dimanche 18 mars 2007

IVe REICH - COLONIES EXTRATERRESTRES

Hitler entretenait des liens avec des extraterrestres, qui étaient peut-être des intraterrestres car Hitler croyait à la Terre Creuse, et on dit qu'il allait en Antarctique pour les rencontrer. Ces êtres de la Terre creuse seraient des vénusiens qui vivent sur Terre. Adamski aurait lui rencontré des vénusiens qui vivent sur Vénus ou dans Vénus. Ceux de la Terre creuse semblent être des guerriers et ceux de Vénus des pacifiques. Je vous laisse regarder la vidéo pour vous faire une idée :
Si la vidéo ne fonctionne pas, essayer ce lien.

ABDUCTÉS EN DESSINS ANIMÉS

Voici une courte vidéo décrivant les enlèvement par des extraterrestres en se servant de dessins animés. Même si vous ne comprenez pas l'anglais, vous comprendrez par les dessins qui sont très explicites et correspondent pratiquement à ce qui est raconté.

TYPES D'EXTRATERRESTRE

Voici des dessins de ce qu'un gens a vu lors de ses enlèvements par des extraterrestres. Remarquez les différents types d'aliénigènes. Gris, Hybrides Gris-Humain, Reptiliens et d'autres variantes de Gris. Cliquez sur les photos pour les agrandir. Source

BONNIE JEAN HAMILTON - CONTACTÉE (2)

Les extraterrestres femelles

Bonnie sait distinguer les males des femelles extraterrestes qui viennent la rencontrer. Elle dit que l'on voit très peu les femelles, mais lorsqu'on les voit, elles sont en charge. Elles semblent donc travailler en arrière peut-être parce que ce sont elles qui donnent les ordres. Bonnie se souvient de plusieurs histoires avec des femelles dont une avec une femelle qui venait lui retirer des embryons. La femelle avait fait sortir tous les males de la salle et avait traité Bonnie avec le plus grand des respects, s'assurant que Bonnie ne souffre pas.

Bonnie racontre aussi une autre histoire avec une femelle qui était au pied de sa porte et qui donnait des ordres aux autres. Trois femelles hybrides sont aussi venus la rencontrer dans sa chambre, Bonnie s'en souvient comme sa plus belle expérience avec des femelles.

Bonnie Jean Hamilton - Contactée (1)

BONNIE JEAN HAMILTON - CONTACTÉE (1)

Histoire d'un enlèvement

Bonnie fut enlevée en 1988 par des êtres qu'elle a appelé des robots bleus car ils portaient des combinaisons bleues et qu'ils marchaient comme des robots, un peu comme si quelqu'un leur dictait quoi faire.

Ils l'ont amené dans un salle vide où ils semblaient affairé mais ils laissaient Bonnie libre de faire ce qu'elle voulait. Elle est donc resté calme et patiente. Elle savait qu'ils voulaient l'opérer, du moins c'est ce qu'elle comprenait de ce qu'elle voyait autour d'elle.

Ils l'ont amené dans une autre salle. Elle leur demanda pourquoi ils voulaient l'opérer et ils répondirent qu'elle avait du mal et qu'il fallait la réparer. Ils lui demandèrent de regarder ce qui ressemblait à l'arrière d'une télévision. Elle commença à être un peu étourdie. Elle vit une "drill" percer ce qui semblait être le derrière d'une télé, puis elle entendit un BANG avec un flash de lumière et l'opération fut terminée. Elle se rendit compte alors que la drill avait percé le derrière de sa tête plutôt que la télé.

Derrière sa tête, il est resté une sorte de kyste non dangereux qu'elle a fait enlevé que 15 ans plus tard.

Aujourd'hui, elle a un centre d'aide pour ceux qui ont été enlevés ou contactés : Hamilton House. Elle a aussi écrit un livre, Initiation to the self.

