mercredi 3 octobre 2007

HEUREUX OU MALHEUREUX

Des savants américains en sont venus à la conclusion qu'à présent les femmes sont plus malheureuses que les hommes. Aujourd’hui les femmes modernes ont plus de possibilités pour se réaliser, mais avec tout cela il y a plus de problèmes, démontrent les données du sondage.
Les investigateurs affirment que les hommes modernes ont appris à se reposer plus et travailler moins, pendant que les femmes modernes travaillent beaucoup plus que les représentantes du sexe faible dans les années 60.
Betsey Stevenson et Justin Wolfers, les époux économistes de l'Université de Pennsylvanie affirment dans l'étude que 16 % des hommes en 1976 ont été satisfaits de leur vie. Aujourd'hui le nombre d'hommes heureux a augmenté jusqu'à 25 %.
Cependant le nombre de femmes heureuses est de seulement 22 %. D’après les savants, il y a 40 ans les femmes étaient plus heureuses, puisqu’elles avaient moins d'ambition. Elles se comparaient avec d’autres représentantes de leur sexe, mais elles ne s'égalaient jamais aux hommes. Selon le sondage, aujourd’hui la femme passe 23 heures de la semaine pour ses occupations routinières et l’homme – seulement 2 heures.
D’après l’affirmation des savants, les femmes modernes n'ont pas le temps de faire tout simplement ce qu'elles avaient planifié c’est pourquoi elles se sentent souvent insatisfaites.
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PIMENTS TERRORISTES

Les effluves d'une décoction de piments, que le cuisinier d'un restaurant thaïlandais de Londres préparait, a provoqué une alerte terroriste en plein centre de la capitale britannique, a rapporté mercredi le quotidien Times.

Chalemchai Tangjariyapoon, chef du "Thai Cottage" dans le quartier très animé de Soho, faisait revenir des piments forts pour préparer un "nam prik pao", une pâte de chilis souvent dégustée avec des biscuits salés aux crevettes.

Les effluves échappés de la cuisine ont plongé l'ensemble de la rue dans une odeur âcre qui a vite eu raison des passants. La police, sur les dents depuis les tentatives d'attentats terroristes qu'a connus Londres fin juin, a cru y déceler un nuage toxique. Le quartier a été bouclé, les magasins vidés de leurs clients et les appartements évacués, à la plus grande surprise des employés du restaurant thaï.

"Je peux comprendre pourquoi des gens qui ne sont pas Thaïlandais ne savent pas ce que c'est, mais ça n'a pas l'odeur de produits chimiques", a assuré le chef au Times.
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MANIPULATION DE L'HISTOIRE

Plus de 100 000 personnes ont manifesté samedi à Okinawa (sud du Japon) contre la décision du gouvernement de Tokyo de laisser les éditeurs de manuels d'histoire scolaires supprimer les références aux suicides collectifs de la population imposés par l'armée impériale en 1945.

Il s'agit de la plus grande manifestation à Okinawa depuis le retour de l'archipel sous souveraineté japonaise en 1972, selon les médias locaux.

Okinawa a été occupé par les Américains après la fin de la Guerre du Pacifique.

Les manifestants ont adopté une résolution exhortant le ministère de l'Education à retirer son imprimatur aux maisons d'édition scolaires, qui ont supprimé les références aux suicides collectifs de la population civile à Okinawa.
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L'U.E. VEUT CONTRÔLER LES VOYAGEURS

