée de l'Air de Belgique.
John Callahan - Chef de la Division des Incidents, Evaluations et Investigations. Armée de l'Air (retraité).
Don C. Donderi, Ph.D - Chercheur contractant à l'Université McGill, Défense Nationale. Canada.
Julio César Chamarro Flores - Commandant de l'Armée de l'Air du Pérou (retraité). Fondateur de l'OIFAA, en 2001.
Rodrigo Bravo Garrido - Officier de l'Armée Chilienne, pilote, membre du CEFAA.
Richard F. Haines, Ph.D - Chercheur scientifique de la NASA (retraité).
Charles Halt - Colonel de l'Armée de l'Air Américaine (retraité). Ancien Directeur de la Direction des Inspections, DOD I.G.
Parviz Jafari - Général de l' Armée de l'Air d'Iran (retraité).
Denis Letty - Général en Chef de l'Armée de l'Air Française (retraité). Président du COMETA.
Oscar Santa Maria - Commandant, pilote de combat, Armée de l'Air du Pérou (retraité).
Anthony Choy Montes - Avocat, chercheur OIFAA, Armée de l'Air du Pérou, 2001-2003.
James Penniston - Tsgt de l'Armée de l'Air des Etats-Unis (retraité).
Nick Pope - Ministère de la Défense, Grande-Bretagne, 1985-2006.
Jean-Claude Ribes - Astronome, Centre National de la Recherche Scientifique, France, 1963-1998.
Yves Sillard - Membre du Comité de Direction du GEIPAN, France.
Fife Symington III - Gouverneur de l'Arizona 1991-1997.

L'IRAK EN 2007

Favoriser le terrorisme plutôt que de l'éradiquer :

MOTEUR PANTONE SUR TF1


envoyé par econologie

vendredi 21 décembre 2007

ÊTRE DE LUMIÈRE

Nicole rencontre un être de lumière lors d'une expérience de mort imminente. Il lui demanda :
Comment as-tu aimé ?
Qu'as-tu fait pour les autres ?
Et si ces deux questions pointaient vers ce qui est fondamental pour la conscience de l'humain ? Et si ce n'était que cela notre mission ici sur Terre ? Non pas une vie de sacrifice mais de service, au service de la vie.

envoyé par jeffcola

ENQUÊTE SUR LES MÉDIUMS


envoyé par nde-emi

EXPÉRIENCE DE MORT IMMINENTE


envoyé par nde-emi

UN VRAI SCHTROUMPH

Paul Karason, un américain de 57 ans a commencé à changer de couleur il y a 14 ans. Ni lui, ni son entourage ne s'est aperçu que sa peau devenait progressivement bleue. La visite d'un ancien copain (qu'il avait perdu de vue depuis longtemps) lui a fait prendre conscience de sa particularité. Ce changement de couleur viendrait d'une substance (agent colloïdal) censée guérir de nombreuses maladies, que Paul Karason a beaucoup ingurgité pendant des années. Depuis qu'il connaît son problème, "l'homme bleu" a préféré quitter son Oregon natal car "les gens étaient hostiles", d'après CNN. Installé en Californie, Paul Karason n'a pas cessé de boire son produit (car il ne pense pas que ce soit cela qui l'a rendu bleu).

envoyé par PeteRock

30 000 $ POUR UNE APTERA

Cette étrange voiture en forme de goutte d'eau offre peu de volume intérieur mais ne consomme que 0,78 litre tous les cent kilomètres en utilisation citadine.

Résultat d'un projet industriel de plusieurs années, la Typ-1, du constructeur californien Aptera, sera commercialisée à la fin de 2008 en version électrique (Typ-1 e) et l'année suivante avec un moteur hybride, électrique et essence (Typ-1 h). Le constructeur avait étudié une version hybride avec cycle Diesel, plus efficace selon lui, mais les émissions d'hydrocarbures imbrûlés et d'oxydes d'azote (NOx) auraient dépassé les normes imposées par l'Etat californien. Avec sa motorisation hybride, la Typ-1 h descend à 0,784 litre aux cent kilomètres (300 miles par gallon en unités anglo-saxonnes).

Ce chiffre doit cependant être pris avec distance car, avec la motorisation hybride, la consommation dépend du parcours et plus précisément de la proportion du temps pendant lequel la voiture roule à l'électricité uniquement. Si le véhicule accepte la charge de sa batterie depuis une source externe – ce qui est le cas de la Typ 1-h –, le calcul est encore plus difficile puisque, à la limite, on peut rouler sans essence. Quand elle ne puise que dans sa batterie, la Typ-1 h dispose ainsi d'une autonomie d'environ 80 kilomètres (elle est de 200 kilomètres pour la Typ-1 e). Au-delà, il faudra brûler de l'essence... Pour un long trajet, de plus de 500 kilomètres, la consommation se stabilisera, d'après Aptera, vers 1,8 litre aux cent kilomètres. La valeur de 0,78 l/100 km correspondrait à des trajets de l'ordre de 200 kilomètres, ce qui couvre les besoins quotidiens en déplacement de 99 % des habitants des Etats-Unis d'après Aptera.
(...)
@futura-sciences

MICROPUCES CONTRE LE CANCER

Naviguer dans les vaisseaux sanguins à la recherche de cellules d'origine cancéreuse tenait jusqu'à maintenant de la science-fiction. Plus maintenant!

Des chercheurs américains de la faculté de médecine de l'Université Harvard viennent de créer des micropuces capables de détecter et d'isoler des cellules d'origine cancéreuse qui circulent dans le sang.

Non seulement cette percée technologique permettra un diagnostic plus rapide, mais elle pourra aussi permettre de s'assurer de l'efficacité d'un traitement, affirme Mehmet Toner, l'un des auteurs des travaux.

Ce laboratoire miniature comprend une puce recouverte d'anticorps destinés à piéger les cellules tumorales, sans toutefois les endommager afin de mieux les analyser.

Jusqu'à maintenant, cette puce a été testée sur 116 patients atteints de cancers métastasés du poumon, de la prostate, du sein ou encore du côlon. Elle a mis en évidence la présence de ces cellules chez 115 de ces patients.

En outre, la miropuce a permis de déceler des cellules tumorales dans le sang de 7 patients ayant un cancer de la prostate, non pas avancé, au stade précoce de développement.

Cellules en observation

Les cellules dérivant de tumeurs principales qui circulent dans le sang peuvent être à l'origine de métastases, ces tumeurs secondaires qui naissent à partir du cancer de départ.

Leur présence n'est pas toujours de mauvais augure puisqu'une partie d'entre elles meurent rapidement après avoir atteint le sang et seule une infime portion de ces cellules possède un potentiel métastatique.

L'idée d'avoir un espion sanguin qui les comptabilise est donc intéressante puisque, selon leur quantité, l'équipe médicale pourra adopter un traitement plus ou moins agressif.

Le détail de cette étude est publié dans la revue Nature.
@Radio-Canada