Bonnie Jean Hamilton - Contactée (2)

OVNI ROUGE

Voici une photo prise dans le Delaware en novembre 2006. Remarquez le point de lumière rouge qui semble être une réflexion de quelque chose sur la lentille.

Voici un agrandissement de la lumière rouge puis j'ai appliqué le maximum de "sharp" sur la photo comme on peut voir sur la deuxième photo. Il semble qu'il y avait bien et bien un avion de type furtif dans le ciel, du moins ça ressemble drôlement. Faut faire toutefois attention car cela pourrait être le produit d'un jeu de pixels avec une résolution pas assez grande.

samedi 17 mars 2007

AU DÉBUT ÉTAIT LE VERBE ...

... et le verbe est un son.

Dans cette vidéo, vous verrez des images produites par une poudre ou des particules que l'on a placé sur une plaque qu'on fait vibrer avec un son. Voyez les formes géométriques et même des structures (vers la fin de la vidéo). Lorsque le fond de l'image est rouge, vous voyez l'effet des battements de coeur sur les particules (pour ceux qui ne comprennent pas l'anglais).

Ça fait réfléchir, surtout que nous avons ici posté des articles qui vont dans le même sens, c'est à dire un article qui dit que les nerfs communiquent par le son et que le nez identifie les odeurs par la fréquence des molécules plutôt que par leur forme. Et que dire du son du soleil, qui résonne comme un battement du coeur, quel effet aurait-il sur les particules sur la plaque ?

vendredi 16 mars 2007

CHARTE DES DROITS DES ROBOTS

La déclaration universelle du droit des robots
Par Jean-Luc Goudet - Futura-Sciences, le 16/03/2007 à 09h13

Elle est en cours de rédaction en Corée du Sud, au sein même du gouvernement. Cette Charte éthique des robots devrait être adaptée cette année. Il s’agit d’éviter que les robots soit maltraités et, l’inverse, qu’ils fassent du tort aux humains. Le principe s’inspire… de l’écrivain Asimov.

Rapportée par l’AFP, la nouvelle peut faire penser à une plaisanterie mais il n’en est rien. Le ministère du commerce, de l’énergie et de l’industrie de la Corée du Sud planche sur une « Charte éthique des robots », rédigée par un groupe d’experts, comprenant notamment des futurologues et un écrivain de science-fiction. Le projet est avancé puisque, selon le ministre en personne, la charte devrait être publiée cette année.

L’idée est moins de protéger les robots contre d’hypothétiques maltraitances que de définir les rapports entre eux et les humains, de sorte qu’ils ne puissent nuire aux hommes. Le but, selon le communiqué du ministère, « est d'élaborer des lignes de conduite éthiques sur les rôles et fonctions des robots, car les robots vont développer une vive intelligence dans un avenir proche". Selon madame Park Hye-Young, membre du bureau de la robotique du ministère, dans les pays où la population vieillit, ce qui est le cas de la Corée du Sud, des « robots pensants deviendront des compagnons-clé de l'homme ». D’après le ministère de l’information et de la communication, chaque foyer sud-coréen devrait posséder son robot entre 2015 et 2020. Il s’agit aussi, précise Park Hye-Young « d’éviter leur utilisation clandestine, protéger les données acquises par les robots et établir leur identification et leur traçabilité ».

De la fiction à la réalité

Si cette idée évoque les fameuses lois d’Isaac Asimov, apparues dans les ouvrages du célèbre écrivain de science-fiction américain dès les années 1940, ce n’est pas un hasard puisque les rédacteurs de cette charte disent s’en inspirer. Au fil de ses récits, Asimov avait énoncé trois lois :
- les robots ne doivent pas s'en prendre à des humains ou permettre à des humains de faire du mal,
- les robots doivent obéir aux humains à moins que cela entre en conflit avec la première loi,
- les robots doivent agir pour se protéger, sauf si cela rentre en contradiction avec la première ou la deuxième loi.