Les pays européens envisagent d’utiliser les nouvelles technologies pour contrôler davantage les mouvements des voyageurs entrant et sortant de l’UE dans les années à venir, afin de lutter à la fois contre l’immigration illégale et le terrorisme. «Le terrorisme est une menace très réelle et l’expérience nous a montré qu’un attentat pouvait intervenir n’importe où, n’importe quand», a plaidé à Lisbonne le ministre portugais de l’Intérieur, Rui Pereira, à l’issue d’une réunion avec ses homologues, en récusant toute accusation de «Big Brother». «Avoir des informations sur les mouvements des gens peut être très utile pour nos services de sécurité», a renchéri le ministre allemand Wolfgang Schäuble, dont le pays a déjoué un projet d’attentat de grande ampleur cet été.
Le commissaire à la Justice, Franco Frattini, présentera le 6 novembre une proposition législative pour que chaque Etat se dote d’un système de stockage de données sur les passagers d’avions arrivant sur leur territoire, comme aux Etats-Unis.
En février 2008, Frattini présentera des études sur la faisabilité à moyen terme d’un projet pour contrôler toutes les entrées et sorties dans l’espace Schengen, qui s’élargira à 24 nations fin 2007 avec l’intégration des Etats d’Europe centrale entrés dans l’UE en 2004. Aux termes de la proposition à laquelle travaille Frattini, ces entrées et sorties seraient contrôlées grâce aux identifiants biométriques: empreintes digitales ou iris de l’oeil.
Pour éviter des files interminables aux frontières européennes, Bruxelles envisage une procédure presque automatisée pour «les voyageurs de bonne foi» qui franchissent les frontières régulièrement et acceptent qu’on enquête sur eux et prenne leurs éléments biométriques.
«Il y a des propositions pilotes en cours. A l’aéroport Londonien d’Heathrow, 100.000 personnes ont accepté de se faire enregistrer l’iris de l’œil», a expliqué Frattini.
Cette proposition viserait les ressortissants des pays qui n’ont pas besoin de visa pour entrer dans Schengen, dont certains pays frontaliers de l’UE comme la Croatie ou les Etats-Unis et le Canada. Ceux qui ont besoin de visa seront en effet déjà fichés dès le début 2009 par la base de données sur les visas (VIS) qui stockera photos et empreintes digitales. Le consulat sera ainsi informé en temps réel des précédentes requêtes effectuées par le demandeur de visa, qui ne pourra plus multiplier les demandes auprès de consulats différents. Le VIS partagera la même plateforme informatique que le Système d’information Schengen (SIS), qui comprend notamment les personnes indésirables ou recherchées dans l’espace Schengen. Il sera mis à jour également en 2009.
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mardi 2 octobre 2007

SURFER LA BANQUISE

c'est dans l'air du temps quoi ! Assez extrême !

OVNI À LONDRE


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lundi 1 octobre 2007

L'INTÉRIEUR D'UNE CELLULE

UNE BASE LUNAIRE POUR LA CHINE

Lors du 58e Congrès international d'astronautique (IAC) qui vient de s'achever à Hyderabad en Inde, la Chine a confirmé vouloir installer une base habitée sur la Lune après 2020, avec la volonté d'exploiter les ressources lunaires de façon à pérenniser sa présence et à plus long terme soutenir son économie.

Cette volonté d'utiliser les ressources lunaires n'est pas une simple annonce faite dans l'euphorie de ce 58ème Congrès de l'IAC. Elle s'inscrit dans une stratégie cohérente. En effet, Chang'e-1, la première sonde lunaire chinoise qui sera lancée fin 2007 emporte des instruments d'analyse et de mesures d'hélium-3, un gaz qui combiné avec un isotope de l'hydrogène, le deutérium, peut produire de grandes quantités d'énergie.

Or, ce gaz intéresse également les Etats-Unis et d'aucun parie que l'héluim-3 pourrait devenir l'eldorado lunaire d'ici quelques décennies.

Cette annonce du Directeur du Centre for Space Science and Applied Research dévoile en quelque sorte la phase 4 du programme lunaire chinois qui débuterait avec des missions robotiques précurseurs à l'implantation de structures habitables, prémices d'une base habitée. L'étape suivante prévoit l'envoi de chinois sur la Lune pour des séjours de courte durée avant d'envisager des séjours longs de plusieurs mois.

Le programme lunaire chinois prévoit l'envoi de Chang'e-1, fin 2007 (phase 1), d'un rover en 2012 (Phase 2) et une mission de retour d'échantillons lunaires (Phase 3).
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