Elles seront semble-t-il reprises dans la charte mais le texte devrait aussi s’inspirer des travaux du Réseau de recherche européen sur la robotique (European robotics research network, alias Euron). Les idées de ce réseau seront rendues publiques le 10 avril 2007, à Rome, au cours du forum Innovation and Entrepreneurship in Robotics and Automation.

ENLÈVEMENTS EXTRATERRESTRES

« Les personnes enlevées sont confrontées à une expérience dont elles ne peuvent nier la réalité, mais qui est pourtant jugée impossible. C’est là que réside la cause première de l’émergence d’un état de stress post-traumatique : vivre quelque chose qui n’est pas envisageable »

UN PHÉNOMÈNE MONDIAL

En Afrique du Sud, John Mack a découvert que les mêmes petits êtres gris décrits par ses experiencers ont été baptisés Mantindane par les Zoulous. Il cite le guérisseur zoulou Credo Mutwa qui déclara : « Demandez aux Pygmées, aux Bushmen du Kalahari, aux Ovahimba de Namibie, aux tribus du Zaïre. Tous vous parleront de la présence grandissante parmi nous de ce que vous appelez en Occident les extraterrestres ». John Mack a découvert que les experiencers décrivent les mêmes types d’êtres de l’Afrique au Brésil, de l’Australie à la Turquie. En outre, dans certaines cultures traditionnelles, on rapporte leur existence depuis des siècles. Par exemple, chez certains Indiens de la forêt amazonienne, on appelle Ikuyas des êtres précisément décrits comme les petites entités à grosse tête dont parlent Karin, Sue ou Will. Les circonstances des rencontres entre ces Ikuyas et les Indiens sont similaires à celles rapportées par les experiencers de John Mack. Ces entités ne peuvent être dirigés au moyen des techniques spirituelles traditionnelles des chamans, et ils sont souvent associés à des observations d’objets ou de phénomènes lumineux. La terreur, parfois, est la même pour les témoins indiens, africains, que pour les patients de John Mack…

LE NEZ, ORGANE QUANTIQUE

Le nez est plus sensible à la vibration des molécules odorantes qu’à leur forme.

C’est grâce aux fréquences des vibrations qu’elles émettent que les molécules qui viennent chatouiller nos narines sont identifiées à une odeur par notre cerveau, avancent des chercheurs anglais de l’University College (Londres). On pensait jusqu’à présent que ces molécules étaient reconnues par les récepteurs du nez grâce à leur forme en 3D, selon le modèle, bien connu en biologie, qui veut qu’une molécule « ouvre » une porte chimique, à la manière d’une clé ayant trouvé la bonne serrure, et déclenche une cascade d’évé-nements conduisant à son identification dans le cerveau. L’équipe de Marshall Stoneham explique que, en fait, la molécule odorante ouvre la porte comme une carte magnétique, en étant reconnue par sa vibration spécifique.

Pour détecter cette fréquence, un électron – émis par la muqueuse par exemple – est envoyé sur la molécule comme une sonde. S’il possède exactement l’énergie de vibration de l’odorant, il va traverser cette molécule pour atteindre le récepteur, lequel activera les neurones. Selon les calculs des chercheurs, ce processus de nature quantique est assez rapide et intense pour être compatible avec les conditions biologiques.

Leur résultat est d’autant plus intéressant qu’il pallie les défauts du modèle clé-serrure. Il explique, par exemple, que deux molécules de formes différentes puissent sentir pareil. Ou bien, qu’ajouter un simple carbone – sans changer la forme de la molécule– transforme une odeur de muguet en celle de bois de santal. Les exceptions au modèle classique sont si nombreuses que Charles Sell, chimiste spécialiste des fragrances, a avoué être incapable de prévoir les odeurs à partir de la forme des molécules. Un autre chercheur britannique, Luca Turin, trouve là enfin une base théorique solide à son idée controversée, exposée en 1996 (lire S. et A. n° 692, octobre 2004), et qui reposait déjà sur la vibration des molécules.